
L’Espace 1789, scène conventionnée d’intérêt national – art et création – pour la danse de Saint-Ouen est un lieu de spectacle pluridisciplinaire et un cinéma d’art et d’essai doté de deux salles de 400 et 200 places.
Ses missions principales sont la programmation du cinéma, des spectacles et l’organisation d’actions culturelles en lien avec ces programmations.
L’Espace 1789 accueille des artistes en résidence, soutient des créations, présente des spectacles de tous horizons, avec une attention particulière portée à la danse, en tant que scène conventionnée pour la danse.
En Délégation de Service Public par la Ville de Saint-Ouen, le CAFAC est l'association de gestion de l'Espace 1789, qui reçoit - en plus du soutien important de la ville - des aides du Conseil Départemental, de la Région Ile-de-France et de la DRAC Ile-de-France - Ministère de la Culture et de la Communication, et du CNC notamment.
L’Espace 1789 est un cinéma classé Art et essai, doté des labels recherche et découverte, patrimoine et jeune public ; nous menons un travail d’éducation à l’image tant en direction des publics jeunes que des publics adultes, accueillons de nombreux réalisateurs, animons des débats passionnés.
Le bâtiment de l’Espace 1789, construit en 1989 par la municipalité de Saint-Ouen, est la propriété de la ville, qui en confie la gestion à une association, le CAFAC, à travers une délégation de service public.
La période de l’entre-deux guerre fut marquée par l’apogée du cinéma dans la banlieue parisienne. Saint-Ouen a vu s’installer trois salles publiques : l’Alhambra (1 700 places), le Trianon (300 places) et le Star (1 000 places).
Mais dans les années 70, beaucoup de cinémas de quartiers n’ont pas survécu à l’entrée de la télévision dans les foyers.
La municipalité a racheté la salle l’Alhambra dès 1972, sauvant ainsi la dernière salle de spectacles de la ville. Elle en confie la gestion et l’exploitation au Comité des Fêtes qui en 1980 devient le CAFAC.
En 1988, il a fallu se résoudre, pour des questions de sécurité et de mises aux normes techniques, à fermer l’Alhambra à la faveur d’une nouvelle construction.
La municipalité de Saint-Ouen, sous l’impulsion de son maire Paulette Fost, a donc édifié l’Espace 1789 en 1989, afin de sauvegarder une salle de spectacle et cinéma dans la périphérie de la capitale.
La salle est accessible aux personnes à mobilité réduite, merci de le préciser avant votre commande au 01 40 11 70 72 (pour vérification des disponibilités). Les salles sont équipées d'un système d'amplificateurs individuels de son pour le confort des spectateurs malentendants.
Le chorégraphe poursuit sa recherche autour du geste aérien. Mêlant corps à corps et envols, il évoque avec dix interprètes de la Compagnie de Chaillot, l’enfance, les marques du temps qui passe, la disparition… Il imagine la façon dont nos proches continuent de nous accompagner de leur présence malgré leur disparition.
Entré dans la danse par le b-boying au cœur des années 2000, Saïdoh Lehlouh a construit son regard de chorégraphe dans les salles d’entraînements du break, là où l’on bouge et improvise ensemble, avec une attention constante à l’autre.
Contre la destruction, la violence et le désastre du présent, la chorégraphe Jann Gallois entend nous rappeler qu'un autre chemin est possible. Imminentes propose une alternative, comme une marée pénétrante portée par six femmes souveraines, sorcières, déesses, nymphes qui élèvent leurs murmures tels des mugissements.
Mickaël Phelippeau invite les dynamiques Major's Girls de Montpellier et leur propose de s'interroger sur leur histoire et leur pratique. Sur scène, elles prennent la parole et retracent leur parcours de femmes avec sincérité et émotion.
Plongée dans l’univers kaléidoscopique du collectif star qui bouscule les codes de la danse. À partir de 15 ans
Le quatuor franco-marocain propose une fusion des plus groovantes, entre gnawa, blues, funk et rock psychédélique.
Quand le hip-hop rencontre les infinies nuances de noir de Pierre Soulages. Inspiré par le travail du peintre français, le chorégraphe Mickaël Le Mer imagine une quête dansée et lumineuse, pleine d’humanité.
Magie ou jonglage ? Heka renverse les sens et les perceptions dans un ballet de numéros spectaculaires, drôles et envoûtants. Les objets apparaissent, disparaissent, lévitent et émerveillent les spectateurs, petits et grands.
Pedro est le troisième volet de la trilogie de Juliette Navis, après J.C. (Jean-Claude Van Damme) et Céline (Dion). Elle réunit ces deux interprètes et à travers l’univers de Pedro Almodóvar, s'attache au désir, au plaisir et à la sexualité…
Un solo piano-voix habité et mélancolique. Né à Beyrouth en 1983, Bachar Mar-Khalifé a grandi au milieu des bouleversements politiques libanais. Ses compositions d’une sensibilité rare s’en font l’écho, abordant la guerre ou l’exil, mais aussi l’espoir et une certaine beauté du monde.
Carmel Loanga poursuit sa résidence à l’Espace 1789 après L’Ivresse des lucioles et L’Effet Mère et met en lumière la richesse culturelle du Gabon.
Malik Djoudi est aujourd'hui une des sensations de la pop française. Dans son dernier opus Vivant il se livre avec délicatesse et insuffle un message de liberté et de joie.
Un classique de la danse contemporaine. Créé en 1983, Rosas danst Rosas propulse Anne Teresa De Keersmaeker sur la scène internationale.
Ciné-concert pop malicieux, Doggo est une caresse pour l’âme, une friandise pour petit·es et grand·es.
Porté par la fougue de deux chorégraphes palestiniens – Amir Sabra et Ata Khatab - Badke(remix) renaît malgré l'urgence de la guerre. Une nouvelle version vibrante d’un spectacle mémorable créé il y a dix ans avec dix danseur·ses.
À une amie qui lui demande conseil pour donner à sa fille une éducation féministe, l'autrice répond par une lettre enjouée, non dénuée d'ironie, qui prend la tournure d’un manifeste.
Les émotions fortes sont à l’honneur dans ce programme de six courts-métrages, six histoires amusantes et touchantes, de La petite taupe en prise avec un chewing-gum jusqu’au Poisson-veilleuse qui cherche la lumière pour s'endormir.
Deux pièces sur des bandes-son composées de bribes de discours politiques : le solo magnétique, presqu'en noir et blanc, de Lisbeth Gruwez dont le corps se meut sous l'emprise des mots, suivi d'une courte pièce haute en couleur, réjouissante et cinglante avec 45 amateur.es.
Dans son seule en scène autobiographique rempli d'autodérision, Yousra Dahry nous raconte sa vie avec humour, malice et tendresse. Et avec une plume et une gouaille extraordinaires. Il est question de lien social, de conflits de classes et de tolérance.
2/4, rue Alexandre Bachelet 93400 Saint-Ouen
Voiture : D111 depuis Porte de Saint-Ouen, direction Mairie de Saint-Ouen. Prendre à droite rue des Rosiers et à gauche, rue Alexandre Bachelet. Rue des Rosiers depuis Porte de Clignancourt, puis à droite, rue Alexandre Bachelet. D912 puis D410 depuis Porte de Clichy, puis à droite, rue Ernest Renan et prendre à gauche, rue Alexandre Bachelet.