
Ce spectacle interroge l’irrationnel de l’admirateur. Il questionne le rapport au fan que je n’ai jamais cessé d’être, qu’on a tous été un jour. J’avais douze ans. Dans mon entourage, un plus grand écoutait L’Ascenseur de 22h43. Depuis, j’ai toujours voulu payer mes dettes. Car, oui, il se trouve qu’entre Hubert-Félix Thiéfaine et mon adolescence, il y a une ardoise. Ce monologue est un solde pour tout compte déguisé en hommage.
Ce spectacle interroge l’irrationnel de l’admirateur. Il questionne le rapport au fan que je n’ai jamais cessé d’être, qu’on a tous été un jour. J’avais douze ans. Dans mon entourage, un plus grand écoutait L’Ascenseur de 22h43. Depuis, j’ai toujours voulu payer mes dettes. Car, oui, il se trouve qu’entre Hubert-Félix Thiéfaine et mon adolescence, il y a une ardoise. Ce monologue est un solde pour tout compte déguisé en hommage.
« Un monologue mêlant exaltation et humour, éclairant le rapport intime qui relie le comédien aux chansons de son idole, au lyrisme de ses textes, à la richesse des références et des inspirations qui font la particularité de son répertoire. » La Terrasse
« Sur scène, Philippe Soltermann incarne un hilarant et émouvant fan d’Hubert-Felix Thiéfaine. Comme son personnage, Philippe soltermann a été électrocuté à l’âge de 12 ans par l’écriture du chanteur « ça a été mon meilleur prof de français, c’est lui qui m’a donné envie de lire Rimbaud ou Appolinaire ». » Libération
« L'exercice de fanitude de Philippe Soltermann n'est pas des plus faciles. Il doit, à chaque fois, se hisser au niveau de son héros et, à chaque fois, rien n'est gagné d'avance. Mais on le redira ici : les plus beaux spectacles sont ceux qui connaissent des hauts et des bas, qui ne sont pas moulés une fois pour toutes à la louche des effets faciles. » Froggy’s delight
« Dans une écriture vivement ciselée, Philippe Soltermann livre une autofiction habile, juste. On sent qu’il a dépassé ce fanatisme qui l’a tant porté : sa plume sait se moquer de ses excès. Mais elle sait aussi garder cette ardeur qui joue avec la folie sans y sombrer. Ce soir-là, il a interprété son texte avec l’énergie d’un désespéré, condamné à vivre dans l’ombre d’un inconnu. L’acteur donne tout. » Rue du Théâtre
Connaissant Thiefaine j’ai été attirée au départ par le titre. Mais la pièce va bien au-delà. Pour les fans, on peut s’identifier à certains moments (les écoutes en boucle, les analyses de texte :)) et pour les non connaisseurs de Thiefaine ça fonctionne aussi par le texte, celui de l’auteur et ceux de Thiefaine et pas grave si on ne fait pas la différence, au contraire. J’ai trouvé l’acteur très touchant. Merci c’était un bon moment pour nous
Un fan électrique, presque possédé, par moments touchant, presque tragique. J'ai été touchée, voire émue. A voir absolument, même si on ne connait rien à Thiéfaine
Pour 2 Notes
Connaissant Thiefaine j’ai été attirée au départ par le titre. Mais la pièce va bien au-delà. Pour les fans, on peut s’identifier à certains moments (les écoutes en boucle, les analyses de texte :)) et pour les non connaisseurs de Thiefaine ça fonctionne aussi par le texte, celui de l’auteur et ceux de Thiefaine et pas grave si on ne fait pas la différence, au contraire. J’ai trouvé l’acteur très touchant. Merci c’était un bon moment pour nous
Un fan électrique, presque possédé, par moments touchant, presque tragique. J'ai été touchée, voire émue. A voir absolument, même si on ne connait rien à Thiéfaine
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