Le monde où nous vivons

Paris 19e
du 19 février au 30 mars 2002

Le monde où nous vivons

La lente déchéance d'une femme qui cherche sa place. Une comédie sociale autour du thème la vie se charge de nous détruire. Le monde où nous vivons nous fait rire. On se laisse emporter par ses personnages décalés, touchants et résolument comiques, y reconnaissants volontiers nos névroses, nos mesquineries, nos tristes vies joyeuses et décidément illusoires.
   
Présentation
Note introductive
Synopsis
Notes de Mise en scène

Sur son plateau, Mireille Fantômasse reçoit ses invités afin de mieux comprendre le Monde où nous vivons, d’aborder les grands thèmes de notre société. Rien ne se passera comme elle l’avait prévu : les témoignages débordent, tout se décale. Désarmée par ce désordre inattendu, Mireille perd pied, touchée par cette humanité trop criante.

Le Monde où nous vivons nous mène jusqu’à l’hilarité, utilisant l’étrange, le décalage, l’absurde, les tendances du moment. 

Une mise en scène surprenante, une forme totalement originale, un jeu décalé et perfectionniste font de ce texte avant-gardiste un spectacle qui s’annonce comme une future référence, une nouvelle façon de concevoir l’humour.

Après sept ans de travail ensemble, Olivier Coulomb et Lucie Muratet signent avec Le Monde où nous vivons leur première création et troisième co-mise en scène. Ils jouent tous les deux, auprès de Marie Montoya habituée des scènes parisiennes (droits de successions, hors-piste…) sur une scénographie de Aurélie Gallier de Saint-Sauveur. 

Les costumes sont créés par Claudia Kim et Hugues Ferrière, tous deux stylistes free lance diplômée de la Central Saint Martins College of Arts and Design de Londres.

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Le Monde où nous vivons a été joué à Paris au théâtre du Proscénium du 11 décembre 2001 au 6 janvier 2002. C’est donc sa reprise qui aura lieu au théâtre Clavel. Une mise en scène surprenante, un jeu décalé et perfectionniste font de ce texte avant-gardiste un spectacle résolument novateur, à mille lieux de ce que l’on a déjà vu.
Lucie Muratet et Olivier Coulomb (les auteurs et metteurs en scène) nous mènent jusqu’à l’hilarité en nous présentant leur vision du Monde. On y reconnaît nos frustrations, nos drames quotidiens, nos bonheurs inutiles.
La forme, totalement originale, utilise le comique pour aboutir au tragique, joue avec l’étrange, l’absurde, les tendances du moment.
On découvre avec le Monde où nous vivons, un travail qui s’annonce comme une future référence, une nouvelle façon de concevoir l’humour.

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Nous connaissons tous Mireille Fantômasse. Nous l’attendons et elle se pose devant nous pour recevoir ses invités, pour recueillir leurs témoignages. Elle exacerbe chez eux ce dont elle a besoin pour nous expliquer Le Monde où nous vivons , celui qu’elle veut nous montrer, celui que l’on veut voir, aux limites et à la morale sûres.
Mireille Fantômasse dirige, cadre, extrait la vie : elle semble être l’héroïne inébranlable, neutre et intouchable.
Des personnages entiers, à la véracité évidente érodent son statut nécessaire de chef d’orchestre. L’agent du rêve organisé est submergé par la réalité qu’elle croyait dompter. Les garde-fous tombent. Mireille touchée par cette humanité trop criante redevient une femme.

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Mireille Fantômasse nous offre un regard pertinent sur la nature humaine. Nous y reconnaissons volontiers nos tristes vies joyeuses et décidément illusoires. Nous avons pris le parti d’en rire et de ne pas juger ce Monde où nous vivons parce que nous l’aimons au-delà de tout cynisme. Notre regard est cruel et tendre, amusé surtout. Le comique est pour nous le moyen de raconter cette histoire qui est la notre, qui est celle de tout le monde. 
Au-delà du burlesque, du jeu exacerbé des comédiens, d’une forme volontairement déstructurée, le rire émerge de l’absurde, du décalage, de l’inquiétant. Le Monde où nous vivons est un spectacle dans le spectacle. Cela nous permet de nous amuser des conventions théâtrales.
Les acteurs jouent sur un espace réduit, redessiné à l’intérieur du plateau. La scénographie utilise des lignes fuyantes créant de fausses perspectives, menant à un écran de fond sur lequel des vidéos, des images, des couleurs sont projetées Une douche de lumière illumine en permanence le fauteuil de Mireille Fantômasse, qui trône en avant-scène et dont celle-ci ne bougera pas tout au long du spectacle. Les autres personnages, parfois mal placés en lumière, parfois presque surexposés, évoluent dans des éclairages très découpés.

