Tout le théâtre à Paris et en Île-de-France - Page 18

Traviata, Bohème ou lorsque l’opéra italien, au sommet de sa gloire, choisit Paris pour donner voix au jeu cruel de l’amour et de la mort… Sublime, forcément sublime.

Après le succès de Masques et nez où il s’adonnait avec humour et passion à une vraie-fausse leçon de théâtre, l’auteur et metteur en scène Igor Mendjisky revient au théâtre de masque avec Notre Humble Avis.

Deux pièces sur des bandes-son composées de bribes de discours politiques : le solo magnétique, presqu'en noir et blanc, de Lisbeth Gruwez dont le corps se meut sous l'emprise des mots, suivi d'une courte pièce haute en couleur, réjouissante et cinglante avec 45 amateur.es.

Après plus de 400 représentations de son premier spectacle (disponible sur YouTube pour les retardataires), Jason Brokerss est de retour. Plus mature ? Peut-être. Plus drôle ? Clairement ! À partir de 16 ans

Le collectif BPM présente une adaptation réjouissante et libre du classique intemporel de Tchekhov, Les Trois Sœurs. Joué à trois, la pièce passée dans la moulinette créative du trio d'artistes suisses en porte la marque de fabrique : l'intelligence, la générosité et l'humour, au service d'un théâtre populaire. À partir de 12 ans

Et si nous faisions découvrir Molière aux enfants ? Cette pièce réunit en un format original des extraits de pièces de Molière. Momo et Lili viennent d’être condamnés à des travaux d’intérêt général. Ils doivent trier les archives du théâtre municipal. Les voilà enfermés dans les coulisses d’un théâtre rempli de vieux bouquins.

Carmel Loanga poursuit sa résidence à l’Espace 1789 après L’Ivresse des lucioles et L’Effet Mère et met en lumière la richesse culturelle du Gabon.

Porté par la fougue de deux chorégraphes palestiniens – Amir Sabra et Ata Khatab - Badke(remix) renaît malgré l'urgence de la guerre. Une nouvelle version vibrante d’un spectacle mémorable créé il y a dix ans avec dix danseur·ses.

Princesse de pierre et Rouge dents sont deux pièces de Pauline Peyrade tirées du recueil Portrait d’une sirène qui emprunte à l’univers des contes de fées pour dépeindre des personnages féminins traversées par des forces plus cruelles encore que celles de leurs « grandes sœurs » des contes. À partir de 12 ans

Douze jeunes danseurs, aux parcours et influences multiples, explorent à l'unisson ce qui les relie à la danse. Nous n'arrivons pas les mains vides met en mouvement leurs histoires, leur jeunesse et leurs aspirations. Balkis Moutashar esquisse le portrait d'une génération : celle des danseurs de demain. À partir de 10 ans

Dans un solo aux frontières du théâtre, du clown et de la performance, Blanche Ripoche campe Coraline, un être étrange, malhabile et attachant, qui essaie désespérément d’être normal.

Traviata, Bohème ou lorsque l’opéra italien, au sommet de sa gloire, choisit Paris pour donner voix au jeu cruel de l’amour et de la mort… Sublime, forcément sublime.

Avec trois acrobates et une musicienne au plateau, Luna Rousseau et Nathan Israël se penchent sur notre rapport au monde et à l’autre à travers le prisme de l’incidence.

Un solo qui ne se laisse pas nommer. Sur scène, Johana Malédon, un corps et un écran LED surnommé la grosse étiquette cohabitent, se répondent, se frictionnent. Suivi de la performance d’Amélie Poulain et Julieta Leca explorant les frontières entre le réel et le virtuel. Fusionnant beatbox et danse, le duo crée une connexion brute et immédiate.

Cette soirée, croisant débats et de performances, vise à l'élargissement de nos regards et nos imaginaires autour du lien entre l'art et le soin.

Pour cette deuxième soirée, Shane Haddad invite des auteur⸱ices émergent-es qui travaillent comme elle sur des thèmes mêlant oralité et écriture, plateau (quel qu’il soit) et objet-livre.

Récital violon et piano aux chandelles avec William Winterstin au piano, et Nicolas Debart au violon.

Sons of Jumira est un jeune trio d’Amsterdam soutenu par le festival et label Super-Sonic Jazz et dont le premier EP sortira quelques semaines avant ce concert.

Quand une éditrice de seconde zone, légèrement nympho sur les bords, rencontre une pédopsychiatre autoproclamée, un peu trop cash, agressive et pas vraiment politiquement correcte… ça fait des étincelles !

Mêlant cauchemar et réalité, humour noir et jeux de rôles, une sœur et un frère fantasment le récit de leur enfance. Avec les débris de leur passé, ils recomposent une histoire extraordinaire et douloureuse.

Une pseudo-conférence sur les Mille et Une magouilles du far ouest. À partir de 8 ans.

L'histoire contée d'Ilya Mouromets, le chevalier paysan, sans peur et sans reproche.

La violoncelliste Ylia Duchemin interprète Les Suites pour Violoncelle de Bach dans le cadre exceptionnel de l'église Saint-Ephrem.

Récital pour violoncelle et piano par Ylia Duchemin et William Winterstin. Au programme : Schubert, Fauré et Rachmaninov.

Sylvain a 40 ans, il se remémore deux expériences marquantes de son parcours d’acteur. À force de persévérance, à la sortie du conservatoire, il va rencontrer et travailler avec les artistes de ses rêves. Il parle de ses débuts passionnés, des rencontres fondatrices, des défis à surmonter, de sa ténacité candide et des fantasmes à l’épreuve d’une réalité qui se révélera plus douloureuse qu’il ne l’imaginait. À partir de 14 ans

Sur les étagères du bâtiment qui abritait les actualités yougoslaves à Belgrade, la cinéaste et artiste serbe Mila Turajlić découvre des centaines de bobines oubliées : celles, nombreuses, filmées pendant la présidence yougoslave de Tito, documentant notamment l'émergence du mouvement des non-alignés.

Dans ce duo écrit en collaboration avec la magnétique Émilie Leriche, Martin Harriague signe une partition subtile et à fleur de peau sur la rencontre et l’état amoureux. À partir de 12 ans

Deux pièces, deux écritures chorégraphiques, une même quête : dévoiler l'humain caché derrière les apparences. Dans ce plateau partagé, Tanguy Crémoux et Camille Dewaele explorent les limites du corps, du masque social et de l'équilibre intérieur. À partir de 14 ans

Après Vers le spectre, accueilli en 2024 et lauréat du festival Impatience, Maurin Ollès poursuit son exploration des institutions publiques et de la prise en charge des marginalités. Le metteur en scène s’intéresse aux politiques publiques en matière d’addictions, en adoptant un prisme rarement abordé : celui des femmes.

Seul en scène, Jacques Gamblin donne vie au livre qu’il a consacré au facteur Cheval et son fameux monument de pierres : le Palais idéal. Dans une mise en scène épurée, le comédien nous entraine avec lui dans sa fascination pour ce bâtisseur atypique. « Cette folie qui fait du bien. »