L’affaire de la rue de Lourcine

Paris 6e
du 7 juin au 30 août 2008
1h15

L’affaire de la rue de Lourcine

Le très talentueux Benoît Lambert collabore avec les Comédiens permanents de la MCNN dans cette pièce indémodable, dans une version contemporaine qui oscille entre le polar de série B et la farce grotesque. A ne pas manquer !
  • Une pièce indémodable

Labiche est un gros chat posé sur la cheminée Second Empire du Théâtre français. Il ronronne, il fait plaisir à voir, il fait rire. Mais qu’y a t-il derrière l’oeil du chat Labiche ? De la cruauté pour cette société dont il a fait un inventaire méthodique et comique ? Ou de l’indulgence pour ce confort de bourgeois dont il se complait tout autant que ses personnages ? Enigme…

Un cadavre atrocement mutilé, des pièces à convictions macabres… Voilà le début de ce fait divers et pourtant c’est l’une des pièces les plus drôles de Labiche. Trop longtemps considéré comme un auteur de comédies faciles, il nous apparaît aujourd’hui plus proche des Marx Brothers et de Woody Allen par ses enchaînements délirants et de Ionesco pour ses personnages au bord de l’abîme et de l’absurde.

Le très talentueux Benoît Lambert collabore avec les Comédiens permanents de la MCNN dans cette pièce indémodable, dans une version contemporaine qui oscille entre le polar de série B et la farce grotesque. A ne pas manquer !

  • La presse

« Un mélange de cruauté humaine et de drôlerie qui se lie en un contraste saisissant. M. de L’Englumé, brave bourgeois, décide de s’échapper un soir du domicile conjugal, sans en avertir Madame, bien sûr. Au petit matin il se réveille de son anesthésie alcoolisée au côté d’un homme qu’il aurait côtoyé toute la nuit. Un imbroglio qui se fait dans un jeu d’humour cocasse. » Le Dauphiné Libéré, décembre 2006

« On va de quiproquos en quiproquos. La mise en scène est rythmée, l’histoire des plus rocambolesques. On frise même parfois le délire. Un véritable petit bijou ! » Courrier Picard, janvier 2007

  • Le partenariat entre le Théâtre du Lucernaire et la Maison de la Culture de Nevers (MCNN)

Depuis 2000, la MCNN a développé, au sein de son projet artistique, un axe particulièrement innovant et inédit dans le réseau des scènes nationales et/ ou conventionnées : les comédiens permanents. Au nombre de quatre en 2008, employés en CDI à la MCNN, ils développent des actions de formation et des créations tout au long de l’année.

A leur actif aujourd’hui, plus d’une douzaine de créations et 500 représentations en France et à l’étranger. L’originalité de leur démarche est aussi de faire appel régulièrement à des metteurs en scène extérieurs pour leurs créations : Serge Lypszic, Benoît Lambert, Jean-Luc Revol, Jean-Claude Feugnet, Vincent Colin… se sont ainsi succédés depuis 2002.

Leur venue à Paris pour montrer leur travail semblait donc naturelle et le choix du Lucernaire n’est pas dû au hasard : même exigence artistique, même volonté d’ouverture à des genres différents.

Ils ont donc décidé de créer autour du Lucernaire un événement qui prenne en compte les différentes composantes de la MCNN : un artiste associé de la MCNN programmé en avril/mai (Une Odyssée d’Irina Brook), les comédiens permanents pendant 3 mois (juin, juillet, août) avec leurs deux dernières créations et une coréalisation avec Vincent Colin (directeur artistique du Lucernaire) et les comédiens permanents pour la création de L’Amérique de Kafka qui sera jouée au Lucernaire en janvier/février 2009.

