Les Aventures de Rabbi Jacob

du 18 septembre au 30 novembre 2008
2h30

Les Aventures de Rabbi Jacob

Le film qui a fait rire des générations arrive pour la première fois en comédie musicale, sur des musiques de Vladimir Cosma, une mise en scène de Patrick Timsit, avec Eric Métayer et Marianne James. Le premier extrait musical, le Rabbi Muffin, interprété par MC Solaar, est déjà un tube !

Comédie musicale tout public
Entretien avec Danièle Thompson
Entretien avec Patrick Timsit
Entretien avec Vladimir Cosma

  • Comédie musicale tout public

Les Aventures de Rabbi Jacob, la comédie musicale arrive pour la première fois sur scène sur des musiques de Vladimir Cosma et une mise en scène de Patrick Timsit.

Le rôle principal sera tenu par Eric Métayer, dernièrement récompensé par un Molière 2008. Marianne James l'accompagnera sur scène, dans le rôle de sa femme, Germaine Pivert. Le premier extrait musical, le Rabbi Muffin, est interprété par MC Solaar. Alors venez retrouvez le célèbre Victor Pivert dans la danse des Rabbis ! L’usine à chewing gum ! Et tant d’autres surprises!

Enfin une comédie mise en musique pour une explosion de rires et de chansons à vivre en famille et entre amis. Attention Rabbi y va chanter et danser sur la scène du Palais des Congrès de Paris, à partir du 16 septembre 2008 !

D'après un scénario original de Gérard Oury et Danièle Thompson.
Livret Gérald Sibleyras et Etienne de Balasy. Musique Vladimir Cosma.
Chorégraphie Najib Guerfi. Chorégraphie traditionnelle Ilan Zaoui (Adama).

  • Entretien avec Danièle Thompson

Quand avez-vous eu vent pour la première fois de ce projet de transposition de Rabbi Jacob en comédie musicale ?
C’est Charles Talar qui m’a contactée il y a quatre ou cinq ans afin que j’en parle à mon père. Quand j’ai évoqué ce projet devant lui, il l’a trouvé intéressant. Il a surtout été très sensible au fait que ce serait Vladimir Cosma qui allait en écrire la musique [...]. Il y avait déjà eu des projets auparavant, notamment de la part des Américains qui voulaient faire un remake, mais rien n’avait jamais abouti. L’idée de l’adaptation en comédie musicale lui a paru originale et vraiment intéressante.

Et c’est vous qui avez pris le relais…
Je tenais bien sûr mon père au courant de l’évolution du projet. Mais il nous a hélas quittés en juillet 2006. Quand les choses se sont vraiment concrétisées, j’ai rencontré Patrick Timsit, que je connaissais bien, ainsi que les auteurs dont j’estime par ailleurs le travail. Ce sont des gens qui ont tous beaucoup de talent, d’intelligence et d’humour et, surtout, énormément de délicatesse car il en faut pour un tel sujet. Il en fallait déjà beaucoup à l’époque, et il en faut encore plus aujourd’hui. Jamais ni mon père ni moi n’aurions accordé notre bénédiction à quelque chose qui aurait pu risquer la médiocrité.

Etes-vous intervenue d’une manière ou d’une autre sur l’adaptation ?
Ils m’ont soumis leurs idées, puis ils m’ont présenté un synopsis assez succinct. Je leur ai fait entièrement confiance. Il est vrai que la concordance entre ce projet et la mise en route du tournage de mon nouveau film, Le Code a changé, m’a obligée à suivre tout cela avec un peu de distance. Mais je suis restée passionnée par cette entreprise. [...]

Avez-vous au préalable émis des interdits ?
Des interdits, non. Je leur ai bien souligné qu’à l’époque nous ne voulions surtout pas heurter les sensibilités de la communauté juive. Or, aujourd’hui le problème est double car se pose la question, qui bizarrement se posait alors beaucoup moins, de ne pas heurter non plus la communauté arabomusulmane. Une des grandes originalités de ce film en effet était de déjà mettre en scène des événements extrêmement douloureux et violents, des événements qui ne se sont pas arrangés depuis et qui se sont même atrocement aggravés. Le sujet est encore plus sensible aujourd’hui et son traitement en est bien plus « border line ».

