Le malheur de Job

Bobigny (93)
du 10 au 22 mars 2008
1h20

Le malheur de Job

Original, le héros de cette fable millénaire, dont l’histoire nous est racontée dans l’un des plus beaux récits parabolique et poétique de l’Ancien Testament va découvrir la solitude dans la misère après avoir été le plus privilégié des privilégiés. C’est autour de ce Job, de celui qui va épuiser toutes les possibilités du malheur, que Jean Lambert-wild nous propose sa réflexion théâtrale sur « l’homme », l’homme hors de lui, l’homme seul, l’homme dans ses contradictions.

« Bonjour, mon ami Job ; tu es un des plus anciens originaux dont les livres fassent mention… » écrit Voltaire dans son Dictionnaire philosophique.

Original, le héros de cette fable millénaire, dont l’histoire nous est racontée dans l’un des plus beaux récits parabolique et poétique de l’Ancien Testament va découvrir la solitude dans la misère après avoir été le plus privilégié des privilégiés. C’est autour de ce Job, de celui qui va épuiser toutes les possibilités du malheur, que Jean Lambert-wild nous propose sa réflexion théâtrale sur « l’homme », l’homme hors de lui, l’homme seul, l’homme dans ses contradictions. Job, archétype du rejeté, de l’abandonné est assis sur son tas de fumier comme tant de nations le sont aujourd’hui sur leurs propres injustices. Job ne refuse pas l’affrontement pour se maintenir dans la dignité, pour ne pas devenir un esclave dépossédé de sa singularité, de ses origines, privé de son langage, de son corps, exclu de sa communauté. Job se bat et crie et son cri est insoutenable.

Pour le faire entendre au plus près de notre réalité du XXIe siècle, Jean Lambert-Wild s’entoure d’un rappeur, Dgiz, entouré de deux « Paillasses », jongleurs et clowns, et, fidèle à ses passions et à ses curiosités, il utilise les techniques et les machines nouvelles dont le théâtre ne doit pas avoir peur mais qu’il doit utiliser. Ainsi se maintiendra-t-il dans son état de dernier rituel indispensable, au cours duquel la société se met en scène aux yeux de tous ses membres. De cette interaction porteuse de richesses multiples naît un spectacle au début duquel il sera demandé au spectateur de ne surtout pas éteindre son portable… s’il en a un !…

Avec la voix de Dgiz et la voix électronique de Stéphane Pelliccia.

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Spectacle terminé depuis le samedi 22 mars 2008

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