
Un homme, raisonnable et sérieux, voit son quotidien progressivement bouleversé par des phénomènes incompréhensibles.
Un homme, raisonnable et sérieux, voit son quotidien progressivement bouleversé par des phénomènes incompréhensibles. En proie aux doutes et aux hallucinations, il nous entraîne dans les abîmes de son âme à travers son journal intime.
Il se dit poursuivi par une créature invisible, Le Horla, dont il ne sait si elle est réelle ou le résultat d’un trouble psychiatrique. Vous assistez à la descente aux enfers de ce personnage avec une intensité dramatique et un suspense haletant.
Une nouvelle de Maupassant d’une actualité saisissante !
...en provenance du Brésil qui a jeté l'"encre" au théâtre du Gouvernail. Diable soit des intempéries mais de grâce n'en faites pas l'impasse car sur les planches vous verrez un Artiste rare qui vous emportera, vous aspirera dans les profondeurs de l'esprit humain quand ce dernier se brise sur le rocher de la démence, submergé par le doute et noyé comme par vagues successives dans des bouffées hallucinatoires... Et pourtant vous sentirez son souffle, Jean Michel, ce magnifique comédien vous le rendra palpable aux frontières de l'invisible, vous en ressentirez sa matérialité... Mirage ou naufrage de l'esprit... la passerelle est bien fragile entre le normal et ce qui ne l'est pas... Faut-il enfin le voir pour le croire ? Vaste sujet bien trop long à aborder ici… océan de questions en suspens..Horla donc que je revois, oeuvre maintes fois traversée, à la petite croisée, à la Folie Théâtre, à l'Essaion mais au théâtre du Gouvernail ce voyage introspectif a pris en maturité, Jean Michel est admirable vraiment, son jeu va crescendo pour cette descente aux enfers. La mise en scène est sobre et parfaitement efficace, soutenue par d'excellents jeux d'éclairage et des effets sonores... Ce comédien élégant, talentueux et d'une modestie digne des comédiens qui" sont "sans esbroufe aucune, quant à la diction, une caresse à l'oreille. A vous revoir lors d'une prochaine escale !
Quel comédien impressionnant, habité, possédé qui, seul sur scène, nous a fait ressentir jusqu'au moindre frisson, la montée en puissance de la démence, fille de l'angoisse et de l'invisible. Excellents jeux de lumière et mention à la régie. Cette adaptation du Horla si elle ne fait pas oublier celle, plus "théâtrale" de La Folie Théâtre, tout à fait exceptionnelle, cette adaptation, dis-je, est plus intimiste, plus recentrée sur la psychologie du personnage, sans autre effet que les jeux de lumières et une ambiance sonore. Dans cette version, c'est la performance du comédien qui retient, à elle seule, l'attention. Ces deux versions du Horla, sont deux approches différentes, mais de grande qualité. Voyez l'une et l'autre en toute objectivité et votre sensibilité fera le reste !
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...en provenance du Brésil qui a jeté l'"encre" au théâtre du Gouvernail. Diable soit des intempéries mais de grâce n'en faites pas l'impasse car sur les planches vous verrez un Artiste rare qui vous emportera, vous aspirera dans les profondeurs de l'esprit humain quand ce dernier se brise sur le rocher de la démence, submergé par le doute et noyé comme par vagues successives dans des bouffées hallucinatoires... Et pourtant vous sentirez son souffle, Jean Michel, ce magnifique comédien vous le rendra palpable aux frontières de l'invisible, vous en ressentirez sa matérialité... Mirage ou naufrage de l'esprit... la passerelle est bien fragile entre le normal et ce qui ne l'est pas... Faut-il enfin le voir pour le croire ? Vaste sujet bien trop long à aborder ici… océan de questions en suspens..Horla donc que je revois, oeuvre maintes fois traversée, à la petite croisée, à la Folie Théâtre, à l'Essaion mais au théâtre du Gouvernail ce voyage introspectif a pris en maturité, Jean Michel est admirable vraiment, son jeu va crescendo pour cette descente aux enfers. La mise en scène est sobre et parfaitement efficace, soutenue par d'excellents jeux d'éclairage et des effets sonores... Ce comédien élégant, talentueux et d'une modestie digne des comédiens qui" sont "sans esbroufe aucune, quant à la diction, une caresse à l'oreille. A vous revoir lors d'une prochaine escale !
Quel comédien impressionnant, habité, possédé qui, seul sur scène, nous a fait ressentir jusqu'au moindre frisson, la montée en puissance de la démence, fille de l'angoisse et de l'invisible. Excellents jeux de lumière et mention à la régie. Cette adaptation du Horla si elle ne fait pas oublier celle, plus "théâtrale" de La Folie Théâtre, tout à fait exceptionnelle, cette adaptation, dis-je, est plus intimiste, plus recentrée sur la psychologie du personnage, sans autre effet que les jeux de lumières et une ambiance sonore. Dans cette version, c'est la performance du comédien qui retient, à elle seule, l'attention. Ces deux versions du Horla, sont deux approches différentes, mais de grande qualité. Voyez l'une et l'autre en toute objectivité et votre sensibilité fera le reste !
5 passage de Thionville 75019 Paris