La vocation de ce film et du spectacle est tout de même de prêcher l’oecuménisme…
Non seulement l’oecuménisme, mais aussi la fraternité, la réconciliation à travers l’humour. Les Américains, les Israéliens l’ont adoré. Arafat et le Shah d’Iran avaient vu le film et l’avaient trouvé très très drôle. L’impact de Rabbi Jacob a été mondial. Ce n’est que par le rire que l’on peut aborder cet homme xénophobe et raciste, ce patron extrêmement rude et rigide qu’est Victor Pivert, ce genre de personnage que Louis de Funès pouvait incarner magnifiquement bien. Il avait le talent de pouvoir se montrer odieux sans être jamais antipathique… Tout cela reste incroyablement d’actualité. C’est hélas un constat désolant. Le message ne peut donc en être que beaucoup plus fort.

Revenons au début des années 70. Sous quels auspices s’est présentée cette nouvelle collaboration avec votre père, Gérard Oury ?
Rabbi Jacob était le quatrième film sur lequel j’intervenais. J’avais commencé à travailler avec lui et Marcel Jullian pour La Grande vadrouille, puis avaient suivi Le Cerveau et La Folie des grandeurs. Marcel Jullian étant trop pris par ses occupations professionnelles, c’est le premier scénario que nous avons vraiment écrit tous les deux… L’idée de départ venait de mon père. Il avait envie de parler de cette communauté hassidique qui existe dans toutes les grandes villes d’Europe, des Etats-Unis et, bien sûr en Israël. Leur mode de vie complètement en contraste avec la modernité était un thème qui le passionnait. Ça a été un an de travail. C’est un des scenarii les plus difficiles que nous ayons eu à écrire ensemble ou séparément.

C’est là aussi que vous avez rencontré Vladimir Cosma…
C’était sa première collaboration avec mon père. Je pense que ce sont ses origines slaves qui ont poussé mon père à faire appel à lui. Il y a une grande tradition musicale dans cette communauté ashkénaze d’Europe centrale que l’on retrouve par exemple dans Le Violon sur le toit. Il y a eu également cette découverte de la troupe de danse Adama dirigée par Ilan Zaoui. Ce sont eux qui ont créés la fameuse chorégraphie du tableau « Rabbi Jacob « ille » va danser ! ». Comme souvent quand il s’agit de films touchés par la grâce, le choix des différents protagonistes de l’aventure est primordial. Mon père a eu un formidable instinct en réunissant tous ces gens. Chacun a apporté sa petite étincelle.

Avec Le Code a changé, film qui sortira le 11 février 2009, vous retravaillez avec votre fils, Christopher Thompson, est-ce une manière de reproduire le binôme parent-enfant ?
C’est le quatrième scénario que nous écrivons ensemble. [...] J’ai tenté cette démarche auprès de lui au moment de La Bûche en me disant que si ça avait marché entre mon père et moi, pourquoi cela ne fonctionnerait-il pas entre mon fils et moi ? Très vite, ça a été un plaisir pour tous les deux. Finalement, je pense que les films ressemblent assez aux gens qui les font. Chez les Oury-Thompson, nous avons une forme d’esprit qui est à la fois un mélange de lucidité, d’enthousiasme et d’optimisme. C’est notre nature.

haut de page

  • Entretien avec Patrick Timsit

Qui a eu l’idée de vous confier la mise en scène de Rabbi Jacob ?
Charles Talar était sur le projet depuis un bon moment puisqu’il avait parlé dès 2002 avec Gérard Oury de l’adaptation de son film en spectacle musical.

Celui-ci avait immédiatement donné son accord…
Isabelle Roche et Jimmy Bitton ont eu l’idée de nous mettre en contact…Ils ont pensé à moi parce que j’avais fait précédemment les mises en scène d'Embrasse-moi idiot, une comédie musicale inspirée du film de Billy Wilder, et d'El Segundo.

