4 Molières 2006 : Spectacle de théâtre public,
Costumes (Liliane Boitel et Victoria Thiérrée),
Metteur en scène (James Thiérrée) et
Révélation théâtrale
(James Thiérrée).
Présentation
A propos du spectacle
La presse
Vous n’avez jamais rien vu de pareil ! Dans La Symphonie du Hanneton, on
chante, on danse, on jongle, on roule, on vole, on fait des acrobaties, du trapèze,
du violon, du saxophone et… on se métamorphose… en rhinocéros, en
dragon… bref… ce spectacle ne ressemble à rien d’exactement identifiable,
comme le sont nos rêves. C’est une farandole d’images fortes… un homme
dont la tête part en fumée, une prima donna égarée, une danseuse
contorsionniste, des êtres volants non identifiés, un banquet loufoque…
James Thierrée fait ses premières apparitions sur la piste à l’âge de 4
ans dans le Cirque Bonjour créé par ses parents. Il a su puiser dans les
disciplines acquises dès son plus jeune âge pour composer une symphonie
onirique et envoûtante. Bienvenue dans ce voyage fabuleux au pays de la féerie
et du fantastique.
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Ce n’est pas (Dieu merci) un épisode au prétendu nouveau cirque auquel
nous assistons avec cette symphonie étrange, effervescente, onirique…
malicieuse qu’un certain hanneton a composé, dirigé, et joué lui-même sous
le nom de James Spencer Thierrée.
Farandole d’images fortes…Homme dont la tête part en fumée, qui perd
ses jambes, ses bras, mais pas son sang-froid. Violoniste qui glisse à toute
vapeur, entremêlant volutes musicales et volutes jambières…Prima dona égarée,
poupée éperdue, évadée d’un autre spectacle qu’elle ne saura jamais
rejoindre.
Danseuse brisée, voluptueuse, enfantine, qui se faufile comme un reptile
entre les meubles, sur les meubles, pour s’envoler à tire d’elle, à tire
d’ailes vaporeuses. Le hanneton, alors la rejoint dans son ciel de toile
peinte et les voilà dansant dans les airs, leur chant d’amour… Après ? On
traverse les miroirs, On jongle au ralenti, On saute comme d’autres
parlent…On célèbre le printemps…
Et, pour terminer convivialement, un banquet fantasque s’organise, se
transforme en un extraordinaire cauchemar, combat d’acier de dragons enragés,
monstres surgis des plats, griffes de couverts, tintamarre démentiel, avalé
par un soudain silence d’où émerge doucement la spirale finale, le dernier
envol du hanneton, musical, tandis que ses trois compagnons regagnent leur cadre
de vie, celui de notre accablante réalité.
Henry Clément, février 2000
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« Les tableaux de ce musée imaginaire pourraient être empruntés à la
peinture fantastique du « Jardin des délices » de Jérôme Bosch ; Dali y
aurait apporté sa touche tranchante surréaliste. Un monde onirique pour mieux
relever l’absurde du nôtre, à l’envie. » La Dépêche,
mars 2001
« Patchwork, puzzle, pièce à tiroirs… Tout s’imbrique, se transforme
et s’enchaîne, grâce à des tours de passe-passe, dignes par moment de Lewis
Caroll. Un univers entre rêve et réalité, où les moutons sautent à la
perche, et les cauchemars ne cachent pas leur joie. Du grand art. » Le
Journal du Centre, Avril 2000
« James Thiérrée sait lier organiquement et poétiquement les choses, les
pensées, les sons, les musiques, les êtres. C'est sans doute ce qui fascine le plus dans cette proposition dépaysante, drôle, délicate et
touchante qui mérite tellement bien son nom de Symphonie... » A.H, Le Figaro, 13 février 2003
« Fantaisie exubérante digne d'un Lewis Caroll, cette Symphonie est un enchevêtrement malin de vignettes
casse-cou, de pied de nez et d'anachronismes. » Bruno Masi, Libération, 14 février 2003
« Et si on osait le mot qui tue, chef d''euvre ! Quelle merveille que ce spectacle
d'une heure et quart mené tambour battant par un jeune homme de 29 ans, James Thiérrée. Les images
qu'il invente ne rentrent dans aucune catégorie. Elles tiennent du cirque et des arts plastiques, du théâtre et
du cabaret. » Vincent Josse, France Inter -côté culture, 13 février 2003
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