D’anonymes ouvrières d’ateliers de couture des beaux quartiers parisiens mènent les premiers combats féministes de 1917.
Mai 1917, les combats s’enlisent au Chemin des Dames, les femmes tremblent pour leurs hommes et travaillent dur à l’arrière. Les midinettes des ateliers de couture refusent de se voir amputer d’une demi-journée de travail. Rose, 16 ans, rêve de travailler malgré l’opposition de sa grand-mère. Les syndicats refusent de parler d’égalité. L’injustice salariale, les envies d’émancipation vont pousser ces femmes à mener les premiers combats féministes.
Pendant que les hommes partis au front tentent de survivre face aux atrocités de la guerre, leurs femmes n'ont rien à leur envier ! Elles, à qui on a appris le silence et la dévotion respectueuse aux pères et aux maris, se retrouvent à faire face aux obligations économiques du quotidien. Pas d'argent pour subvenir à la subsistance de la famille ; alors le travail, mais dans quelles conditions ! Et surtout non reconnu. Alors les "petites mains" vont se mobiliser afin d'être plus justement rétribuées. Cependant, dure sera la reconnaissance, car si les évènements vont vite, les mentalités, elles, perdurent dans un immobilisme pesant. Courage "les filles" l'avenir... pourrait vous donner raison !
Des actrices d'une grande sensibilité, mais avec une volonté sans bornes. Ce sont des pionnières qui s'ignorent sans doute, mais qui participent à l'écriture de notre société contemporaine. C'est aussi notre actualité avec ce conflit qui dure depuis 3 ans maintenant.
Excellente première vendredi dernier : un sujet hors du lot ; une mise en scène inventive et vive ; des acteurs au jeu juste et délié ; un mélange subtil d'humour et d'émotions.
Une pièce captivante et fort bien mise en scène avec des comédiennes (La petite Rose solaire !) et un comédien qui nous ont donné le frisson, l'émotion mais le sourire aussi. J'ai été très touchée par la scène du blessé défiguré et de Rose , infirmière. J'ai beaucoup apprécié la restitution de l'ambiance Atelier et j'ai trouvé très originale et très parlante la "chorégraphie" des ouvrières de l'Armement qui m'ont" balancé" un obus dans le cœur. Que dire enfin des tableaux de fin de pièce et des lumières et ambiances sonores ! Franchement j'ai tout pris en plein cœur, captivée de bout en bout ! Merci à toute l'équipe
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Pendant que les hommes partis au front tentent de survivre face aux atrocités de la guerre, leurs femmes n'ont rien à leur envier ! Elles, à qui on a appris le silence et la dévotion respectueuse aux pères et aux maris, se retrouvent à faire face aux obligations économiques du quotidien. Pas d'argent pour subvenir à la subsistance de la famille ; alors le travail, mais dans quelles conditions ! Et surtout non reconnu. Alors les "petites mains" vont se mobiliser afin d'être plus justement rétribuées. Cependant, dure sera la reconnaissance, car si les évènements vont vite, les mentalités, elles, perdurent dans un immobilisme pesant. Courage "les filles" l'avenir... pourrait vous donner raison !
Des actrices d'une grande sensibilité, mais avec une volonté sans bornes. Ce sont des pionnières qui s'ignorent sans doute, mais qui participent à l'écriture de notre société contemporaine. C'est aussi notre actualité avec ce conflit qui dure depuis 3 ans maintenant.
Excellente première vendredi dernier : un sujet hors du lot ; une mise en scène inventive et vive ; des acteurs au jeu juste et délié ; un mélange subtil d'humour et d'émotions.
Une pièce captivante et fort bien mise en scène avec des comédiennes (La petite Rose solaire !) et un comédien qui nous ont donné le frisson, l'émotion mais le sourire aussi. J'ai été très touchée par la scène du blessé défiguré et de Rose , infirmière. J'ai beaucoup apprécié la restitution de l'ambiance Atelier et j'ai trouvé très originale et très parlante la "chorégraphie" des ouvrières de l'Armement qui m'ont" balancé" un obus dans le cœur. Que dire enfin des tableaux de fin de pièce et des lumières et ambiances sonores ! Franchement j'ai tout pris en plein cœur, captivée de bout en bout ! Merci à toute l'équipe
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