Le Square

Aubervilliers (93)
du 3 janvier au 1 février 2004
2H00

Le Square

Une fin d'après-midi, un square. Parmi les bruits de jeux d'enfants, deux inconnus engagent un semblant de conversation. Dans la lumière finissante, l'homme et la femme construisent mot à mot leur rencontre, et vivent l'intensité d'un rare moment d'existence.

La pièce
Didier Bezace monte le Square
Entretien avec Pierre Notte
Au jour le jour
Le Square au théâtre
Le Square et la presse, à la création (1956)

Si on me demande comment j’ai écrit Le Square, je crois bien que c’est en écoutant se taire les gens dans les squares de Paris. Elle, elle se trouve là tous les après-midi, seule la plupart du temps, vacante, en fonction précisément. Lui, se trouve également là, seul, lui aussi la plupart du temps dans l’hébétude apparente d’un pur repos. Elle, elle surveille les enfants d’une autre. Lui est à peine un voyageur de commerce qui vend sur les marchés de ces petits objets qu’on oublie si souvent d’acheter. Ils sont tous les deux à regarder se faire et se défaire le temps.

Marguerite Duras
in L’Express, le 14 septembre 1956

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Une fin d’après-midi, un square. Parmi les bruits des jeux d’enfants, deux inconnus engagent un semblant de conversation. Le temps, l’ordinaire domestique, les bonnes résolutions et les mauvaises habitudes ponctuent leur entretien. Sur le banc s’immiscent pourtant les enjeux essentiels d’un rendez-vous. Dans la lumière finissante, l’homme et la femme construisent mot à mot leur rencontre, et vivent l’intensité d’un rare moment d’existence.

Lui, représentant de commerce, âgé, promène sa valise de ville en ville. «Je n’avais de disposition particulière pour aucun métier, ni pour une existence quelconque», dit-il.

Elle, vingt ans, employée de maison, attend de se marier pour changer de situation. «Rien n’est commencé pour moi, à part que je suis en vie» dit-elle.

Cinq ans après Le Barrage contre le pacifique, cinq ans avant Hiroshima mon amour, Marguerite Duras compose en 1955 les trois tableaux de ce récit dialogué, dressant le portrait de deux immobilités contraires, de deux postures face à la vie, à l’espoir, à la solitude, à la mort et au bonheur. Deux êtres se rencontrent, dont la conversation constitue soudain l’existence même.

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Marguerite Duras rencontre Didier Bezace au début des années quatre-vingt-dix, alors qu’il vient de monter Marguerite et Le Président, d’après ses entretiens avec François Mitterrand. Émue par le spectacle, enthousiasmée par le travail du metteur en scène, elle lui propose de monter l’un de ses textes. La préférence de Didier Bezace va au Square depuis toujours.

Le projet devra patienter dix ans pour se réaliser. «Les textes que j’ai mis en scène jusqu’à ce jour ont quasiment tous pour point commun de confronter les «petits» face à «L’Histoire», explique-t-il. Le Square aborde les grandes questions que les «naïfs» posent face au monde, devant ce qui les écrase ou devant ce qui les fait vivre».
Après L’Ecole des femmes de Molière, présentée en 2001 dans la Cour d’Honneur, Didier Bezace, par ailleurs comédien et directeur du Théâtre de La Commune d’Aubervilliers, dirige Hervé Pierre et Clotilde Mollet dans une «œuvre de résistance à la médiocrité des conversations contemporaines.»

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Au début des années quatre-vingt-dix, vous présentez Marguerite et Le Président, d’après les entretiens de Marguerite Duras avec François Mitterrand. Comment Marguerite Duras réagit-elle ? Quelle incidence ce travail a-t-il sur Le Square que vous présentez aujourd’hui ?
Didier Bezace : Marguerite Duras a été captivée et touchée par le parti théâtral que nous avions pris. Marguerite et Le Président donnait à entendre leurs conversations comme une sorte de conte. Son personnage était interprété par une petite fille de douze ans. Elle avait été très émue par cette idée. Nous nous sommes dès lors souvent écrit, téléphoné, rencontré. Mais je n’ai jamais fréquenté Marguerite Duras. Elle m’a proposé de choisir un texte parmi ses oeuvres et de le mettre en scène. J’ai toujours eu une préférence pour Le Square. J’ai alors failli mettre en scène la pièce au théâtre de L’Aquarium, mais les aléas et la vie de la compagnie ne m’ont pas permis de réaliser ce projet. Plus tard, Jacques Lassalle m’a proposé de mettre en scène un texte pour la Comédie-Française. Je lui ai proposé Le Square de Marguerite, qui vivait comme une injustice le fait que d’autres auteurs contemporains y soient représentés. Là non plus, les choses ne se sont pas faites. Le Square a finalement été monté au Français dans une mise en scène de Christian Rist.

