Thomas Lebrun - Les rois de la piste

• Au cœur de ces micro-sociétés d’un soir

Dans les lumières saccadées des stroboscopes, perchée sur un podium, une quarantaine de personnages aux looks improbables défilent à un rythme effréné sur les hits d’hier et d’aujourd’hui. La boîte de nuit, le dancing, la discothèque ou encore la boum sont des lieux iconiques où chacun projette, le temps d’une danse, ses désirs et son être dans l’espoir d’y trouver sa place et d’être vu.

Sous l’apparente légèreté de cette comédie sociale et de ses clichés, Thomas Lebrun et ses quatre complices nous entrainent au cœur de ces micro-sociétés d’un soir où le paraître prend le pas sur l’être pour mieux exister.

La représentation sera suivie d'un after avec DJ. Préparez-vous à rejoindre les rois de la piste et à briller à votre tour sur le dancefloor guidé par les danseurs du spectacle !

• La presse

« Les accessoires (talons compensés, short ras des fesses, kilt écossais, fourreau rouge, perruques) provoquent de mini performances exacerbées où le bassin hyper sollicité érotise le moindre geste. Cette mini société éphémère, secouée par les effets du stromboscope, se dévoile en toute crudité au fil d’une satire qui fait mouche. » Muriel Steinmetz, L’Humanité

« La bande-son est à la hauteur de plusieurs décennies de musique faite pour bouger son corps. C'est drôle, animal, cru. Et, quand la danse de Thomas Lebrun se fait transe, c'est jouissif. Le public est debout. Il en veut encore ! » Delphine Coutier, La Nouvelle République

« Le directeur du Centre Chorégraphique National de Tours s’intéresse à son tour à la question des danses populaires. Cela donne une bouffée d’énergie qui encore une fois prouve l’étendue de sa diversité et de son talent. » Amélie Blaustein Niddam, Toutelaculture

« Presque une leçon de redéfinition du dance floor : un lieu opérant la synthèse d’une certaine histoire de la danse, où la fulgurance des gestes réussit à contenir, en un tour de main – ce aux sens propre et figuré – le ballet classique, les influences pop, tout en assurant aussi les racines futures de la danse ‘’post-Internet’’. » Timothée Gaydon, I/O Gazette