
Coup de cœur de la rédaction Le 15 février 2024
Les Travailleurs de la mer, roman phare de Victor Hugo, raconte le combat d’un homme avec deux forces supérieures : la mer et l’amour. Elya Birman prend ce récit légendaire à bras le corps pour nous en livrer toute la puissance hugolienne. Un grand soulèvement de l’âme.
À partir de 10 ans.
Les Travailleurs de la mer, roman phare de Victor Hugo, raconte le combat d’un homme avec deux forces supérieures : la mer et l’amour. Gilliatt, pêcheur rustre autant que sensible, est amoureux de Déruchette, nièce du propriétaire d’un bateau échoué au large de Guernesey. Afin d’obtenir sa main, il brave les éléments au péril de sa vie, pour tenter de sauver le navire.
Sera-t-il victorieux des flots ? Et le sera-t-il du cœur de la jeune fille ? Elya Birman prend ce récit légendaire à bras le corps pour nous en livrer toute la puissance hugolienne. Un grand soulèvement de l’âme.
« Comédien fabuleux... bouleversant et grandiose ! » Le Figaro
« Clémentine Niewdanski (mise en scène) laisse place à l’imaginaire des spectateurs, qui se retrouvent embarqués, avec peu de moyens, dans un univers fabuleux. » Télérama
« Le comédien est prodigieux ! La force titanesque du personnage rejoint celle de l’acteur irradiant du don de lui même. » Théâtre(s) magazine
« Elya Birman nous embarque avec Hugo ! » L’Humanité
« Interprétation impressionnante d’Elya Birman. » L’Œil d’Olivier
« Spectacle magnifique ! » Culture Tops
« Interprétation magistrale d’Elya Birman » Au théâtre et ailleurs
« Un vrai choc de théâtre ! » Publik art
« Une vraie performance de comédien au service d’un texte sublime. Un travail admirable ! » Froggy’s Delight
« Un spectacle incontournable. » Fou d’Art
« Le comédien est prodigieux. » Théâtre(s) Magazine
« Un monologue fracassant, poignant et haletant. » La Terrasse
« Une épopée qui touche au sublime, un grand moment de théâtre ! » Le Dauphiné
Les Travailleurs de la mer est le roman de l’isolement, du monologue, de l’individuel. L’aventure de Gilliatt est solitaire. Il faut retranscrire au plateau cette solitude, ce combat de l’Homme face aux gouffres de la nature et aux affres du destin. Un seul comédien sur le plateau, donc. Tour à tour narrateur et personnage(s), il emporte le spectateur au cœur du texte sans brider son imaginaire.
Après le naufrage du navire, la mise en scène adopte cette idée d’anéantissement et de chaos. Parmi les décombres, le narrateur raconte le désastre. Au fur et à mesure qu’il ramasse, trie, assemble, empile, il modèle un espace qui n’est plus celui du souvenir. Il reconstruit le présent de l’histoire. Chaque débris devient un élément de décor, un accessoire, un attribut de personnage.
Le spectateur est ainsi plongé dans le récit sans qu’il s’en rende compte. Le spectacle démarre comme une fable, il s’achève sur l’incarnation d’une solitude.
Clémentine Niewdanski
Exceptionnelle est la prestation de l'acteur Elya Birman qui nous enlace et nous entraîne, hypnotisés par tant de virtuosité, dans un texte sublime, magnifiquement adapté. Sa gestuelle, ses expressions faciales, ses regards, sa mobilité sur la scène, tout concourt à électriser le moindre mot, la moindre situation et nous griser jusqu'à l'étourdissement. Surtout ne manquez pas cette occasion de vous laisser ensorceler !
Pour 1 Notes
Exceptionnelle est la prestation de l'acteur Elya Birman qui nous enlace et nous entraîne, hypnotisés par tant de virtuosité, dans un texte sublime, magnifiquement adapté. Sa gestuelle, ses expressions faciales, ses regards, sa mobilité sur la scène, tout concourt à électriser le moindre mot, la moindre situation et nous griser jusqu'à l'étourdissement. Surtout ne manquez pas cette occasion de vous laisser ensorceler !
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