Qu’est-ce qu’on entend derrière une porte entrouverte ? Sur le berceau de Raoul né à El Tránsito au Salvador, les fées se sont penchées. Fée n°1 : Mama Betty, sa mère, qui lui donne le goût des costumes. Mais la couture, c’est Paris… La fée n°2 y apparaît, sous les traits d’un certain Copi. À l’Opéra, la fée n°3, c’est Rudolf Noureev. Au Théâtre Gérard Philipe, la fée n°4, Stanislas Nordey, fait passer Raoul des coulisses à la scène.
Raoul s’est toujours cherché et il s’est toujours trouvé. Il a appris la langue de Molière en apprenant tout Molière. Il s’en souvient encore. Ce soir, de mémoire, si ça lui chante, il nous dira le Misanthrope. Marcial Di Fonzo Bo, sa fée n°5, a rencontré Raoul il y a des années et lui a donné régulièrement rendez-vous sur scène. Avec Philippe Minyana, ils le mettent en lumière.
« Du cousu main d’une belle délicatesse. (...) Une heure chrono de bonheur. » Jean-Pierre Thibaudat, Mediapart
« Délicieux, charmeur, plein d’esprit, très émouvant (…) C’est simple, beau, toujours tendre (…) C’est déchirant et cocasse. » Le Figaro
« Raoul (...) est absolument épatant ! » Nathalie Lecornu-Baert, Ouest-France
« Une des grandes forces de ce portrait : Raoul est lumineux et profondément humain. Cette humanité, il la propage jusqu’aux rangs du public pour nous emporter dans cette aventure des rues d’El Transito jusqu’aux coulisses des folles nuits parisiennes. » Johnny Foucher, Your Magazine
« Un triomphe et une grande émotion. » France 3 Normandie
« Le regard de Raoul toujours au bord de la fêlure vous happe. L’exercice du solo multiple est ici merveilleusement porté par ce comédien que l’on sait dément, mais qui là se prête à un jeu très difficile. » Toute la Culture
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