
Dans une Europe minée par la guerre, sous le règne de François 1er, une jeune femme se lance à la poursuite d’un homme qu’elle veut aimer malgré lui. Cette comédie nous fait vivre l’obstination d’une orpheline, amoureuse du fils de la femme qui l’a élevée. À partir de 12 ans.
À partir de 12 ans.
Jusqu’où peut aller le désir d’une femme ? Jusqu’où peut aller la lâcheté d’un homme ?
Tout est bien qui finit bien, comédie composée par William Shakespeare vers 1604, frappe par sa charge érotique totalement décomplexée et par son déroulé hautement rocambolesque. L’intrigue surprend et la nature de ses protagonistes déroute : ce ne sont pas des héro·ines extraordinaires ou des monstres que l’on pourrait mettre à distance avec confort, mais des personnages troubles, portant en eux un savant dosage de sentiments contradictoires : pudeur et érotisme, pureté et désir fou, fidélité et inconstance, épopée personnelle et Histoire.
Cette fois-ci, ce n’est pas avec la troupe du « Nouveau Théâtre Populaire », dont il est membre, que Frédéric Jessua monte ce spectacle. On y retrouve cependant de même l’esprit de troupe d’un théâtre de tréteaux et le goût pour la dérision. Dans « Tout est bien qui finit bien » ce goût pour la dérision demeure dosé avec art, assez fort pour déclencher le rire, assez maîtrisé pour ne pas nuire au sens de l’action qui progresse. On doit aussi relever deux très beaux rôles de femme : celui d’Hélène, l’amoureuse obstinée, et celui de la Comtesse de Roussillon, sa mère adoptive.
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Cette fois-ci, ce n’est pas avec la troupe du « Nouveau Théâtre Populaire », dont il est membre, que Frédéric Jessua monte ce spectacle. On y retrouve cependant de même l’esprit de troupe d’un théâtre de tréteaux et le goût pour la dérision. Dans « Tout est bien qui finit bien » ce goût pour la dérision demeure dosé avec art, assez fort pour déclencher le rire, assez maîtrisé pour ne pas nuire au sens de l’action qui progresse. On doit aussi relever deux très beaux rôles de femme : celui d’Hélène, l’amoureuse obstinée, et celui de la Comtesse de Roussillon, sa mère adoptive.
30, rue du Chevaleret 75013 Paris