Comment avez-vous réagi à cette proposition ?
Au moment où l’on m’a contacté, j’étais sur scène, je jouais l’Emmerdeur. Personne n’aurait cru qu’un film aussi cultissime puisse être transposé au théâtre et devenir un succès. Mais quand c’est Francis Veber, le « papa » qui s’en charge ça fait parti des choses possibles…preuve en est. Pour Rabbi Jacob, quand nous avons reçu l’aval de Gérard Oury, la première chose qu’on s’est dite, c’est « travaillons pour voir s’il est possible d’en faire un spectacle musical qui garde toute la saveur de la comédie »…

Puisqu’on parle de musique, quelle est votre relation avec Vladimir Cosma, compositeur de la musique du film ?
[...] Nous avons noué une réelle complicité. Mais c’est surtout, qu’il est toujours prêt à s’amuser. Il se met totalement au service du spectacle et donc du public. Il a fait évoluer le thème de Rabbi Jacob en fonction des situations pour illustrer le rire et l’émotion. En quelques mots : Vladimir Cosma est quelqu’un de surprenant, de fantaisiste, d’enchanteur, de talentueux, d’hilarant et un visionnaire guidé par les dieux du ciel.

haut de page

  • Entretien avec Vladimir Cosma

Quand et comment avez-vous été contacté pour écrire la musique de la transposition en comédie musicale de Rabbi Jacob ?
Charles Talar, qui suit ma carrière depuis de nombreuses années depuis mon départ de chez Carrère, est venu me demander un jour ce que je pensais d’une adaptation en comédie musicale de Rabbi Jacob. Au départ, j’ai trouvé cette initiative un peu surprenante car le film n’est pas écrit sous cette forme. Il contient deux-trois thèmes musicaux marquants, comme celui du générique et celui de la danse de Rabbi Jacob, mais il n’y avait aucune chanson. Il fallait donc accomplir une véritable transposition, toute une réécriture pour que ça puisse devenir un spectacle musical.

Quelle a été votre réaction immédiate ?
C’était une proposition enthousiasmante. Rabbi Jacob est un de mes souvenirs de jeunesse les plus importants. C’était ma première rencontre avec Gérard Oury, la première d’une longue collaboration. C’était aussi ma première rencontre avec Louis de Funès qui a été également suivie d’une importante collaboration… Donc, Charles Talar m’a demandé si je pouvais organiser un rendez-vous avec Gérard Oury afin de savoir si cette idée le séduirait lui aussi. Gérard s’est montré enthousiaste et il a été favorable au projet d’emblée. Ce qui était très encourageant pour nous.

Sur le plan strict du travail, quelle est la différence entre une musique de film et une comédie musicale ?
Dans l’un comme dans l’autre, on est à la recherche du spectacle total. Toutes les formes d’art y sont réunies : la littérature, la peinture, la musique, le jeu théâtral… Même la durée ne varie pas énormément. La technicité de chaque forme de spectacle a ses règles et ses contraintes, mais ça ne change pas le fond du problème, c'est-à-dire la recherche d’inspiration, de l’émotion.

Comment avez-vous conçu la « bande son » de la comédie musicale, quelles ont été vos influences ?
Je pense avoir été un des premiers à avoir composé ce qu’on appelle aujourd’hui de la « world music », en utilisant des éléments folkloriques, des instruments ethniques, et les mélangeant à la musique occidentale, au jazz et à la variété. La musique du Grand blond avec une chaussure noire est probablement la première musique « world »… Pour Rabbi Jacob, il fallait prendre en compte cette notion de mélange ethno-culturel. Le début du spectacle se passe à New York, ville multiraciale par excellence. J’ai composé une musique «actuelle » basée sur le thème d’origine, avec les interventions d’un conteur «ragga-muffin», soutenu par une rythmique pop que j’ai agrémentée de petites touches, si je puis dire… judéo-chrétiennes. On est loin du Violon sur le toit ! Pour les textes, j’ai collaboré avec plusieurs auteurs dont MC Solaar avec lequel je travaille sur certains moments clés du spectacle. D’ailleurs MC Solaar interprète le premier extrait musical de l’album Le Rabbi Muffin . En tout, il y aura de nombreux moments musicaux dont une vingtaine de chansons.
[...]

