Le jour de ses 39 ans, seule en scène la Comtesse Livia se délivre de son terrible secret… Elle nous jette avec volupté dans la chair de « cette plaie jamais cicatrisée » et nous précipite dans la violence d’une jeune femme en proie à la folie amoureuse…La guerre éclate ! Son amant est mobilisé ! Désespérée, elle traverse l’Italie à feu et à sang…pour le rejoindre ! Livia ira jusqu’au bout de son destin…
Cette pièce bénéficie d'un battage publicitaire et on comprend pourquoi ... elle est tellement affligeante que c'est vraiment de la publicité mensongère ... perte de temps, d'argent ... mauvaise actrice ... déchue ...
A la lecture de la nouvelle, on attendrait une interprétation romantique de l’histoire de cette comtesse qui, délaissée, trahit son amant. Pourtant, le jeu d’Isabelle Ratier semble privilégier, dans toute la première partie, le côté cynique et critique de son personnage. On se surprend à sourire, et même à rire, lorsqu’elle parle de ses prétendants empressés... Cela pèse un peu sur la scène de la première rencontre avec le lieutenant autrichien. Toutefois, une fois la surprise passée, et acceptée l’interprétation un peu différente de la nouvelle (mais c’est un avis personnel), la deuxième partie est très forte. Toute la charge passionnelle de l’histoire s’exprime et l'actrice nous emporte dans sa chevauchée folle vers Vérone pour rejoindre son amant, puis dans sa trahison et dans sa déploration. Et on finit par comprendre les choix d’interprétation de la première partie.
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A la lecture de la nouvelle, on attendrait une interprétation romantique de l’histoire de cette comtesse qui, délaissée, trahit son amant. Pourtant, le jeu d’Isabelle Ratier semble privilégier, dans toute la première partie, le côté cynique et critique de son personnage. On se surprend à sourire, et même à rire, lorsqu’elle parle de ses prétendants empressés... Cela pèse un peu sur la scène de la première rencontre avec le lieutenant autrichien. Toutefois, une fois la surprise passée, et acceptée l’interprétation un peu différente de la nouvelle (mais c’est un avis personnel), la deuxième partie est très forte. Toute la charge passionnelle de l’histoire s’exprime et l'actrice nous emporte dans sa chevauchée folle vers Vérone pour rejoindre son amant, puis dans sa trahison et dans sa déploration. Et on finit par comprendre les choix d’interprétation de la première partie.
37, rue du Faubourg du Temple 75010 Paris