Les trente millions de Gladiator

Boulogne Billancourt (92)
du 14 au 24 mai 2008

Les trente millions de Gladiator

Une des dernières pièces du prolifique Eugène Labiche. Humour décapant, humour féroce, humour noir sur la vanité humaine, la course à l’argent et à la position sociale, l’appétit sexuel. Humour totalement déjanté, qui fait de cette galerie de personnages des pantins désarticulés, de véritables clowns, des grands burlesques dignes des premiers films du cinéma muet.

 " Une pièce est une bête à mille pattes qui doit toujours être en route. Si elle ralentit, le public bâille ; si elle s’arrête, il siffle. " Eugène Labiche

Ce spectacle est présenté dans le cadre d’un partenariat entre le théâtre de l’Ouest Parisien et le Studio d’Asnières, qui prévoit chaque saison une nouvelle production, mise en scène par Jean-Louis Martin-Barbaz ou par Hervé Van der Meulen, en collaboration avec le Centre de Formation des Apprentis Comédiens installé à Boulogne-Billancourt.

Il ne s’agit pas – le titre pourrait nous tromper - d’un péplum hollywoodien, mais d’une des dernières pièces du prolifique Eugène Labiche.

Une demi-mondaine, Suzanne de la Bondrée - elle-même fort courtisée par un petit « crevé » sans scrupules, Eusèbe Potasse - prend en chasse un riche Américain, le fameux Sir Gladiator, venu dilapider sa fortune dans la capitale, type que Meilhac et Halévy avaient déjà immortalisé dans le célèbre Brésilien de la Vie Parisienne d’Offenbach.

Humour décapant, humour féroce, humour noir sur la vanité humaine, la course à l’argent et à la position sociale, l’appétit sexuel. Humour totalement déjanté, qui fait de cette galerie de personnages des pantins désarticulés, de véritables clowns, des grands burlesques dignes des premiers films du cinéma muet.

Mais, et ce n’est pas le moindre des paradoxes d’un bon vaudeville, ces personnages sont observés et croqués avec un souci constant de vérité, Labiche étant le chroniqueur impitoyable mais attendri d’une société bourgeoise qui va bien au-delà du Second Empire et des débuts de la Troisième République.

Avec une gourmandise pantagruélique, Hervé Van der Meulen s’empare de cette humanité de salon où l’argent est le nerf de l’intrigue. L’amour aussi… Comme moyen, et non comme fin… Pour donner à cette sarabande, davantage encore de gaieté et d’éclat, l’équipe du Studio interprètera des couplets, sur une musique originale d’Alain Jacquon, accompagné par les musiciens du CNR de Boulogne-Billancourt.

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Informations pratiques

Théâtre de l'Ouest Parisien

1, place de Bernard Palissy 92100 Boulogne Billancourt

Accès handicapé (sous conditions) Bar Grand Paris Hauts-de-Seine Restaurant Vestiaire
  • Métro : Boulogne Jean Jaurès à 460 m
  • Bus : Église à 189 m, Rue de Billancourt à 346 m
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Plan d’accès

Théâtre de l'Ouest Parisien
1, place de Bernard Palissy 92100 Boulogne Billancourt
Spectacle terminé depuis le samedi 24 mai 2008

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