Noires pensées, mains fermes

1
2
3
4
5

Les Ateliers à Lyon , Lyon

Du 11 au 31 janvier 2008

CONTEMPORAIN

« Un thriller machiavélique ». C’est l’histoire d’un jeune prince qui, ayant assassiné son père afin d’accéder au pouvoir…
Continuer la lecture

Spectacle terminé depuis le 31 janvier 2008

 

Noires pensées, mains fermes

De

David Mambouch

Mise en scène

David Mambouch

Avec

Stéphane Bernard

,

Mathieu Besnier

,

Olivier Borle

,

Vincent Farasse

,

Anne Ferret

,

Karen Fichelson

,

Laure Giappiconi

,

Yann Lheureux

,

Mychel Lecoq

,

Catherine Hargreaves

  • Un thriller machiavélique

C’est l’histoire d’un jeune prince qui, ayant assassiné son père afin d’accéder au pouvoir, va périr par où il a péché. Sa mère, la reine, complice, voire instigatrice du meurtre, fomente à son encontre une machination complexe, visant à l’inculper, le détrôner, le faire jeter en prison et condamner à mort. Pour ce faire, elle s’allie au Cardinal, un individu sournois et véreux. Le père assassiné réapparaît – fantôme ou sosie, nul ne sait -, et prend lui-même part au complot. Un procès est instruit. Ouvertement truqué, il se révèle une inextricable mise en scène, un cauchemar éveillé.

Rêve, ou cauchemar plutôt, vision d’un enfant qui en place de ses parents voit deux mystères insondables, deux coeurs inatteignables – individus dont il se sent indigne, et dont il n’attend par conséquent rien moins que colère, haine et destruction.

  • Note de l'auteur-metteur en scène

« Ma pièce soulève un problème terriblement d’actualité. Sans doute la plus prodigieuse arnaque de notre société : nos parents essaient de nous tuer. C’est une chose dont je suis absolument certain à présent. Croyez-moi, ces types ne plaisantent pas, peu importe que vous ayez un plan, ils finiront par vous avoir, un jour ou l’autre. Et c’est vous qui fournirez les armes. J’ai écrit cette pièce pour éveiller l’esprit des gens. Mais je ne donne pas de solutions. A peine un conseil. Tant qu’il en est encore temps, fuyez. »

David Mambouch

  • Extrait

« On raconte que vous fîtes le portrait d’un roi dont la ressemblance avec son modèle était si stupéfiante que le peuple s’en empara, et dans sa fureur voulût le mettre au bûcher. C’est ce qu’on raconte. La milice rétablit l’ordre et sauva le tableau des flammes, mais le portrait resta brûlé au niveau des yeux. On fut alors obligé d’arracher ses propres yeux au roi afin que la ressemblance... Mais non, je suppose que j’invente cette partie. Etes-vous seulement même peintre ? »

Pourraient aussi vous intéresser

Avis du public : Noires pensées, mains fermes

0 Note

0 avis

1
2
3
4
5

Excellent


(0)

Très bon


(0)

Bon


(0)

Pas mal


(0)

Peut mieux faire


(0)
Donnez votre avis
Excellent
Très bon
Bon
Pas mal
Peut mieux faire
Vous pouvez consulter notre politique de modération
UTILES + NOTES + NOTES - RÉCENTS ANCIENS

Spectacles consultés récemment