« À nous deux maintenant ! » disait Rastignac en contemplant Paris à la fin du Père Goriot. Cette réplique aurait pu sortir de la bouche de Lucien de Rubempré, au moment de quitter Angoulême pour la capitale, dans Les Illusions perdues. La troupe du Nouveau Théâtre Populaire a décidé quant à elle de resserrer la focale autour des rêves de gloire et de poésie de Lucien en s’emparant des deux romans qui lui sont consacrés pour nous offrir leur vision polychrome et chatoyante de la fresque balzacienne.
« À nous deux maintenant ! » disait Rastignac en contemplant Paris à la fin du Père Goriot. Cette réplique aurait pu sortir de la bouche de Lucien de Rubempré, au moment de quitter Angoulême pour la capitale, dans Les Illusions perdues. Un titre qui résume bien le parcours d’un homme et peut-être d’une génération qui croit, puis cesse de croire, que tous les espoirs sont permis. Dans La Comédie humaine, Balzac tentait de capter les pulsations de ses contemporains et de son siècle.
La troupe du Nouveau Théâtre Populaire a décidé quant à elle de resserrer la focale autour des rêves de gloire et de poésie de Lucien en s’emparant des deux romans qui lui sont consacrés pour nous offrir leur vision polychrome et chatoyante de la fresque balzacienne. 15 artistes animeront cette grande traversée des belles illusions de la jeunesse, composée de trois parties aux résonances dantesques, de l’opérette à la tragédie, en passant par la comédie politique.
Route du Champ de Manœuvre 75012 Paris
Navette : Sortir en tête de ligne de métro, puis prendre soit la navette Cartoucherie (gratuite) garée sur la chaussée devant la station de taxis (départ toutes les quinze minutes, premier voyage 1h avant le début du spectacle) soit le bus 112, arrêt Cartoucherie.
En voiture : A partir de l'esplanade du château de Vincennes, longer le Parc Floral de Paris sur la droite par la route de la Pyramide. Au rond-point, tourner à gauche (parcours fléché).
Parking Cartoucherie, 2ème portail sur la gauche.