
C'est autour d'une version « limpide, organique, vivante et visuelle, porteuse de modernité et subversive » de la pièce de Molière que Frédérique Lazarini souhaite réunir les spectateurs, avec la certitude que, même en alexandrins, les maximes de cette « éducation sentimentale » ne sont pas toujours surannées...
C'est l'histoire d'une journée dans la maison d'Arnolphe, ce tuteur qui aime et veut épouser sa pupille, mais qui, pour qu'elle reste bien à lui, l'éduque dans l'ignorance et l'isole du monde extérieur…
On sait que la comédie contrarie son projet et le ridiculise, mais on peut compter sur Frédérique Lazarini, qui la met en scène pour ne pas renoncer pour autant à la complexité du fait amoureux et n'en négliger, de part et d'autre, ni les abus, ni les beautés.
C'est autour d'une version « limpide, organique, vivante et visuelle, porteuse de modernité et subversive » qu'elle souhaite réunir les spectateurs, avec la certitude que, même en alexandrins, les maximes de cette « éducation sentimentale » ne sont pas toujours surannées...
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