Autour d’un match de water-polo auquel il est convoqué, Michele Apicella recherche sa mémoire perdue et interroge son engagement de militant communiste, confronté aux convictions exacerbées de militants de tous horizons qui le harcèlent au bord du bassin. Opportune et loufoque, une réflexion politique faisant la part belle à la musique.
Autour d’un match de water-polo auquel il est convoqué, Michele Apicella recherche sa mémoire perdue et interroge son engagement de militant communiste, confronté aux convictions exacerbées de militants de tous horizons qui le harcèlent au bord du bassin. Opportune et loufoque, une réflexion politique faisant la part belle à la musique.
Que sont devenues nos aspirations à un monde meilleur ? L’avènement du consumérisme roi est-il venu à bout de nos convictions humanistes ? Dans quelles impasses erre la gauche contemporaine ? Nicolas Bouchaud, dans le rôle principal, nage savoureusement entre combativité et accablement. Mathieu Bauer, metteur en scène résolument cinéphile, s’emparant du film de Nanni Moretti (sorti en 1989), y sème des textes commandés à l’auteur-performeur Anne-James Chaton, et pointe l’actualité cruciale des enjeux abordés.
« Mathieu Bauer relève un audacieux pari. (…) Un spectacle à l’humour mélancolique. » TTT – Télérama, Emmanuelle Bouchez
« Combinant des moments loufoques et des saillies pleines d’amertume, le spectacle entremêle le théâtre d’interpellation et la chanson populaire italienne pour prélever, dans la crispation des personnages liquides, la matière solide d’une interrogation sur la manière de réactiver l’idée d’un avenir radieux. » Les Inrocks, Jean-Marie Durand
« Entre histoires, mémoire et plongeoir, la pièce brasse des réflexions existentielles et collectives avec humour et légèreté. » Les Échos, Callysta Croizier
«Palombella rossa n’est en rien désespérant mais nous incite à la jouer collectif, à remettre un peu d’utopie dans les rouages de la pensée politique, du courage (et il en faut), sans manichéisme et avec une pointe d’autodérision nécessaire. » L’Humanité, Marie-José Sirach
« Le charme, les voix, parlées comme chantées, l’adresse au public, les va-et-vient dans la salle, la tonicité des échanges, les lumières, la musique (…) tout perturbe et enchante. » Le journal d’Armelle Héliot
Très bonne mise en scène, décor et acteurs. Mélange musique, pantomime, texte satirique. Un régal
Amnésie, water-polo, musiciens sur scène et communisme alimentent ce grand bazar. Quelques idées finissent quand même par passer. Et puis, surtout, dans son rôle d’amnésique, Nicolas Bouchaud est sensationnel.
Pour 2 Notes
Très bonne mise en scène, décor et acteurs. Mélange musique, pantomime, texte satirique. Un régal
Amnésie, water-polo, musiciens sur scène et communisme alimentent ce grand bazar. Quelques idées finissent quand même par passer. Et puis, surtout, dans son rôle d’amnésique, Nicolas Bouchaud est sensationnel.
106, rue Brancion 75015 Paris