Ce spectacle interroge l’irrationnel de l’admirateur. Il questionne le rapport au fan que je n’ai jamais cessé d’être, qu’on a tous été un jour. J’avais douze ans. Dans mon entourage, un plus grand écoutait L’Ascenseur de 22h43. Depuis, j’ai toujours voulu payer mes dettes. Car, oui, il se trouve qu’entre Hubert-Félix Thiéfaine et mon adolescence, il y a une ardoise. Ce monologue est un solde pour tout compte déguisé en hommage.

Ce spectacle interroge l’irrationnel de l’admirateur. Il questionne le rapport au fan que je n’ai jamais cessé d’être, qu’on a tous été un jour. J’avais douze ans. Dans mon entourage, un plus grand écoutait L’Ascenseur de 22h43. Depuis, j’ai toujours voulu payer mes dettes. Car, oui, il se trouve qu’entre Hubert-Félix Thiéfaine et mon adolescence, il y a une ardoise. Ce monologue est un solde pour tout compte déguisé en hommage.

Ce spectacle interroge l’irrationnel de l’admirateur. Il questionne le rapport au fan que je n’ai jamais cessé d’être, qu’on a tous été un jour. J’avais douze ans. Dans mon entourage, un plus grand écoutait L’Ascenseur de 22h43. Depuis, j’ai toujours voulu payer mes dettes. Car, oui, il se trouve qu’entre Hubert-Félix Thiéfaine et mon adolescence, il y a une ardoise. Ce monologue est un solde pour tout compte déguisé en hommage.

Robert Sandoz aime à expérimenter, à innover. Dix petits nègres, le roman policier d’Agatha Christie s’est imposé à lui comme idéal pour une adaptation scénique. Dix personnages prisonniers, une étrange série de meurtres où chacun tente de résoudre l’énigme, dix individus dont on ne sait rien si ce n’est qu’ils sont potentiellement les coupables du crime…

Comment l’homme vit-il l’émancipation civile, physique, mentale de son épouse ? Rien n’est simple, tout est drôle.