Quand votre projet de diriger Le Square était d’actualité de son vivant, Duras faisait-elle alors quelques recommandations ?
Elle voulait participer à l’adaptation théâtrale du texte, et choisir la distribution. Elle souhaitait participer à la mise en scène. Elle était très impliquée ! Beaucoup plus tard, j’ai pris la décision de ne monter Le Square que si une distribution précise m’en redonnait l’envie. Il y eut plusieurs possibilités de distribution, et c’est le couple formé par Hervé Pierre et Clotilde Mollet qui s’est imposé de lui-même. Ensemble, nous cheminerons dans Le Square. Sur le plateau, lors des répétitions, nous verrons comment évoluent les personnages, quelle part d’humour et d’inquiétude ils portent en eux.

Quelle joie et quelle liberté un metteur en scène peut-il trouver à monter Le Square  ?
La joie provient d’abord du fait de faire entendre ce texte, de le partager avec un public, que j’espère surprendre en lui proposant cette oeuvre finalement assez méconnue, inattendue. Par ailleurs, je n’ai pas du tout l’intention d’abdiquer ma liberté de metteur en scène ! Je ne la connais pas encore, je ne sais pas ce qui va se passer sur le plateau. Je veux qu’on se laisse captiver par cette conversation, et proposer au spectateur de partager l’intensité de ce moment.

Quel langage vous a intéressé dans Le Square, qui semble assez éloigné du dialogue du théâtre de Marguerite Duras ou de son dialogue cinématographique ?
Le Square était pour Marguerite un texte essentiel. Elle s’est battue pour qu’il soit publié, puis joué dans sa version théâtrale. J'ai retenu pour ma part la version originale de la pièce dont la langue me semble passionnante. La construction du dialogue provoque un effet de naïveté de la part des deux personnages. Ils sont «naïfs» au bon sens du terme. Ils posent des questions que plus personne ne pose. Dans un langage à la fois familier et extraordinaire, ils interrogent un monde auquel ils ne se sont pas habitués et dont ils ont une conscience aiguë. Marguerite Duras crée une langue qui traduit cette naïveté du regard et des questions essentielles. Elle-même racontait qu’elle s’était intéressée aux gens qui se taisent dans les squares. Elle a voulu fabriquer la parole de ce silence. Un homme et une femme sortent d’un silence mortel pour vivre enfin, l’espace d’une conversation.

Depuis quelques années, vos mises en scène s’inscrivent dans des grands processus théâtraux, des projets thématiques. Quel est le projet, ou la thématique dans laquelle s’inscrit Le Square ?
Les textes que j’ai mis en scène jusqu’à ce jour ont quasiment tous pour point commun de confronter les «petits» face à «L’Histoire». Ce texte, malgré sa sophistication, est d’une nature très populaire qui aborde les grandes questions que les «petites gens» se posent face au monde, devant ce qui les écrase ou devant ce qui les fait vivre. Il s’inscrit de lui-même dans cet itinéraire que j’ai suivi depuis plusieurs années à travers les œuvres de Bove, Tabucchi, Bourdieu, Brecht, Boytchev… Quand Bernard Faivre d’Arcier m’a proposé de revenir au Festival d’Avignon, j’ai choisi cette conversation que j’aurais souhaité faire jouer dans la Cour d’Honneur. Il y a deux ans, le projet paradoxal de L’Ecole des Femmes consistait à mettre en œuvre devant 2 000 personnes, le trajet solitaire et obsessionnel d’un homme, Arnolphe. J’ai proposé à Bernard Faivre d’Arcier de pousser plus loin le paradoxe en organisant la confrontation entre cette conversation intime du Square et le même immense public. C’est l’espace des Carmes qui accueillera finalement le spectacle. C’est un lieu moins paradoxal, mais qui garde une dimension épique. Le Square met ainsi le monde face à deux petites personnes qui s’interrogent ensemble sur leur place dans ce monde.

Pour L’Ecole des Femmes, vous aviez imaginé un solitaire face à une ville entière. Et Pierre Arditi a incarné un homme seul, au-dessus du monde, sur un radeau. Quel principe d’espace imaginez-vous pour Le Square ?
Dans un premier temps, j’imagine deux personnes et un océan de chaises vides. Ce sera notre point de départ : la première visibilité du projet. Le paradoxe lié à l’espace est passionnant : le texte de Marguerite Duras appelle un lieu intimiste. Nous allons l’«étirer» dans l’espace. Qu’est-ce que cette conversation a d’intime et à la fois de totalement épique ? C’est ce théâtre paradoxal qui m’intéresse.

