Les fausses confidences

Paris 13e
du 19 avril 2001 au 13 juin 2002

Les fausses confidences

CLASSIQUE Terminé

Loin du marivaudage du monde peint par Watteau, l’argent, la condition sociale, l’arrivisme font jeu égal avec l’amour. La question sociale est là et les cœurs ne sont plus si purs. Ce n’est plus seulement « le jeu de l’amour et du hasard », mais bien aussi « le jeu de l’amour et du calcul ».

  
présentation
Ce qu’en dit la presse…
Ce qu’en dit le public…
La Compagnie Catherine Brieux

Loin du marivaudage du monde peint par Watteau, l’argent, la condition sociale, l’arrivisme font jeu égal avec l’amour. La question sociale est là et les cœurs ne sont plus si purs. Ce n’est plus seulement « le jeu de l’amour et du hasard », mais bien aussi « le jeu de l’amour et du calcul ».

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« Catherine Brieux a relu Les fausses confidences avec un filtre contemporain : les rapports sociaux sont aussi importants que les rapports amoureux. La langue, magique, est défendue avec beaucoup de conviction par des comédiens qui ont su former une troupe. »

Le parisien - Agnès Dalbard

« En situant l’action de ces Fausses confidences au XIXè siècle, celui de l’argent roi et de l’arrivisme forcené, Catherine Brieux ajoute une force insoupçonnée au propos de Marivaux. Les acteurs y sont d’une fraîcheur désarmante. Un spectacle réussi et deux heures de plaisir. »

Zurban - André Fetet

« La pièce est formidable. Un beau décor, un dispositif scénique astucieux, un très grand respect du texte, sont les ingrédients de la réussite de ce spectacle.
Des comédiens bien choisis, Maia Guéritte, subtile Marton, Richard Delestre, juste Dorante, Sébastien Azzopardi. Tout cela fait un spectacle des plus sympathiques avec son petit plus : celui de rencontrer des personnages comme si vous étiez chez eux. »

Le Figaro Scope - Jean-Luc Jeener

« L’optimisme dont on a longtemps crédité Marivaux laisse ainsi toute grande la place à une violente critique de l’injustice sociale, de l’arrivisme, de la fatuité de toute position sociale et à une peinture acide de la bourgeoisie. La distribution est parfaite. Un spectacle plein d’intelligence. »

Marianne – Myriam Perfetti

« Un Marivaux plus terre à terre que jamais où l’argent, la condition sociale, l’arrivisme font jeu égal avec les sentiments. »

Courrier Cadres de l’Apec - Pierre-Marc Levergeois

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« Etonnante modernité de Marivaux ; les intrigues de cœur et d’argent ont-elles tant changées ? Votre interprétation virevolte. » E. Taieb
« Bravo, un spectacle délicieux cruel et réjouissant. »
« Comme d’habitude, une superbe soirée… avec un 18è siècle « basculé » au 19è siècle, de manière très inattendue et convaincante… » G. Gallais
« Bravo pour ce divin moment qui nous transporte dans une langue magnifique. Un grand merci à tous ! »
« Bravo, bravissimo ! ! I will come back. » C.R.K
« Bravo à tous et de tout mon cœur. J’ai vu jouer Pierre Fresnay, Berthe Bovy, Béatrix Dussane et vous m’avez tous charmé par votre talent. » Pierre Gérald
« Voilà le théâtre que l’on aime ! ! ! » Marianne
« Excellent ! Beaucoup de beauté dans les décors, la mise en scène. On est pris par la grâce et l’émotion. Merci ! » A.B.
« Marivaux doit être ravi d’avoir été aussi bien servi. Quel bonheur ! Bravo à toute la troupe et à la mise en scène.» Pierre Tartan
« Quel bonheur ! Une soirée charmante, fraîche et enlevée. Si j’affectionne particulièrement les « petites scènes », j’espère pour vous les plus grandes scènes. Merci pour cette soirée. » Jacqueline Yvelin
« Une découverte, une compagnie, un théâtre et le plaisir de redécouvrir Marivaux. Merci. » Nathalie Dupuy
« Que dire, que dire ? Les superlatifs sont usés. Somptueux, fin, délicat, juste, nuancé, chaque personnage a un caractère bien marqué et adapté, la mise en scène respectueuse du texte, de l’esprit de la pièce et … du public. Un moment hors du temps. » J.J. Guérout

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Le spectacle Le jeu de l’amour et du hasard, monté par la compagnie la saison dernière, a obtenu le Prix Charles Oulmont. Elle aborde cette année Les fausses confidences, œuvre majeure de Marivaux, la dernière pièce en trois actes qui porte la maturité de son auteur. Les personnages ont vieilli. La fougue de la jeunesse a fait place à une certaine gravité. Les héros ont la révolte des romantiques hugoliens. Si en analyste du cœur, Marivaux « guette toutes les niches où peut se cacher l’amour », si l’amour, comme dans toute son œuvre est au centre de la pièce, l’être social prend ici toute son importance. Ce n’est plus seulement « le jeu de l’amour et du hasard », mais bien aussi « le jeu de l’amour et du calcul ». Loin du marivaudage du monde peint par Watteau, l’argent, la condition sociale, l’arrivisme font jeu égal avec l’amour. La question sociale est là et les cœurs ne sont plus si purs.

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Spectacle terminé depuis le jeudi 13 juin 2002

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