En hommage à leur leader, des éboueurs occupent les planches et y donnent le show de leur vie ! Un happening poétique et politique.
À Baker, patelin typique du monde occidental, une grève d’éboueurs tourne à l’émeute, entraînant la mort du meneur John Kaltenbrunner. Dix ans plus tard, en hommage au disparu, ses camarades envahissent la scène pour rétablir leur version de l’histoire : déployant un théâtre qui mélange élans poétiques, musique live, danse, pantomime, stand-up ou cabaret, et bousculant pour cette épopée tous les codes de la représentation.
Entre échappées délirantes et situations très crues, c’est l’aberrante marche du monde qui ressort de cet ardent happening, où le burlesque le dispute au tragique. En creux, un manifeste politique ayant pour protagonistes des laissés-pour-compte, broyés par un système asservi au capital et au mâle tout-puissant. Ils occupent le théâtre avec la volonté de rétablir leur point de vue, témoigner de leurs existences et de leurs blessures, interroger la fatalité historique de la violence, dans une alternative émancipatrice.
Bavard, bavard, bavard, ce spectacle est bavard, bavard, bavard ou, plus précisément, long, bavard, confus - très confus - et prétentieux. J’ai trouvé le temps fort long avant l’entracte salvateur qui m’a permis de partir. Après un prologue parlé-chanté par un musicien dont la voix mal articulée est couverte par la guitare électrique, le spectacle commence par une laborieuse scène d’exposition, au cours de laquelle on apprend que d’anciens éboueurs vont rendre hommage à John Kaltenbrunner, un de leurs anciens collègues aujourd’hui disparu, qui avait mené une grève dix ans auparavant. Seulement voilà, de bavardage inutile en bavardage inutile, oscillant entre le pas très fin et le prétentieux, on se retrouve, après 2h15 de spectacle, dans une situation où ledit John Kaltenbrunner est encore adolescent et pas encore éboueur. Je n’ai pas eu le courage d’attendre la suite, je me suis échappé.
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Bavard, bavard, bavard, ce spectacle est bavard, bavard, bavard ou, plus précisément, long, bavard, confus - très confus - et prétentieux. J’ai trouvé le temps fort long avant l’entracte salvateur qui m’a permis de partir. Après un prologue parlé-chanté par un musicien dont la voix mal articulée est couverte par la guitare électrique, le spectacle commence par une laborieuse scène d’exposition, au cours de laquelle on apprend que d’anciens éboueurs vont rendre hommage à John Kaltenbrunner, un de leurs anciens collègues aujourd’hui disparu, qui avait mené une grève dix ans auparavant. Seulement voilà, de bavardage inutile en bavardage inutile, oscillant entre le pas très fin et le prétentieux, on se retrouve, après 2h15 de spectacle, dans une situation où ledit John Kaltenbrunner est encore adolescent et pas encore éboueur. Je n’ai pas eu le courage d’attendre la suite, je me suis échappé.
9, bd Lénine 93000 Bobigny
Voiture : A3 (Porte de Bagnolet) ou A1 (Roissy) ou RN3 (Porte de Pantin) sortie Bobigny / centre-ville ou A86 sorties N° 14 Bobigny /Drancy.
Parking à proximité (un parking gratuit dans le centre commercial Bobigny 2 est accessible les soirs de représentation)