Préface à la venue des esprits / On n'imagine pas combien [...]

Paris 11e
du 19 au 21 juillet 2011
1h20

Préface à la venue des esprits / On n'imagine pas combien [...]

Dans le cadre du Summer of Loge 2011, soirée partagée entre Préface à la venue des esprits ou comment raconter la figure de l'escrot Edouard Buguet qui volait les visages des morts, suivi de On n'imagine pas combien ça peut être difficile d'ouvrir une porte, un spectacle qui se déguise en quelque chose, à la limite de ne pas en être un, où les codes de narration se décalent pour laisser éclore, peut-être une autre écoute...
  • Préface à la venue des esprits

Prélude à un spectacle à venir sur la photographie spirite, nous travaillerons autour de la figure d’Edouard Buguet, faussaire notoire du 19e siècle qui prétendait photographier les esprits et faisait commerce de ses dons.

Le spectacle naviguera entre l’enquête historique, la performance photographique et le canular fantastique. Nous questionnerons sous une forme vivante et hasardeuse, notre rapport à l’image et au deuil.

Comment raconter cet escroc génial qui volait les visages des morts ? Sur le plateau, un photographe professionnel, le metteur en scène, et leurs complices tenteront de répondre à cette question.

Depuis plusieurs années Svend Andersen, photographe, accompagne les créations de Laurent Bazin. Ses propositions photographiques nourrissent et préparent le travail de plateau. Préface à la venue des Esprits est l’occasion de questionner les aléas du processus créatif et de mettre en lumière l’artisanat de l’image.

  • On n'imagine pas combien ça peut être difficile d'ouvrir une porte

Ce sont trois femmes, qui sont là. Là, on ne sait pas où c’est, même pas si ça existe. Là, c’est un peu un entre-deux, un endroit de repos, juste avant de. Ce sont trois femmes qui sont là, et qui parlent. Juste là, à la limite de quelque chose.

C’est un spectacle qui parle de l’endroit, dans la vie, juste avant de décider de quelque chose, quelque chose d’inévitable et de brutal. De cet endroit qui est comme la dernière respiration avant l’apnée. C’est un spectacle aussi qui fait parler des femmes, à la limite de la perte, qui sont comme les catalyseurs d’une sensation incontournable d’oubli de soi, d’évaporation, de déséquilibre.

Et, enfin, c’est un spectacle qui se déguise en quelque chose d’autre, à la limite de n’en être pas un, où les codes de narration se décalent, pour laisser éclore, peut-être une autre écoute.

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La Loge
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Spectacle terminé depuis le jeudi 21 juillet 2011

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