Rendez-vous à l’Élysée met en lumière le rendez-vous manqué de la France et des Français avec Napoléon Bonaparte et son destin.
21 juin 1815, après sa défaite à Waterloo, l’Empereur revient en urgence au Palais de l’Élysée pour reprendre les armes, espérant reconquérir l’enthousiasme de la population et l’union nationale.
Mais il va retrouver, longeant les murs du Palais, son pire ennemi, Joseph Fouché, qui décidera malheureusement de son sort.
TRES BONNE INTERPRETATION
j'ai vraiment beaucoup aimé ce spectacle très bien interprété par ces 4 comédiens à voir sans faute
Cette ultime confrontation avec Fouché se révèle passionnante. Ce subtil renard madré et retord avait envisagé une prise de pouvoir mais son instinct rusé lui a fait se cantonner dans un poste en retrait, qui lui a permis de perdurer et de maîtriser les ficelles du pouvoir, qui était, de fait, sa profonde motivation. L'affrontement entre ces deux tempéraments volontaires est rondement mené. La présence lumineuse et empathique de la reine Hortense, apportant une adoucissante touche d'humanité. De plus, la belle parade dont nous a régalé la troupe de "carnet de bal" nous a plongé, avec faste, dans la grandeur napoléonienne...Un joli détour d'histoire.
Après la Dictée, un sans faute, nous voici donc à l'Elysée ! Par mon bicorne, quelle histoire, non pas, ma langue n'a pas "Fouché". Hortense en" white satin", j'aime bien, le p'tit corset vaut bien un hommage... Sans doute...Bref, trois comédiens dans le temps. Mise en scène sobre sans contexte. Historique mais pas révolutionnaire...Quoique ! Eric Nauleau était la la la la la !
Pour 4 Notes
TRES BONNE INTERPRETATION
j'ai vraiment beaucoup aimé ce spectacle très bien interprété par ces 4 comédiens à voir sans faute
Cette ultime confrontation avec Fouché se révèle passionnante. Ce subtil renard madré et retord avait envisagé une prise de pouvoir mais son instinct rusé lui a fait se cantonner dans un poste en retrait, qui lui a permis de perdurer et de maîtriser les ficelles du pouvoir, qui était, de fait, sa profonde motivation. L'affrontement entre ces deux tempéraments volontaires est rondement mené. La présence lumineuse et empathique de la reine Hortense, apportant une adoucissante touche d'humanité. De plus, la belle parade dont nous a régalé la troupe de "carnet de bal" nous a plongé, avec faste, dans la grandeur napoléonienne...Un joli détour d'histoire.
Après la Dictée, un sans faute, nous voici donc à l'Elysée ! Par mon bicorne, quelle histoire, non pas, ma langue n'a pas "Fouché". Hortense en" white satin", j'aime bien, le p'tit corset vaut bien un hommage... Sans doute...Bref, trois comédiens dans le temps. Mise en scène sobre sans contexte. Historique mais pas révolutionnaire...Quoique ! Eric Nauleau était la la la la la !
8, rue de Nesle 75006 Paris