Valérie Lesort et Christian Hecq ont inventé un plateau à métamorphoses, plein de fantaisie et de poésie, pour ce succès de 2018 qui magnifie l’art d’Auber et lui redonne sa place centrale dans la vie musicale française du XIXe siècle.
Spectacle en français, surtitré en français et en anglais.
Juste avant de devenir abbesse, la nièce de la reine d’Espagne quitte le couvent incognito pour profiter une dernière fois du bal de Noël. Mais après la fête, elle ne peut plus rentrer, trouvant porte close. Elle va devoir, au cours d’une folle nuit, changer plusieurs fois d’identité, de plan… et pour finir, de vocation.
Neuvième titre le plus joué à l’Opéra-Comique, Le Domino noir est l’emblème de son répertoire romantique, et fut aussi, d’après Berlioz, le meilleur ouvrage d’Auber, « léger, brillant, gai, souvent plein de saillies piquantes et de coquettes intentions ». En scène se succèdent travestissements et quiproquos, tandis que la partition combine pages espagnoles, ensembles enjoués et airs virtuoses.
Valérie Lesort et Christian Hecq ont inventé un plateau à métamorphoses, plein de fantaisie et de poésie, pour ce succès de 2018 qui magnifie l’art d’Auber et lui redonne sa place centrale dans la vie musicale française du XIXe siècle.
Opéra-Comique en trois actes livret d’Eugène Scribe. Créé le 2 décembre 1837 à l’Opéra-Comique.
Avec l'Orchestre de chambre de Paris et le Chœur Les éléments.
« Menée par la soprano Anne-Catherine Gillet, espiègle à souhait, et par le ténor Cyrille Dubois, la formidable distribution vocale (...) tout comme le chef, dont on a admiré à Liège (...) la direction alerte et précise. » Sophie Bourdais, Télérama fff
« La surprise est divine : « Le domino noir » donné en coproduction par l’Opéra de Liège et l’Opéra-Comique à Paris s’inscrit d’ores et déjà comme une des productions lyriques de l’année 2018. Pour l’œuvre, bien sûr, mais pas seulement. Moins ampoulée que sa « Muette de Portici », la partition de Daniel François Esprit Auber se révèle habile, inventive, colorée, légère. » Nicolas Blanmont, La Libre Belgique, 24 février 2018
5, rue Favart 75002 Paris
Entrée du Public Place Boiëldieu