Comment s’est imposée pour vous la mise en scène de cette conversation du Square ? Quelle est son actualité ?
La conversation, très répandue dans notre société, a perdu aujourd’hui toute sa valeur. Les conversations vaines, inutiles, vides, envahissent les écrans de télévision. Marguerite Duras a su créer une conversation qui, en soi, est un acte de vie. Paradoxalement, il ne se passe rien, il n’y a pas d’action. C’est la conversation elle-même qui est un acte : elle fait vivre les deux personnages. A la création de la version théâtrale, d’ailleurs, les critiques ont très mal reçu la pièce, l’accusant d’être dépourvue d’action et de personnages. C’est pourtant la conversation elle-même qui est l’action du Square. Cela me semble intéressant de faire entendre ces mots à l’heure où les mots sont bradés.

Finalement, Le Square est un texte de résistance à la médiocrité des conversations contemporaines. A travers les thèmes qu’il aborde, le texte est à la fois universel et d’une extraordinaire actualité, puisqu’il y est question de solitude, d’exclusion, de difficulté d’exister dans une société qui ne regarde plus les personnes qui la composent. Il y a même quelque chose de «révolutionnaire» dans le personnage de la jeune femme «bonne à tout faire», elle refuse d’améliorer sa situation, car elle serait alors en danger de s’y adapter, donc de l’accepter. Or, ce qu’elle veut, c’est «changer d’état» radicalement pour «commencer à vivre». C’est moins un point de vue politique qu’une attitude existentielle. Elle raconte d’ailleurs, au détour de la conversation, qu’elle s’est inscrite à un parti politique. Elle n’espérait pas que les choses changent, elle n’attendait pas de nouveaux avantages, elle pensait que le temps lui semblerait moins long ! Il y a là une clairvoyance extraordinaire sur nos attentes, notre posture face à la vie, nos questionnements quant au bonheur. Dans des passages comme ceux-ci, le texte me semble d’une actualité formidable.

Vous sentez-vous proche de la manière dont Marguerite Duras abordait le théâtre ?
J’ai toujours admiré sa manière de créer l’inédit, de traduire des intuitions si justes, de fabriquer une langue qui va au cœur des choses. Le Square n’est pas comparable à ce qu’elle a écrit par la suite. Marguerite Duras livre dans ce texte une sorte de méditation naïve et profonde sur le temps, la vie et le bonheur, incarnée par des êtres qui nous ressemblent. Elle crée un théâtre de mots. Dans le panorama des écritures contemporaines, s’attacher aux mots, à leur force, à ce qu’ils provoquent, à leurs sens, me paraît une bataille possible ! Ce n’est pas, me semble-t-il, un combat tout à fait insensé…

Mars 2003 -
Entretien entre Didier Bezace et Pierre Notte

pour le Festival d'Avignon

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«On croit qu’on peut se passer de bavarder, puis ça n’est pas possible».

«Les gens ont envie de parler ça se voit très fort et, c’est bien curieux, cela n’est pas bien vu en général. Il n’y a guère que dans les squares que cela semble naturel.»

*

À quoi tient la particularité de ce texte ? La longueur peut-être, comme on pourrait parler d’insistance du propos mais sans doute de manière plus profonde, au fait qu’ils ont conscience que la parole, ici, vaut la vie. L’échange des mots qui tissent cette relation particulière qu’est le dialogue, cet échange est vital ; il témoigne du respect de l’un par l’autre, de l’écoute de l’un par l’autre ; les mots sont alors aussi nécessaires et regénérants que le sang ou l’air pour l’organisme.

*

Comme une question enfantine : comment éviter la mort ? Comment éviter de s’en poser le problème ? C’est-à-dire l’angoisse, la peur. La solitude, antichambre de la mort, est toujours, chez Duras, l’échec de l’amour. On sait qu’elle a toujours détesté être seule ; il n’y a pas de positivité à la solitude, même s' il faut savoir l’apprivoiser et faire avec. L’enfant aussi est seul, et qui plus est totalement dépendant. Pour les autres, il dépend d’eux que… c’est un peu différent, c’est ce qui fait notre humanité.
La peur est ici contenue par deux attitudes presque opposées, semble-t-il.
Elle, en ne vivant pas encore.
Lui, en ne vivant plus ou presque plus.
L’étrangeté du dialogue se nourrit, à leur insu, sous la conduite de l’auteur, de ce qui ne peut se dire à ce point directement : ces personnages, bien que très concrets, hésitent à s’incarner eux-mêmes, à se donner trop de corps, trop de réalité, trop de désirs ou trop de sensations qu’ils ne pourraient contenir.

