Si vous en aviez la possibilité, que diriez-vous à ceux qui sont partis ? Une histoire gaie et touchante à voir en famille ! Une réconciliation avec soi-même et ses proches.
José vide la maison familiale, mais les souvenirs avec sa mère Suzie remplissent encore bien les lieux. Soudain, José est troublé : sa mère lui apparait !
Débordante de facéties, de joie et de tendresse, elle tourbillonne autour de José. Sur fond d’humour, elle emporte son fils loin de sa peine.
« En créant cette situation exceptionnelle pour "permettre à José, le fils, et à sa mère, Suzie, de se libérer à travers le verbe, le jeu et l’imagination", Cédric Ingard souhaite également "parler de la difficulté de tenir des rôles ou d’assumer des statuts imposés par la société." » Le Monde
« La pièce est une comédie dramatique tout en finesse. La remémoration de cette relation que José a eu avec sa mère, Suzy, nous traverse. Une histoire qui parle de et à tout un chacun. Savoir, se (re)trouver au-delà de la disparition. Un duo où lui, le fils, attend des réponses à son malaise d’enfant. » L'autre Scène
« Quelle belle idée que d’avoir pour un moment, une soirée, une nuit, la visite impromptue d’un être cher à qui l’on n'a pas eu le temps ou su dire certains mots. Des mots qui deviennent, au fil du temps, un fardeau à supporter jour après jour. Quelle trouvaille que d’entendre des paroles de réconfort. » Froggy’s Delight
« Au-delà de la relation mère-fils, la pièce aborde avec pudeur des questions essentielles : le poids des rôles sociaux, la difficulté d’accompagner la fin de vie, le renversement des places entre parent et enfant, le rôle d’aidant familial et surtout, la mémoire comme fondement de l’identité. » Silver Eco
« Tous les chiens sont roses rappelle que derrière la douleur, il y a toujours la possibilité d’un rire, d’un geste tendre, d’un mot retrouvé. « À travers cette histoire, ce sont deux voix humaines qui vibrent et que le vent disperse. Je souhaiterais faire résonner leur chant d’amour et vous le partager » L'Eléphant, la revue de Culture Générale
« Il y a l’inévitable confrontation à celui qui s’enfonce dans un monde inconnu et redouté. Et un jour, vient le départ pour une autre rive, laissant parfois d’âpres regrets. C’est tout cela qu’aborde Cédric Ingard, auteur et acteur de Tous les chiens sont roses. » La Vie
« Ce qui frappe, c'est la capacité de l'auteur à trouver le ton juste entre comédie et drame. Les répliques punchies nous font rire beaucoup, pleurer un peu, et surtout réfléchir aux liens qui nous unissent à nos proches .Recommandée dès 12 ans, elle permet aux adolescents comme aux adultes d'appréhender ce thème avec délicatesse. » Sortir à Paris
Tout est dit, ou presque, car c'est le genre de pièce à texte bavard, qui se veut, se prétend... qui touche sans doute un public sincère, mais... pas pour moi, car trop d'agitation, de bruit pour... J'ai ressenti les longueurs et l'ennui malgré une comédienne solaire et touchante. À chacun son théâtre selon sa sensibilité…
Les deux comédiens (Sylvie Flora et Cédric Ingard) sont excellents et Sylvie est remarquable dans le rôle de la mère si vivante pour les autres et dans ses joies du quotidien. Un homme se trouve confronté, au-delà de la maladie de sa maman présente physiquement mais tellement absente non seulement dans la maladie mais dans sa préférence pour l'autre fils. Beaucoup de tendresse dans ce ressenti de souffrance et d'abandon.
Pour 2 Notes
Tout est dit, ou presque, car c'est le genre de pièce à texte bavard, qui se veut, se prétend... qui touche sans doute un public sincère, mais... pas pour moi, car trop d'agitation, de bruit pour... J'ai ressenti les longueurs et l'ennui malgré une comédienne solaire et touchante. À chacun son théâtre selon sa sensibilité…
Les deux comédiens (Sylvie Flora et Cédric Ingard) sont excellents et Sylvie est remarquable dans le rôle de la mère si vivante pour les autres et dans ses joies du quotidien. Un homme se trouve confronté, au-delà de la maladie de sa maman présente physiquement mais tellement absente non seulement dans la maladie mais dans sa préférence pour l'autre fils. Beaucoup de tendresse dans ce ressenti de souffrance et d'abandon.
6, rue Pierre-au-Lard 75004 Paris