Michel Hermon chante Dietrich Hotel

• L’Ange bleu revisité par le charme et l’élégance de Michel Hermon

Il n’imite pas Dietrich puisqu’elle est inimitable, il se l’approprie, la réinvente. Hermon est lui-même, impressionnant de présence, accaparant l’espace dans un rapport frontal avec le public. Hermon est un fauve, un prédateur. Il se nourrit de ceux qu’il admire pour leur redonner vie.

Avec son allure de dandy et sa magnifique voix de baryton basse, Michel Hermon parcourt le répertoire de l’Ange bleu, les chansons de Friedrich Holländer bien évidemment ainsi que l’incontournable Lili Marlene, mais aussi Cole Porter et son swing irrésistible ou encore La vie en rose qui scella la rencontre et l’amitié avec Piaf.

Plus qu’un « récital Marlene », il s’agit d’un hommage rendu, soutenu au piano par Christophe Brillaud.

« Elle est en moi comme l’aventure et le voyage, le désir de se perdre au loin, enfin étranger. Elle est en moi comme la vitalité prête à bondir et comme la force de l’irrépressible. Elle est en moi comme le rire païen, dévergondé et pur, libre de tout dogme, qui me traverse parfois et s’en va je ne sais où... » Michel Hermon

En 2001, Michel Hermon a reçu pour ce spectacle le Hanson Mac Award, prix spécial décerné par la critique et l’association des Cabarets et Clubs de Manhattan (MAC). Par le passé, Liza Minelli, Rosemary Clooney ont obtenu ce prix...

Auteurs et compositeurs des chansons : Friedrich Holländer, Cole Porter, Edith Piaf, Kurt Weill, Loo Reed, R.W. Fassbinder, Peer Raben, Martin Sherman, Philip Glass, Maurice Magre, Coots, Gillespie, Z. Sahar, Jacques Prévert, Joseph Kosma, Andy Razaf, Fats Waller, Johnny Mercer, M. Philippe Gérard, Irving Caesar, Leonello Casucci, Ralph Siegel, Aldo Von Pinelli.

• La presse

« Il faut du culot pour reprendre des chansons que Marlene Dietrich immortalisa par le timbre rare de sa voix, sa diction gutturale, monocorde, sa façon unique de laisser traîner les mots. Du culot, Michel Hermon n’en manque pas, qu’il commence à chanter derrière un rideau, se mette jambes nues en bas de soie et talons aiguilles, chante a capella en se maquillant, s’allonge sur le piano, s’assoit de façon suggestive. Jamais pourtant, il n’imite la légendaire Berlinoise. Jamais il n’essaie de « faire comme si » ni ne se travestit de façon vulgaire. Il demeure lui-même, homme d’un certain âge, plein d’un talent généreux et qui installe une intimité instantanée avec son public. » Théâtre

« Tout de perfection vocale et de sensibilité. » Le Figaro

« Entièrement habité par son personnage, Michel Hermon insuffle aux chansons une force inattendue... Pierre-Michel Sivadier signe des arrangements musicaux d’une rare beauté. Son engagement total et la justesse de son interprétation le ramènent au premier plan, au même titre que le chanteur. Le duo livre de beaux moments d’émotion. » Regard en coulisse

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