*

Sentir toute la douleur et la difficulté qu’il y a à commencer, pour elle ; comprendre toute la douleur et la difficulté qu’il y a à recommencer, pour lui.
Et pourtant, ils en rêvent, chacun à leur manière : elle, en pensant au bal de la Croix Nivert ; lui, en pensant aux lions du parc zoologique de cette ville étrangère.

*

L’art de tourner autour de ce que l’on veut dire, sans le nommer directement. On peut s’en lasser ou ne pas le supporter, il s’agit pourtant bien de cela. Cette manière de parler «dénaturalise» les personnages : personne ne parle à ce point comme ça et pourtant l’art de Duras consiste à dire : ils parlent comme ça !

*

Se comprennent-ils, parlent-ils de la même chose ? On les écoute en se mettant à la place de l’un ou de l’autre : tantôt elle, tantôt lui. Si on peut les comprendre, ils pourront peut-être se comprendre !

*

Partir du réel ou plutôt du banal, tourner autour et le monter comme une mayonnaise, c’est-à-dire lui donner une épaisseur, une consistance.

*

« On peut toujours être de plus en plus seule. Cela n’a pas de fond.» (Marguerite Duras, lettre à Dionys Mascolo, été 1943)

*

«Marguerite Duras, par l’extrême délicatesse de son attention, a cherché et peut-être saisi le moment où les hommes deviennent capables de dialogue : il y faut la chance d’une rencontre fortuite, la simplicité aussi de la rencontre dans un square quoi de plus simple, qui contraste avec la tension cachée à laquelle ces deux êtres vont faire face. Ils parlent ces deux-là mais se comprennent-ils ? Tous deux sont en dehors du cercle commun, en dehors du monde de la compréhension facile, ce monde où ne s’offrent à nous que bien rarement la chance et la douleur d’un dialogue véritable». (Maurice Blanchot, à propos du Square dans la NRF n°39 du 1er mars 1956)

Comment s’accommoder de soi-même ? Peut-on ne rien faire de soi même ? «On ne peut pas. Il faut toujours finir par faire quelque chose de soi». (Le Marin de Gibraltar)

*

Finalement le vrai sujet du Square serait : parler.
«Cela fait du bien, oui ; c’est après que c’est un peu ennuyeux, après qu’on ait parlé. Le temps devient trop lent. Peut-être qu’on ne devrait jamais parler».
Est-ce que cela se décide ? Sans doute pas, d’où le peut-être. Mais le verbe parler a ici plusieurs résonances. Parler c’est comme vivre ! Le Square s’essaie à parler de la vie.
Parler en mettant la vie momentanément entre parenthèses, en faisant en sorte que vivre ce soit parler, justement.

*

Le Square est donc la première pièce de Marguerite Duras. Elle avoue avoir écrit une pièce sans le savoir !

Laurent Caillon, mars 2003

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Bien que presque intégralement dialogué, le Square est d’abord publié, en 1955, comme un roman.
C’est aussi, remanié par l’auteur, dans une version plus courte, la première pièce de Marguerite Duras, créée le 17 septembre 1956, au Studio des Champs-Élysées dans une mise en scène de Claude Martin avec Ketty Albertini et R.J. Chauffard.
Cette version est reprise en 1960 dans une mise en scène de José Quaglio avec Edith Scob et R.J. Chauffard.
En 1965, Alain Astruc crée une version intégrale du Square, à partir du roman d’origine, avec Evelyne Istria et lui même, au théâtre Daniel Sorano.
Enfin Christian Rist, le 14 mars 1995 revient à la version abrégée, dans la mise en scène qu’il réalise au théâtre du Vieux-Colombier, avec Jeanne Balibar et Simon Eine.

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(in Marguerite Duras, de Laure Adler - ©Editions Gallimard, 1998, p.477 / 478)

Jean Jacques Gautier : «Je ne sais où j’ai lu que madame Duras ayant écrit ce roman, ce sont les critiques littéraires qui lui ont conseillé d’en tirer une pièce. La pièce si j’ose dire. Pas d’intrigue, pas de péripéties. Pas de vie. Pas de mort. J’allais dire pas de personnages non plus. Enfin presque pas… Dialogue ? Pas exactement. Disons bla bla bla hésitation. Un festival de lieux communs, de banalités, d’indigences formulés dans un langage faussement simple bourré de points de suspension et ponctué de longs silences pensifs.»

 " Pièce émouvante " pour L’Aurore.

 " Échec de qualité " pour Franc Tireur

 " Leçon d’ennui " pour Le Parisien.

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