Le fait que vous soyez Roumain, donc originaire d’Europe centrale, a-t-il une influence sur votre musique ?
Les Roumains sont des latins, contrairement aux voisins qui les entourent, qui sont eux pour la plupart d’origine slave. Dans tous ces pays, on y trouve une musique nationale et populaire extrêmement riche qui exprime beaucoup la nostalgie et la joie. Pour en revenir à notre comédie musicale, il fallait tenir compte, dans la musique, que le Rabbi Jacob est conçu comme originaire d’Europe centrale, parlant d’ailleurs avec un accent yiddish. Dans le spectacle, nous avons un mélange de tous genres de musiques : anglo-saxonne quand nous sommes à NewYork, juive, arabe, et même française quand l’action se déroule à Paris. Musicalement, le sujet de Rabbi Jacob est très fort et très varié. Il permet une expression musicale évidente, immédiate.

C’est une comédie, mais elle est porteuse de certains messages…
L’esprit de fête et le burlesque des situations n’empêchent pas qu’on y aborde des sujets graves, mais ils sont surtout traités avec légèreté et dérision. Ce qui fait qu’on les reçoit avec d’autant plus de force. Dans une comédie musicale, le didactisme en matière de discours racial n’est peut-être pas la meilleure formule pour régler les problèmes. Des problèmes qui sont toujours les mêmes malheureusement, et qui n’ont pas beaucoup évolués depuis que le film est sorti il y a 35 ans.

Connaissiez-vous déjà Patrick Timsit ?
Surtout en tant qu’acteur, je le trouve d’ailleurs excellent. J’ai même composé les musiques de certains films dans lesquels il apparaissait. Mais il s’agit là de notre toute première collaboration.

haut de page

Sélection d’avis du public

RE: Les Aventures de Rabbi Jacob Le 7 novembre 2008 à 20h19

j 'ai réservé des^places pour le 12 novembre et vs me faites peur en disant que l'on s'ennui pour 64 euros ????

RE: RE: Les Aventures de Rabbi Jacob Le 31 octobre 2008 à 10h35

HONTEUX !!!! Je suis allé voir cette comédie musicale hier. Je suis atterré. C'est digne d'un spectacle de fin d'année. Une catastrophe. Timsit est une escroquerie pure. Rien n'est mis en scène. C'est un bordel monstre. Je vous passe la pauvreté de jeu d'Eric Métayer et de Marianne James. Le pompon est la caricature qu'est le commissaire (joué par Franck Vincent). Malgré la musique très entraînante de Vladimir Cosma. Ca ne marche pas. (Les choeurs sont en PLAY BACK!!!!)Le décor est tout simplement laid. Bref, n'y allez pas. La seule bonne surprise est le garçon qui joue Salomon (Michel Lerousseau) qui est excellent et qui chante merveilleusement bien. Aux prix où sont les places (63 euros!!!) je suis furieux de voir qu'à Paris un spectacle de si bas niveau puisse avoir été proposé! Mme Daniele Tomson, ce n'est vraiment pas un hommage digne de votre père!!! Gilbert.

Les Aventures de Rabbi Jacob Le 30 octobre 2008 à 17h33

Je pense que les 5 dernière critiques sont faites par la prod du spectacle... Aller faut être honnete y rien ni sur scene ni dans les lyrics.... C'est du vol.....De la grosse arnaque....C'est mauvais quoi ......

RE: RE: RE: RE: RE: Les Aventures de Rabbi Jacob Le 29 octobre 2008 à 11h22

Il n'y a rien de plus à dire que ce qui a déja été dit. Rien n'est drôle, la musique est archi nulle , pas de mélodie entraînante, effectivement même les danseurs ne dansent pas sur la même rythmique. Metayer n'est même pas une pâle copie de Louis de Funès et on s'ennuie à mourir. Quand à l'avalanche de bons sentiments, qu'on fasse du prosélytisme ailleurs, que dans une comédie musicale, c'est ridicule!!!

Vous avez vu ce spectacle ? Quel est votre avis ?

Note

Excellent

Très bon

Bon

Pas mal

Peut mieux faire

Ce champ est obligatoire
Ce champ est obligatoire

Vous pouvez consulter notre politique de modération

RE: Les Aventures de Rabbi Jacob Le 7 novembre 2008 à 20h19

j 'ai réservé des^places pour le 12 novembre et vs me faites peur en disant que l'on s'ennui pour 64 euros ????

