
Joséphine Baker revisitée par Germaine Acogny et Le Sacre du printemps de Pina Bausch interprété par des danseurs africains.
Nouvelle saison, nouvelle direction du Théâtre et d’emblée les grandes orientations sont données : chérir la mémoire du passé et adopter les audaces du présent. Il fallait bien une figure aussi emblématique pour l’histoire du Théâtre et pour le récit de l’ère moderne que celle de Joséphine Baker dont on fête en 2025 le centenaire de la première apparition parisienne sur cette scène et le cinquantenaire de la disparition.
Renouer avec le passé, c’est aussi, encore et toujours, faire résonner Le Sacre du printemps. Faire converser la figure de Joséphine et celle de Pina Bausch, l’une des personnalités les plus inventives de la danse européenne s’est imposé presque naturellement.
15, avenue Montaigne 75008 Paris