Lettre d'une inconnue

C’est une confidence crépusculaire à l’état pur et elle manifeste d’une manière paradoxale qui en redouble la puissance d’émotion, combien la parole malgré tout libère. Parole ici féminine s’il en est d’une inconnue.

La presse

" Un appel à l'amour lancé par une comédienne lumineuse, sublime et bouleversant ! " Hervé Reynaud, " La Marseillaise "

" C'est dans une ambiance sombre et fantomatique que le metteur en scène Serge Bédourède fait évoluer la jeune comédienne Sophie Ducouret qui s'impose véritablement comme déjà très talentueuse. La grande comédienne a su parfaitement faire partager au public, durant une heure et demie,des moments de tension dramatique presque insupportable. Avec une voix pathétique, exprimant avec émotion le cri d'un cœur humain, Sophie Ducouret, en grande comédienne, a su faire vivre et avec quelle précision cette longue plainte d'une femme croyant à une reconnaissance qui ne viendra jamais. Servi par un texte d'une pureté éclatante, cet amour solitaire et unique avec pour seuls compagnons, l'absence et le désespoir en retour, cet amour a l'occasion de prendre forme, de devenir lui-même un monde pour l'amour de l'être aimé. C'est ce que la rigueur, l'ambition et l'exigence de S. Ducouret ont su parfaitement maîtriser. " " Le Progrès "

" Dans une mise en scène sobre, la comédienne module à l'envi le cri vibrant de cette femme amoureuse incarnant une passion absolue et oblative jusqu'à la mort. " François Servais, " L'avenir de Seine Maritime "

" Devant un auditoire étonnant de silence, le one woman show de Sophie Ducouret démontre de grandes possibilités, de réelles espérances quant à une carrière qui se construit pas à pas, jour après jour, projet après projet. Le texte de Stefan Zweig est accablant. Décrivant les turpitudes de la passion amoureuse avec une précision ciselée et une impudeur attirante, il sublime la comédienne qui s'attaque à lui. " J.C.Houel, " La Dépêche "

" Les spectateurs ont vivement applaudi la jeune comédienne pour sa brillante interprétation. "" Le Bulletin "

" Le Théâtre de Saint-Saëns a maintenant l'habitude d'accueillir des spectacles de qualité. Le Théâtre des Liquides n'a pas échappé à la règle et la pièce Lettre d'une inconnue n'a pas failli à cette renommée. Sophie Ducouret est cette femme, blessée dans sa chair et son âme. Habillée divinement de taffetas et dentelles, la comédienne a subjugué les spectateurs. Avec l'éclairage, l'interprétation prend sa justesse, son émotivité profonde, tantôt dans le noir insistant sur le cauchemar vécu, tantôt en pleine lumière quand l'amour écarte le désespoir, avec pour fond cet immense rideau rouge. Dans un décor sobre et accueillant, Sophie Ducouret partage ses angoisses avec le public, mais aussi ses espoirs. " " Paris-Normandie "

" Un beau moment de tension dramatique mené avec sensibilité et passion par Sophie Ducouret qui " dramatise " la longue plainte d'une femme revendiquant une reconnaissance qui ne viendra jamais, personnage auquel elle donne de beaux frémissements et une fragilité désespérée tout fait convaincante. " François Vicaire, " Liberté Dimanche "