RE: RE: Les Aventures de Rabbi Jacob Le 31 octobre 2008 à 10h35

HONTEUX !!!! Je suis allé voir cette comédie musicale hier. Je suis atterré. C'est digne d'un spectacle de fin d'année. Une catastrophe. Timsit est une escroquerie pure. Rien n'est mis en scène. C'est un bordel monstre. Je vous passe la pauvreté de jeu d'Eric Métayer et de Marianne James. Le pompon est la caricature qu'est le commissaire (joué par Franck Vincent). Malgré la musique très entraînante de Vladimir Cosma. Ca ne marche pas. (Les choeurs sont en PLAY BACK!!!!)Le décor est tout simplement laid. Bref, n'y allez pas. La seule bonne surprise est le garçon qui joue Salomon (Michel Lerousseau) qui est excellent et qui chante merveilleusement bien. Aux prix où sont les places (63 euros!!!) je suis furieux de voir qu'à Paris un spectacle de si bas niveau puisse avoir été proposé! Mme Daniele Tomson, ce n'est vraiment pas un hommage digne de votre père!!! Gilbert.

Les Aventures de Rabbi Jacob Le 30 octobre 2008 à 17h33

Je pense que les 5 dernière critiques sont faites par la prod du spectacle... Aller faut être honnete y rien ni sur scene ni dans les lyrics.... C'est du vol.....De la grosse arnaque....C'est mauvais quoi ......

RE: RE: RE: RE: RE: Les Aventures de Rabbi Jacob Le 29 octobre 2008 à 11h22

Il n'y a rien de plus à dire que ce qui a déja été dit. Rien n'est drôle, la musique est archi nulle , pas de mélodie entraînante, effectivement même les danseurs ne dansent pas sur la même rythmique. Metayer n'est même pas une pâle copie de Louis de Funès et on s'ennuie à mourir. Quand à l'avalanche de bons sentiments, qu'on fasse du prosélytisme ailleurs, que dans une comédie musicale, c'est ridicule!!!

RE: RE: RE: RE: Les Aventures de Rabbi Jacob Le 28 octobre 2008 à 16h59

Nous avons également passé une excellente soirée avec Rabbi Jacob! une mention toute spéciale pour Eric Métayer qui est époustouflant dans son rôle et qui nous a bien fait rire. Chapeau aussi à Marianne James toujours aussi extravagante . Si nous ne crions pas au génie devant cette comédie musicale; nous ne comprenons vraiement pas les critiques très négatives de ce spectacle; nous avons vraiment passé un bon moment et nous serions partis à lentracte pour rien au monde.

RE: RE: RE: Les Aventures de Rabbi Jacob Le 26 octobre 2008 à 19h22

ce spectacle est un bon spectacle, son seul problème sa surmédiatisation, je pense que l on a beaucoup fantasmé sur le sujet et finalement on a un spectacle assez fidèle au film, et alors!! le résultat c est que l on assiste à du spectacle vivant avec de très bons acteurs et chanteurs heureux d etre sur scène! je me suis régalé , tout n est pas parfait bien sur mais en tout cas ce n est pas un sous cabaret ou un sous grease ou un sous violon sur le toit qui sont des comédies musicles qui ont prouvé leur efficacité dans le monde entier, que l on traduit en français et que l on interprète plus ou moins bien!!donc vive les projets bien français , ce n est qu un début j espère, vive rabbi jacob!!!

RE: Les Aventures de Rabbi Jacob Le 25 octobre 2008 à 16h50

C'est génial, c'est grandiose, on ne s'ennuie pas une seconde, les décors sont fabuleux , les comédiens sont excellents,c'est un régal pour les yeux. Nous avons passé un moment merveilleux et inoubliable. Nous avons adoré !

RE: Les Aventures de Rabbi Jacob Le 24 octobre 2008 à 12h51

Qu'est ce qui vous fait dire ça ?

RE: RE: Les Aventures de Rabbi Jacob Le 23 octobre 2008 à 17h45

Dans tous les cas, bon ou mauvais ( je ne l'ai pas vu ) je ne comprends toujours pas pourquoi ne faisons nous pas de nouvelles créations. C'est comme si on faisait une copie de la Joconde. Ça sera peut-être excellent mais pourquoi ne pas peindre une autre femme. Je crois que le fait de prendre un succès d'autrefois, c'est se garantir ( du moins, le croit-on ) un certain succès d'avance. Hélas, trop souvent, un dérivé de "chef d'oeuvre" dérive. Soyons créatif et si nous sommes de talent, nous pouvons faire notre propre comédie musicale originale.

