Olivier Coulomb
Formé au Conservatoire national d’art dramatique de Toulouse (1991-95) et à la 3BC Compagnie, il rejoint l’atelier de recherche théâtrale de la Compagnie Nelson Dumont dirigée par Henri Bornstein.
Au théâtre il joue les rôles de Horace dans L’école des femmes de Molière (1995-96), de Jean-Pierre dans
Le silence de Nathalie Sarraute (1996-97), de Lebret dans Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand (1997-98), trois mises en scène de Francis Azéma au Grenier Théâtre de Toulouse.
Parallèlement, il met en scène Les liaisons dangereuses d’après Choderlos de Laclos (1995-96), le recueil de textes
Elle rit (1996-97), Les diablogues d’après Roland Dubillard (1997-98 et 1998-99), spectacles dans lesquels il joue également.
Il travaille aussi régulièrement avec le coach et réalisateur américain Bob Mac Andrew dans le cadre d’un atelier de recherche théâtrale et cinématographique.
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
De 1999 à hier - Olivier Coulomb
Le monde où nous vivons
Clavel, Paris
du 19 févr. au 30 mars 2002
CONTEMPORAIN
Terminé
-
De :
Lucie Muratet,
Olivier Coulomb
-
Mise en scène :
Lucie Muratet,
Olivier Coulomb
-
Avec :
Marie Montoya,
Lucie Muratet,
Olivier Coulomb
La lente déchéance d'une femme qui cherche sa place. Une comédie sociale
autour du thème la vie se charge de nous détruire. Le monde où nous vivons
nous fait rire. On se laisse emporter par ses personnages décalés, touchants
et résolument comiques, y reconnaissants volontiers nos névroses, nos
mesquineries, nos tristes vies joyeuses et décidément illusoires.
Le monde où nous vivons
Proscenium, Paris
du 11 déc. 2001 au 6 janv. 2002
CONTEMPORAIN
Terminé
-
De :
Lucie Muratet,
Olivier Coulomb
-
Mise en scène :
Lucie Muratet,
Olivier Coulomb
-
Avec :
Marie Montoya,
Lucie Muratet,
Olivier Coulomb
La lente déchéance d'une femme qui cherche sa place. Une comédie sociale
autour du thème la vie se charge de nous détruire. Le monde où nous vivons
nous fait rire. On se laisse emporter par ses personnages décalés, touchants
et résolument comiques, y reconnaissants volontiers nos névroses, nos
mesquineries, nos tristes vies joyeuses et décidément illusoires.