Sélection d’avis du public

RE: RE: L’affaire de la rue de Lourcine Le 13 août 2008 à 14h20

J'ai eu la même impression que "man". Certes, le jeu des comédiens n'est pas mauvais, mais il m'a semblé qu'il y avait une profusion d'idées sans fil conducteur. je n'ai pas compris où ils voulaient nous emmener. beaucoup de caricatures non justifiées par le texte: les comédiens sur jouaient, des passages musicaux qui n'ont rien à faire dans cette pièce, un rythme pas assez soutenu (malgré les cris incessants), des comédiens empêtrés dans un matelas, et un public dont l'accueil fut assez glacial. C'est bien dommage!

RE: L’affaire de la rue de Lourcine Le 3 août 2008 à 21h52

Je ne sais pas trop d'où sort la critique précédente... 5 minutes seulement après le debut de la pièce, des "mais c'est la bonne pièce ?" se sont faits entendre. 10 min après, les spectateurs commençaient à se prendre la tête dans leurs mains tellement la pièce est ratée. Les dialogues sont creux, lents, terriblement lourds. Les répétitions sont insupportables "mais on est dimanche, mais on est dimanche, mais on est dimanche!". Les acteurs surjouent, et comble du ridicule, de petits moments de comédie musicale ratée ("il faut qu'on s'explique, soyons energique; il faut qu'on s'explique soyons energiques, etc, etc, etc...")viennent parachever la nullité de la mise en scène. Plusieurs personnes sont parties avant la fin. Les autres ont enduré le supplice.

L’affaire de la rue de Lourcine Le 26 juillet 2008 à 18h58

Un Labiche comme vous ne l'avait jamais vu. Simplement formidable. J'ai passé une merveilleuse soirée.

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RE: RE: L’affaire de la rue de Lourcine Le 13 août 2008 à 14h20

J'ai eu la même impression que "man". Certes, le jeu des comédiens n'est pas mauvais, mais il m'a semblé qu'il y avait une profusion d'idées sans fil conducteur. je n'ai pas compris où ils voulaient nous emmener. beaucoup de caricatures non justifiées par le texte: les comédiens sur jouaient, des passages musicaux qui n'ont rien à faire dans cette pièce, un rythme pas assez soutenu (malgré les cris incessants), des comédiens empêtrés dans un matelas, et un public dont l'accueil fut assez glacial. C'est bien dommage!

RE: L’affaire de la rue de Lourcine Le 3 août 2008 à 21h52

Je ne sais pas trop d'où sort la critique précédente... 5 minutes seulement après le debut de la pièce, des "mais c'est la bonne pièce ?" se sont faits entendre. 10 min après, les spectateurs commençaient à se prendre la tête dans leurs mains tellement la pièce est ratée. Les dialogues sont creux, lents, terriblement lourds. Les répétitions sont insupportables "mais on est dimanche, mais on est dimanche, mais on est dimanche!". Les acteurs surjouent, et comble du ridicule, de petits moments de comédie musicale ratée ("il faut qu'on s'explique, soyons energique; il faut qu'on s'explique soyons energiques, etc, etc, etc...")viennent parachever la nullité de la mise en scène. Plusieurs personnes sont parties avant la fin. Les autres ont enduré le supplice.

L’affaire de la rue de Lourcine Le 26 juillet 2008 à 18h58

Un Labiche comme vous ne l'avait jamais vu. Simplement formidable. J'ai passé une merveilleuse soirée.

Informations pratiques

Lucernaire

53, rue Notre Dame des Champs 75006 Paris

Bar Librairie/boutique Montparnasse Restaurant Salle climatisée
  • Métro : Notre-Dame des Champs à 166 m, Vavin à 234 m
  • Bus : Bréa - Notre-Dame-des-Champs à 41 m, Notre-Dame-des-Champs à 129 m, Guynemer - Vavin à 161 m, Vavin à 235 m, Rennes - Saint-Placide à 393 m
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Plan d’accès

Lucernaire
53, rue Notre Dame des Champs 75006 Paris
Spectacle terminé depuis le samedi 30 août 2008

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