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Sélection d’avis du public

RE: RE: Le monde où nous vivons Le 29 mars 2002 à 16h37

Pas désolée d'y amener un avis contraire. Les goûts et les couleurs... J'ai trouvé ce spectacle d'une médiocrité affligeante tant par son sens que par sa mise en scène. D'ailleurs, je n'ai pas assisté à la fin car vraiment le spectacle était trop mauvais. Il ne faut pas confondre stupidité à la subtilité des mots à jouer tels que acerbe, cruauté et cynisme. Cette pièce à mes yeux ne valait pas 2 Euros, et encore !!! Un fort sentiment que cette pièce est bête, salace gratuitement et les prestations des acteurs restent encore à s'améliorer. Dommage pour moi d'avoir perdu mon temps, voire plus ! Mais encore une fois, les goûts et les couleurs....

RE: RE: Le monde où nous vivons Le 6 mars 2002 à 00h15

les comédiens sont parmi les meilleurs qu'il m'ait été donné donné de voir sur une scène de théâtre, leur jeu est formidablement inventif et sert généreusement une écriture tonique, drôle, fine et avant-gardiste, toujours sur le fil du rire et de l'émotion. leur univers est nouveau, différent. LE spectacle à voir en ce moment.

RE: RE: Le monde où nous vivons Le 1° mars 2002 à 12h13

Le précédent à tout dit... en un mot ce spectacle est délicieusement interprété et mis en scène par une troupe à qui l'on peut faire un triomphe et dire BRAVO! c'est le spectacle à ne pas manquer...

RE: Le monde où nous vivons Le 28 février 2002 à 10h20

UN SPECTACLE DELICIEUSEMENT CYNIQUE A VOIR SANS RETARD. une critique du monde, acerbe et absurde, une mise en scène intelligente, un texte brillant d'une cruaute exquise, un jeu volontairement décalé et plein d'humour noir, des costumes qui tombent à pic, une scénographie intéressante : tout est tragiquement drôle. j'ai ri de bon coeur de voir dans quel monde nous vivons !

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RE: RE: Le monde où nous vivons Le 29 mars 2002 à 16h37

Pas désolée d'y amener un avis contraire. Les goûts et les couleurs... J'ai trouvé ce spectacle d'une médiocrité affligeante tant par son sens que par sa mise en scène. D'ailleurs, je n'ai pas assisté à la fin car vraiment le spectacle était trop mauvais. Il ne faut pas confondre stupidité à la subtilité des mots à jouer tels que acerbe, cruauté et cynisme. Cette pièce à mes yeux ne valait pas 2 Euros, et encore !!! Un fort sentiment que cette pièce est bête, salace gratuitement et les prestations des acteurs restent encore à s'améliorer. Dommage pour moi d'avoir perdu mon temps, voire plus ! Mais encore une fois, les goûts et les couleurs....

RE: RE: Le monde où nous vivons Le 6 mars 2002 à 00h15

les comédiens sont parmi les meilleurs qu'il m'ait été donné donné de voir sur une scène de théâtre, leur jeu est formidablement inventif et sert généreusement une écriture tonique, drôle, fine et avant-gardiste, toujours sur le fil du rire et de l'émotion. leur univers est nouveau, différent. LE spectacle à voir en ce moment.

RE: RE: Le monde où nous vivons Le 1° mars 2002 à 12h13

Le précédent à tout dit... en un mot ce spectacle est délicieusement interprété et mis en scène par une troupe à qui l'on peut faire un triomphe et dire BRAVO! c'est le spectacle à ne pas manquer...

RE: Le monde où nous vivons Le 28 février 2002 à 10h20

UN SPECTACLE DELICIEUSEMENT CYNIQUE A VOIR SANS RETARD. une critique du monde, acerbe et absurde, une mise en scène intelligente, un texte brillant d'une cruaute exquise, un jeu volontairement décalé et plein d'humour noir, des costumes qui tombent à pic, une scénographie intéressante : tout est tragiquement drôle. j'ai ri de bon coeur de voir dans quel monde nous vivons !

Le monde où nous vivons Le 22 février 2002 à 01h19

Pour pré-adolescent précoce de 9 à 90 ans-De l'énergie de la part des acteurs pour exprimer le sujet, fil conducteur original, un peu long compte tenue du confort de la salle.

Informations pratiques

Clavel

3, rue Clavel 75019 Paris

Accès handicapé (sous conditions) Buttes Chaumont Lieu intimiste
  • Métro : Pyrénées à 55 m
  • Bus : Pyrénées - Belleville à 32 m, Julien Lacroix à 295 m
Calcul d'itinéraires avec Apple Plan et Google Maps

Plan d’accès

Clavel
3, rue Clavel 75019 Paris
Spectacle terminé depuis le samedi 30 mars 2002

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Spectacle terminé depuis le samedi 30 mars 2002