
Entre la tendresse d’un amour naissant et la cruauté d’un pouvoir oppresseur, Les Mauvais Bergers nous entraînent dans un théâtre intemporel de révolte, de chair et d’idéal.
Une brume épaisse se faufile entre les maisons ouvrières. La douce valse des fumées de l’usine monte au rythme des cris incessants du métal battu. « Ici, nous respirons, nous buvons, nous mangeons que de la mort ». C’est dans la souffrance des travailleurs que jaillit une étincelle de rage qui forgera la grève.
Ouvriers / patron, grévistes / Bourgeois vont affronter leur propre justice dans cette crise sociale.
Ravie de découvrir ce texte de Mirbeau jouée par une équipe avec une belle énergie. Avec des moments très forts comme celui de la barricade. J’ai passé un très bon moment.
Les mauvais bergers nous fait une cure de rappel de ce que c'est la France et l'histoire de résistance face à l'injustice sociale et humaine. On a besoin de plus de pièces et d'art qui va dans ce sens pour nous secouer le coeur et le cerveau, pour ne jamais oublier que tout droit peut vite se perdre, qu'il soit social ou autre. Merci aux acteurs et actrices qui ont la pêche.
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Ravie de découvrir ce texte de Mirbeau jouée par une équipe avec une belle énergie. Avec des moments très forts comme celui de la barricade. J’ai passé un très bon moment.
Les mauvais bergers nous fait une cure de rappel de ce que c'est la France et l'histoire de résistance face à l'injustice sociale et humaine. On a besoin de plus de pièces et d'art qui va dans ce sens pour nous secouer le coeur et le cerveau, pour ne jamais oublier que tout droit peut vite se perdre, qu'il soit social ou autre. Merci aux acteurs et actrices qui ont la pêche.
Salauds d'povs qui disaient les Patrons.... non non rien n'a changé, tout a continué.... Sous le Pont Mirbeau on r'fait la scène... mais pour cela eut-il fallu du talent... Comédiennes et comédiens sont très inégaux, par moments c'est long et ennuyeux et p(u)is ça s'emballe, ça chante (pas terrible)... Pour moi une impression étrange... Si je reconnais une mise en scène astucieusement orientée, notamment pour la scène du massacre aux accents de "barricades"... (Poulbot n'était pas loin)... Pour moi donc, seuls Jean (pas Valjean) et ma Katia avaient un vrai potentiel théâtral. Une pièce qui parlera à un public doté d'une sensibilité compatible. J'ai tellement préféré la" pierre de Khezer "qui, rassurez-vous, faisait allusion aux nazis (ouf) mais avec drôlerie, humour et tout et tout.. Le théâtre otage d'une pensée unique (mais pas exceptionnelle) ce n'est pas mon truc et après ce poing levé vengeur, je mets un point final. Subvention: devant la façade des théâtres, je crie ton nom. J'aime le théâtre avec passion donc sans modération.
4, rue de l'Armée-d'Orient 75018 Paris