
Un personnage énigmatique traverse Beyrouth de 1860 à nos jours pour livrer, une dernière fois, l’histoire brûlante de sa ville, entre chant, amour et résistance.
Ce drame fantastique et historique dévoile les métamorphoses de Beyrouth à travers les yeux d’un homme hors du temps. Entre guerre, colonisation et espoirs brisés, les grandes fractures de la ville ressurgissent dans une série de visions bouleversantes.
Porté par l’humour, le chant et la danse, Beyrouth, Ville Fatale offre une expérience sensorielle et immersive.
« Une pièce originale qui traverse l’histoire libanaise de 1860 à 2024, le public, en majorité très jeune, est enchanté et exprime vivement son émotion. » L’Orient-Le Jour
« Une fresque théâtrale immersive mêlant histoire, chant et danse, où Beyrouth devient un personnage à part entière. » Ici Beyrouth
« Une traversée sensible de 150 ans d’histoire, où le théâtre devient un lieu de mémoire vivante et de confrontation intime. » Agenda Culturel
« En fermant les yeux, on se retrouve au Liban. » Vivant Mag
Il est question de Beyrouth et, plus généralement, du Liban, de son âme et de son histoire. Un personnage – pour ne pas divulgâcher, je reste vague – voyage à travers le temps dans ce pays dont les habitants semblent condamnés à verser le sang pour survivre. Sur un rythme lent et envoûtant, parfois ponctué de musique, des saynètes énigmatiques se succèdent. Leur sens n’est pas complètement dévoilé, maintenant un certain suspense. Ce spectacle a beaucoup de charme, il instruit le spectateur sur l’histoire du Liban. Cette étrangeté qui constitue un point fort en maintenant l’attention est toutefois aussi son point faible. Le spectateur peu au fait du détail de l’histoire de ce pays n’a pas toutes les clés pour comprendre forcément qui est symbolisé par certains des personnages de la pièce.
Pour 1 Notes
Il est question de Beyrouth et, plus généralement, du Liban, de son âme et de son histoire. Un personnage – pour ne pas divulgâcher, je reste vague – voyage à travers le temps dans ce pays dont les habitants semblent condamnés à verser le sang pour survivre. Sur un rythme lent et envoûtant, parfois ponctué de musique, des saynètes énigmatiques se succèdent. Leur sens n’est pas complètement dévoilé, maintenant un certain suspense. Ce spectacle a beaucoup de charme, il instruit le spectateur sur l’histoire du Liban. Cette étrangeté qui constitue un point fort en maintenant l’attention est toutefois aussi son point faible. Le spectateur peu au fait du détail de l’histoire de ce pays n’a pas toutes les clés pour comprendre forcément qui est symbolisé par certains des personnages de la pièce.
6, rue de la Folie Méricourt 75011 Paris