
La vie de trois femmes totalement différentes : Laura, Leni, et Simone. Chacune, lors de circonstances diverses, tue un jour et d’une manière extrêmement violente. Une femme est-elle seulement vouée à donner la vie ? Comment devient-elle une meurtrière ?
Entre scènes de procès et moments de partage dans leur vie quotidienne en prison, ces trois personnages féminins dévoilent leur complexité, loin de tout manichéisme.
« La justice et le théâtre font souvent bon ménage. Et Coupables d’amour ne fait pas exception. Librement inspirée de l’ouvrage Crimes de femmes d’Anne-Sophie Martin et Brigitte Vital-Durand, cette pièce […] aborde avec une grande sensibilité la criminalité des femmes. » France Info
« Tour à tour avocates et accusées, vivant leur procès ou le quotidien carcéral, les trois comédiennes sont constamment justes et émouvantes dans une mise en scène au cordeau. » Télérama, TT
« Portée par l’interprétation sensible de trois comédiennes admirables et une mise en scène impeccable d’Anne Le Guernec, la pièce de Nathalie Kanoui donne la parole à trois femmes accusées de meurtre, répondant de leurs actes face à la justice, payant leur dette à la société. » L'Œil d’Olivier
« Le texte exempt de caricature, la mise en scène délicate, les trois comédiennes, d’une bouleversante vérité, font de Coupables d’amour, un spectacle d’une prégnante actualité. » La grande parade
« Un spectacle profondément humain, porté par trois comédiennes remarquables. Coupables d’amour ne cherche pas à expliquer ni à excuser : il nous invite simplement à écouter. » Théâtre Clau
La pièce convoque plusieurs temps et plusieurs lieux : trois actrices jouent alternativement des détenues et des avocates. Il s’agit d’inventer les chemins, les règles du jeu. Chercher le thriller et le frisson du spectateur comme au cinéma. J’engage le plus grand soin pour montrer sans caricaturer, chercher le paradoxe et la nuance, se rapprocher d’une vérité en gros plan. Ce voyage au cœur de l’âme humaine devient une quête du sens de nos propres existences. De ce qui nous construit, de nos espérances, de notre capacité à choisir tel ou tel chemin.
Anne Le Guernec
Voilà une pièce âpre, inspirée de faits réels. Sur scène, trois femmes en prison. Deux d’entre elles ont respectivement tué père et mari pour mettre fin à leurs parcours violents et incestueux, la troisième fut complice de son amant dans un braquage de « réappropriation » qui a mal tourné. Les trois comédiennes qui les incarnent jouent aussi d’autres rôles, notamment d’avocates. L’écriture fragmentaire et éclatée nous donne à voir leur vie carcérale mais aussi leur passé, leurs procès, leurs fantasmes, leurs rêves, jusqu’à la vie après la prison, le tout dans des scènes souvent rudes. Cette écriture éclatée n’est pas toujours facile à suivre. Surtout, elle nous donne une pièce qui manque de rythme mais qui a le mérite de donner à voir une réalité méconnue. Retenons aussi quelques très moments d’une grande qualité, comme une très belle plaidoirie d’avocate.
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Voilà une pièce âpre, inspirée de faits réels. Sur scène, trois femmes en prison. Deux d’entre elles ont respectivement tué père et mari pour mettre fin à leurs parcours violents et incestueux, la troisième fut complice de son amant dans un braquage de « réappropriation » qui a mal tourné. Les trois comédiennes qui les incarnent jouent aussi d’autres rôles, notamment d’avocates. L’écriture fragmentaire et éclatée nous donne à voir leur vie carcérale mais aussi leur passé, leurs procès, leurs fantasmes, leurs rêves, jusqu’à la vie après la prison, le tout dans des scènes souvent rudes. Cette écriture éclatée n’est pas toujours facile à suivre. Surtout, elle nous donne une pièce qui manque de rythme mais qui a le mérite de donner à voir une réalité méconnue. Retenons aussi quelques très moments d’une grande qualité, comme une très belle plaidoirie d’avocate.
2 bis, Passage La Ruelle 75018 Paris