Tendre Colère

À partir de 8 ans

• Une réponse à la folie et à l’absurdité du monde ?

Qu’est-ce qui est tendre, joyeux, mélancolique, bouleversant, paradoxal et magnifique ? Tout simplement l’humanité dansée des interprètes réunis par Christian et François Ben Aïm, emportés dans une traversée de mouvements infinis et une tempête d’émotions inoubliables.

Manifeste utopique, remède à la mélancolie, pied de nez à la folie du monde : Tendre colère tient toutes les promesses de son titre. Pièce animale pleine de tendresse, d’ivresse et de fureur, elle fédère comme rarement une dizaine de danseurs, animés par la même énergie vitale.

Laissant place à l’instinct et à la meute, ils dansent, s’écoutent les uns les autres, se consolent, se rendent plus forts. Christian et François Ben Aïm combinent des danses d’aujourd’hui comme d’autres venues du fond des âges, nous emportant dans une quête tragi-comique portée par une expressivité débordante, drôle et jouissive.

• La presse

« Fâchés, les frères Ben Aïm ? Plutôt énergiques et facétieux, dans cette pièce pour une dizaine d’interprètes. Ils ont transmis de la joie à toute la salle lors de l’inauguration du Festival Suresnes Cités Danse, mi-janvier. Les frères Christian et François Ben Aïm, danseurs et chorégraphes alliés depuis l’aube des années 2000, y ont proposé leur dernière création, Tendre Colère, comme un nouvel élan. Car ils osent enfin le groupe et la danse d’ensemble, leur dizaine d’interprètes envahissant la scène de franche et énergique façon. Et l’humour – qualité tout de même rare dans la danse contemporaine – n’y manque pas. » Télérama TTT 

« Avec Tendre colère, ils déplient une fresque souple et pêchue pour un groupe de dix interprètes afin de tenter de réinventer le monde. » Sceneweb

« Avec cette création, Christian et François Ben Aïm plongent dix interprètes dans des états de corps en forme de réponse collective au chaos du monde. » La Terrasse

« On retrouve, dans Tendre colère, le plaisir de l’écriture tournoyante des frères Ben Aïm. Il y a toujours chez eux un léger vertige qui entraîne dans une valse sans cesse revisitée, à l’endroit et à l’envers. Les bras s’envolent et le reste du corps s’enroule dans une spirale d’énergie. » Le Monde 

« De beaux portés proposent des vacillements, suivis de brusques dégagements. Hommes et femmes sont remis aussitôt sur pied, dans un abandon confiant à l’autre, sans distinction de genre. » L'Humanité

« Une réflexion sur le sens du collectif dans un monde troublé. » Les Echos