
Depuis sa création en 1942 par Marcel Oger, le Théâtre de Poche-Montparnasse a vu se succéder de nombreuses directions. Toutes se sont relayées dans le même esprit de défense de textes contemporains ou classiques, pour donner aux auteurs et aux artistes qui les servaient un espace de libre expression au cœur du quartier animé de Montparnasse.
La nouvelle équipe qui a repris les rênes du théâtre en Décembre 2011 a souhaité raviver l’aspect de ce lieu mythique, sans rien lui retirer de sa personnalité. Outre la salle du rez-de-chaussée (122 places), dans laquelle sont nées de grandes pièces d’Audiberti, Ionesco, Billetdoux, entres autres et qui a été entièrement rénovée, le théâtre s’est doté d’un foyer, lieu de restauration, d’accueil et de rencontres.
Il a également rouvert la salle du sous-sol (80 places), en sommeil depuis des années, sous le nom de « Petit Poche », qui se veut le lieu des surprises. Il est avant tout destiné aux compagnies désireuses de présenter un travail de troupe, qui mêle la qualité du texte à une exigence d’interprétation et à un désir de fédérer les publics par l’audace, l’originalité et la fantaisie de sa proposition."
Le Théâtre de Poche-Montparnasse dispose de deux salles de spectacle. La salle du Grand Poche, 122 fauteuils en disposition frontale & la salle du Petit Poche, 80 places, où les spectateurs sont assis sur des chaises ou sur des tabourets hauts. Depuis la dernière saison, dans les deux salles le placement est numéroté.
La salle du Grand Poche est accessible aux personnes à mobilité réduite, elle peut accueillir un seul fauteuil roulant par représentation merci de le préciser avant votre commande au 01 45 44 50 21 (pour vérification des disponibilités directement auprès du théâtre).
Le bar du théâtre est ouvert 1 heure avant et 1 heure après les représentations ! Les places sont à retirer 30 minutes avant le début du spectacle.
Dans ce lieu, les ouvreurs sont rémunérés au pourboire.
Une œuvre phare du théâtre d’Albert Camus mise en scène par Maxime d'Aboville.
Françoise Sagan s'est souvent livrée à l’exercice des interviews et entretiens médiatiques avec une touchante et sauvage spontanéité. Caroline Loeb fait revivre son intelligence féroce, sa tendresse caustique, son humour rebelle, à travers une série de confidences.
En un duo inédit et détonant, Judith Magre et Eric Naulleau rendent hommage à l'un des poètes les plus connus de France : Louis Aragon.
Une comédie cruelle et irrévérencieuse, signée Sagan !
Marc Chouppart et Jean-Paul Farré conjuguent leurs talents de duettistes pour nous livrer une version fidèle autant que clownesque de la dernière œuvre de Flaubert.
Les Travailleurs de la mer, roman phare de Victor Hugo, raconte le combat d’un homme avec deux forces supérieures : la mer et l’amour. Elya Birman prend ce récit légendaire à bras le corps pour nous en livrer toute la puissance hugolienne. Un grand soulèvement de l’âme.
Deux fois Molière du Comédien, Maxime d'Aboville fait revivre La Révolution Française à travers de grands textes de notre littérature, de Victor Hugo à Alexandre Dumas. À partir de 12 ans.
Pour cette deuxième Leçon d’histoire de France, Maxime d’Aboville fait revivre les plus belles pages d’oeuvres mythiques de notre littérature, comme Les Trois Mousquetaires ou les Mémoires de Saint-Simon, pour conter l’histoire de France à la manière d’un palpitant récit d’aventures ou d’une savoureuse chronique de moeurs. Tout public dès 12 ans.
Une soirée de folie avec le maestro du Second Empire.
« Je m’appelle Sidonie Gabrielle Colette. Je veux faire ce que je veux… Je veux danser nue, si le maillot me gêne et humilie ma plastique. »
Balzac nous introduit dans l’intimité de Caroline et d’Adolphe, prototypes du couple, dont il dissèque chaque aspect, tableau après tableau avec une ironie jubilatoire.
Qu’est-ce que le bonheur conjugal ? Une promesse, un paradoxe ? C’est ce dont la jeune Macha va faire l’expérience.
Anne Baquet c’est une chanson douce qui parfois se fait volcan. C’est la musique de la vie qui va et vient. C’est une voix qui dit beaucoup l’air de rien. C’est ce joli clown soprano qui chante Mozart debout sur un piano. La voici de retour avec son pianiste Damien Nédonchelle dans un tour de chant dont elle a le secret.
Sous forme d’une enquête théâtrale, les œuvres de Monteverdi, Glück et Offenbach sont interrogées par un facétieux trio de musiciennes, pour faire enfin la vérité sur le mythe d’Orphée.
75, boulevard du Montparnasse 75006 Paris