
Dans une dystopie d'après-guerre où la société est divisée en factions de fonctionnement, un sujet de la "Faction Bettman" souffre d'une inaptitude au bonheur. Confiné, celui-ci va débuter un combat intérieur durant 80 jours…
Dans une dystopie de 2035 où la société est divisée en factions de fonctionnement, l’intelligence artificielle OMNYS impose un bonheur artificiel via la prise de « dragée bonheur ». Le programme Transmigration, destiné aux citoyens « Inadaptés » (en déficit de bonheur) comme Bettman, leur donne 80 jours pour atteindre un taux de 100% de bonheur sous peine d’effacement de leur mémoire : la « Reconfiguration ».
Bettman, confiné et surveillé chez lui acculé dans ses libertés individuelles, va débuter un combat intérieur sans précédent. Hanté par des souvenirs troublants, la musique deviendra l'un de ses premiers exutoires face à la menace planante de la « Reconfiguration ». Faut-il se battre pour accéder au bonheur ?
Le côté science-fiction est génial, mais ce qui touche le plus, c’est l’humain derrière Bettman.
C’est dystopique, mais terriblement actuel. Le rapport au bonheur obligatoire est poignant.
Une écriture fine, presque poétique, qui parle de santé mentale avec beaucoup de justesse.
L’acteur porte le spectacle avec une intensité rare. On sent chaque battement, chaque pensée.
Déception pour moi (nous n'étions que 4 en salle) et mon amie car nous espérions plus de consistance, d'esprit caustique et non pas ce triste badigeon (au niveau de l'écriture et de la mise en scène)... Pour les plus jeunes peut-être, mais pour les autres... Toutefois, le jeune comédien dépense beaucoup d'énergie (surjeu et cassures comportementales trop tranchées). Cette pièce séduira un certain public parce que musique en live (bon musicien), télévidéo (bof bof) et puis les friandises et les nounours pour faire passer la pillule... pour moi pas vraiment le bonheur, quel dommage !
Pour 5 Notes
Le côté science-fiction est génial, mais ce qui touche le plus, c’est l’humain derrière Bettman.
C’est dystopique, mais terriblement actuel. Le rapport au bonheur obligatoire est poignant.
Une écriture fine, presque poétique, qui parle de santé mentale avec beaucoup de justesse.
L’acteur porte le spectacle avec une intensité rare. On sent chaque battement, chaque pensée.
Déception pour moi (nous n'étions que 4 en salle) et mon amie car nous espérions plus de consistance, d'esprit caustique et non pas ce triste badigeon (au niveau de l'écriture et de la mise en scène)... Pour les plus jeunes peut-être, mais pour les autres... Toutefois, le jeune comédien dépense beaucoup d'énergie (surjeu et cassures comportementales trop tranchées). Cette pièce séduira un certain public parce que musique en live (bon musicien), télévidéo (bof bof) et puis les friandises et les nounours pour faire passer la pillule... pour moi pas vraiment le bonheur, quel dommage !
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