RE: Les Aventures de Rabbi Jacob Le 19 octobre 2008 à 10h13

Longue standing ovation du public dans une salle comble à la fin du spectacle.... le vrai public lui a aimé. Ce commentaire là suffit pour expliquer que cette adaptation du film est excellente !!

RE: Les Aventures de Rabbi Jacob Le 17 octobre 2008 à 21h48

Très bien ! Adepte des comédies musicales (et toutes ne sont pas bonnes) et fan de Louis de Funès, j'ai trouvé ce spectacle très réussi. Je n'ai jamais mis de commentaires sur ce site mais devant tant de rejet, je me dois de faire entendre la voix de ceux qui ont apprécié. Cette comédie est plus que réussie ! Les comédiens sont excellents, les chorégraphies particulièrement bien coordonnées. La mise en scène est dynamique et les textes sont complets : les répliques cultes sont conservées et d'autres sont créées avec succès. J'ai beaucoup ri ! Je me réjouis de voir qu'on ait pu réussir à enrichir le film en lui donnant une dimension supplémentaire. J'étais perplexe... je suis conquise ! Merci. Un seul bémol qui est valable pour la majorité des spectacles : LE SON EST TROP FORT !!! C'est parfois insupportable ! Faites quelque chose pour sauver nos oreilles, par pitié !!!

RE: Les Aventures de Rabbi Jacob Le 14 octobre 2008 à 16h23

Désolé de vous contredire, nous y sommes aller en famille Parents, enfants, et grands parents. Je peux vous dire que tout le monde s'est amusé. Les acteurs sont formidables. Je conseille d'aller voir.

RE: RE: Les Aventures de Rabbi Jacob Le 13 octobre 2008 à 12h19

tant pis si je me fais lincher , mais pour moi cette comédie musicale a été un vrai régal!!!éric métayer donne le meilleur de lui meme:quelle énergie dans les dances!et Marianne James est une vrai DIVA ,magnifique et à l'aise dans ce rôle qui est finalement burlesque! j'ai 3 enfants qui regardent tres régulierement le film avec Louis De Funes et moi meme je suis une inconditionnelle du personnage et croyez moi, ils n'ont pas été déçu de ce spectacle si savoureux !!Evidemment personne ne doit etre comparer à De Funes et je ne crois pas qu'éric Métayer cherchais à le faire :il a sa propre personnalité et c'est tant mieux pour nous !Désolée pour les râleurs.....

RE: RE: Les Aventures de Rabbi Jacob Le 30 septembre 2008 à 05h30

Critique acerbe pour moi aussi...je suis parti à l'entracte Pour résumer, c'est un désert que l'on inflige à l'acteur et au spectateur... Un copier/coller de textes bien affligeant. Pour le prix, offrez vous un bon repas entre amis en regardant...un certain DVD !!!

RE: Les Aventures de Rabbi Jacob Le 30 septembre 2008 à 05h14

Quel gâchis, quel ennui...jusqu'à l'entracte où je me suis enfui... Peut-être parce que l'on s'y moque ...du public !

Informations pratiques

Palais des Congrès

2, place de la Porte Maillot 75017 Paris

Accès handicapé (sous conditions) Bar Restaurant Salle climatisée Vestiaire
  • Métro : Porte Maillot à 59 m
  • RER : Neuilly Porte Maillot à 77 m
  • Bus : Porte Maillot à 173 m, Porte Maillot - Métro - RER à 223 m, Général Koenig - Palais des Congrès à 268 m, Porte des Ternes à 281 m
  • En voiture : Périphérique Intérieur, sortie Porte Maillot, Périphérique Extérieur, sortie Porte des Ternes

Calcul d'itinéraires avec Apple Plan et Google Maps

Plan d’accès

Palais des Congrès
2, place de la Porte Maillot 75017 Paris
Spectacle terminé depuis le dimanche 30 novembre 2008

Pourraient aussi vous intéresser

- 31%
Colette, l'indomptable

Théâtre Montmartre Galabru

L'Oiseau paradis

Paradis Latin

- 42%
La Crème de Normandie

Gymnase Marie Bell

- 30%
Les Funambules - Elles

Gaîté Montparnasse

Spectacle terminé depuis le dimanche 30 novembre 2008