
" Aucune vie de ressemble à une autre, chacune a sa propre musique... "
Seul en scène, sous la forme d’une pièce de théâtre où les chansons tiennent, bien sûr, une place importante, Michel Jonasz raconte l’histoire de son grand-père, juif polonais, qui, à l’âge de 20 ans, quitte la Pologne pour aller vivre en Hongrie où il fonde une famille, tient une petite épicerie, devient un fameux cantor dans plusieurs synagogues, avant de connaître, comme tant d’autres, la déportation.
« Il est évident que cette pièce, que je considère comme un devoir de mémoire, dépasse le simple hommage à la musique tzigane. C'est avant tout pour moi, un message de fraternité. Aucune vie n'est plus importante qu'une autre. Chaque vie est sacrée. » Michel Jonasz
« Il y a des spectacles dont on sort avec l’envie d’appeler les amis pour leur dire « Allez-y, vous allez rire, pleurer, aimer ». Celui de Michel Jonasz est de ceux-là. » Le Monde Magazine
« Emouvant comme une chanson de Jonasz. » Marianne
« Ciselé d’humour juif et d’amour universel, ce spectacle (...) se déguste (...) avec une larme à l’œil et un sourire aux lèvres. » Paris Match
« Époustouflant. Le texte, dont il est l’auteur, est admirablement ciselé, les musiques tziganes, qu’il est allé chercher en Hongrie, suavement tristes. Acteur, il est criant de vérité. Et, si les larmes coulent chez les spectateurs, c’est aussi, souvent, de rire. » La Marseillaise
« Le texte de Michel Jonasz provoque un foisonnement d’images. Immédiatement, le village s’anime, on imagine la vie joyeuse dans cette famille de sept enfants. Ses échanges, drôlissimes, avec son ami, le naïf Yenkel, sont irrésistibles. » La Provence
« En se promenant dans sa mémoire, l’artiste a réalisé un spectacle magnifique. » Le Pariscope
Toutes perturbations de cœur et d’esprit liées aux souvenirs d’êtres absents se partagent quand Michel Jonasz prête son jeu et sa voix, son écriture et sa musique. Il ouvre une page personnelle de son album de famille et par-delà, nous emmène avec tendresse et humour auprès de toutes les personnes englouties dans l’extermination. Aussi près d’eux nous sommes un soir d’évocation mêlée de musiques tziganes qui vibrent, peinés et révoltés nous sortons de ce moment d’histoire sans humanité. Comment cela a pu être ?
Toutes perturbations de cœur et d’esprit liées aux souvenirs d’êtres absents se partagent quand Michel Jonasz prête son jeu et sa voix, son écriture et sa musique. Il ouvre une page personnelle de son album de famille et par-delà, nous emmène avec tendresse et humour auprès de toutes les personnes englouties dans l’extermination. Aussi près d’eux nous sommes un soir d’évocation mêlée de musiques tziganes qui vibrent, peinés et révoltés nous sortons de ce moment d’histoire sans humanité. Comment cela a pu être ?
31, rue de la Gaîté 75014 Paris