Violences-reconstitution

du 6 au 30 novembre 2003
6H20

Violences-reconstitution

"Violences (un diptyque) pourrait s’apparenter à ces Sit-Coms : après tout, il s’agira, ici aussi, d’une histoire de famille, parfaitement improbable dans l’ordre de la vraisemblance…" D.-G. Gabily

Présentation
Extrait
Le désir de transmettre
Calendrier

« Violences (un diptyque) pourrait s’apparenter à ces Soap-Opéras qu’on appelle aussi Sit-Coms ou, dans le meilleur des cas, “Comédies de situation” : après tout, il s’agira, ici aussi, d’une histoire de famille, parfaitement improbable dans l’ordre de la vraisemblance... (...) On va se reposer la question de savoir ce que l’on fabrique là, sur le plateau avec la langue et le travail des corps, avec ces bribes de tragédies défaites et de comédies en guère meilleur état. »

D.-G. Gabily

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(...) La maison était de l’autre côté de la falaise, protégée. Dans la valleuse.
Tous volets clos, toujours. Toutes saisons passant sur elle et sur la forêt d’alentour.
C’était depuis que j’étais gamine. J’y venais là, sur le faîte, me tournant indifféremment du côté de la mer et de l’autre, vers elle ; puis de plus en plus vers elle... Dans le dernier repli de la valleuse, la maison, protégée, tous volets clos, aveugle, un silence...
Et la vierge en bois dans sa niche, quand je m’en approchais, je la vois encore la vierge en bois dans sa niche juste au-dessus de la porte. Mais ça n’arriva pas souvent que j’ose.
M’en approcher.
ça n’arriva qu’une fois de trop, je crois.

D.G. Gabily,
Violences, La ravie

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(...) Ce projet, avec les élèves du Théâtre National de Strasbourg, est né d’un désir de transmettre. Non pas la mémoire d’un individu, d’une époque ou d’une méthode, mais un langage de théâtre qui dans son existence même - structure et écriture - inscrit le tâtonnement et la recherche, la présence du vivant. Transmettre non pas un objet, mais sa formation.

Il s’est donc agi, plutôt que d’exhumer, de produire cette langue de Violences, de l’éprouver physiquement comme pour la première fois. Et alors, prenant la pièce comme un chantier, le texte comme un matériau, de construire, grâce au concret de la fiction, notre propre théâtre. De bois, fer, chair et mots, « tout ça » comme disait Didier, « charpente à voir si ça tient ». Nous avons donc refait l’expérience, celle de voir si on peut, ensemble, la faire tenir, cette charpente, une nouvelle fois. (...)

Yann-Joël Collin

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Le spectacle est présenté dans son intégralité le week-end, découpé en deux parties :
1ère partie à 16h, durée : 2h15
2ème partie à 19h, durée : 3h20 avec entracte

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Informations pratiques

Théâtre de Gennevilliers (T2G)

41, avenue des Grésillons 92230 Gennevilliers

Accès handicapé (sous conditions) Bar Grand Paris Hauts-de-Seine Librairie/boutique Restaurant
  • Métro : Gabriel Péri à 464 m
  • RER : Les Grésillons à 1 km
  • Bus : Marché de Gennevilliers à 15 m, Place Voltaire à 293 m, Gabriel Péri - Métro à 371 m
  • Transilien : Asnières-sur-Seine à 2 km
  • Voiture : Porte de Clichy, direction Clichy-centre. Tout de suite à gauche après le Pont de Clichy, direction Asnières-centre.
    A 86 Sortie Paris Porte Pouchet. Au premier feu tourner à droite, avenue des Grésillons.

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Plan d’accès

Théâtre de Gennevilliers (T2G)
41, avenue des Grésillons 92230 Gennevilliers
Spectacle terminé depuis le dimanche 30 novembre 2003

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Spectacle terminé depuis le dimanche 30 novembre 2003