Théâtre de la Commune, Aubervilliers
Louise Chevillotte, accompagnée par La Commune pour sa première création, réhabilite d’autres modèles de femmes émancipées par l’amour et l’écriture, en faisant revivre une correspondance qui a existé entre deux femmes, dans les années 1920, avec quatre comédiennes au plateau.
Cartoucherie - Théâtre de la Tempête, Paris
« À nous deux maintenant ! » disait Rastignac en contemplant Paris à la fin du Père Goriot. Cette réplique aurait pu sortir de la bouche de Lucien de Rubempré, au moment de quitter Angoulême pour la capitale, dans Les Illusions perdues. La troupe du Nouveau Théâtre Populaire a décidé quant à elle de resserrer la focale autour des rêves de gloire et de poésie de Lucien en s’emparant des deux romans qui lui sont consacrés pour nous offrir leur vision polychrome et chatoyante de la fresque balzacienne.
Cartoucherie - Théâtre de la Tempête, Paris
« À nous deux maintenant ! » disait Rastignac en contemplant Paris à la fin du Père Goriot. Cette réplique aurait pu sortir de la bouche de Lucien de Rubempré, au moment de quitter Angoulême pour la capitale, dans Les Illusions perdues. La troupe du Nouveau Théâtre Populaire a décidé quant à elle de resserrer la focale autour des rêves de gloire et de poésie de Lucien en s’emparant des deux romans qui lui sont consacrés pour nous offrir leur vision polychrome et chatoyante de la fresque balzacienne.
Cartoucherie - Théâtre de la Tempête, Paris
« À nous deux maintenant ! » disait Rastignac en contemplant Paris à la fin du Père Goriot. Cette réplique aurait pu sortir de la bouche de Lucien de Rubempré, au moment de quitter Angoulême pour la capitale, dans Les Illusions perdues. La troupe du Nouveau Théâtre Populaire a décidé quant à elle de resserrer la focale autour des rêves de gloire et de poésie de Lucien en s’emparant des deux romans qui lui sont consacrés pour nous offrir leur vision polychrome et chatoyante de la fresque balzacienne.
Cartoucherie - Théâtre de la Tempête, Paris
« À nous deux maintenant ! » disait Rastignac en contemplant Paris à la fin du Père Goriot. Cette réplique aurait pu sortir de la bouche de Lucien de Rubempré, au moment de quitter Angoulême pour la capitale, dans Les Illusions perdues. La troupe du Nouveau Théâtre Populaire a décidé quant à elle de resserrer la focale autour des rêves de gloire et de poésie de Lucien en s’emparant des deux romans qui lui sont consacrés pour nous offrir leur vision polychrome et chatoyante de la fresque balzacienne.
Théâtre La Flèche, Paris
Le théâtre, est-ce bien nécessaire ? Voilà ce qu’un spectateur novice essaye de comprendre.