Le Quatuor - Danseurs de cordes

du 16 septembre 2011 au 8 janvier 2012
2 heures environ

Le Quatuor - Danseurs de cordes

Événement ! Le Quatuor au Théâtre des Champs Élysées du 4 au 8 février
Le Quatuor virtuose et comique continue à inventer et nous réjouir. Queues de pie et instruments à cordes sont toujours de mise, et des surprises il y en a à foison et pour tous les goûts !
  • C’est un spectacle total

Queues de pie et instruments à cordes sont toujours de mise, bien sûr (on ne change pas les fondamentaux), mais des surprises, il y en a à foison et pour tous les goûts : un voyage en Opéra, un hommage aux plus belles chansons d’amour, une inénarrable séance d’enregistrement en studio qui vire au cataclysme, une veillée que ne renieraient pas les Marx Brothers, et tant d’autres choses encore à découvrir !

Danseurs de Cordes, bien nommé, fait aussi la part belle à la danse et au chant. C’est un spectacle total. Jean-Claude Camors, Pierre Ganem, Jean-Yves Lacombe et Laurent Vercambre bougent et dansent comme jamais et on est heureux de (re)trouver leurs voix magnifiques, superbement placées, aux tessitures étonnantes. Quant à l’humour, toujours percutant, il est embusqué au détour de chaque image et savamment distillé par la mise en scène poétique d’Alain Sachs.

Les spectacles du Quatuor ont reçu trois Molière et une Victoire de la musique.

  • La presse en parle

« Ils mêlent à nouveau avec un humour décapant les grands airs du classique et les tubes du rock et de la variété. » Le Figaro

« Une performance étonnante. » Le Parisien

« Deux heures de dinguerie musicale ébouriffante où ces funambules, leurs archets en guise de balanciers, se jouent des chefs-d’œuvre classiques et détournent joyeusement des tubes contemporains. L’exercice est parfois périlleux, mais ce carré d’as maîtrise aussi l’art de la chute et, à chaque numéro, retombe toujours sur ses pattes ! » Le canard enchaîné

  • Note d'intention

Le Quatuor a 30 ans ! Et pour moi, cela veut dire 20 ans de compagnonnage, avec aujourd’hui notre cinquième création en commun. Un parcours unique en son genre. En effet, fort peu de metteurs en scène ont l’occasion et la chance comme moi de remettre inlassablement l’ouvrage sur l’établi, le marteau sur l’enclume...

Mais en même temps qu’être le metteur en scène de ce groupe illustre, j’en suis avant tout la cheville ouvrière, celle qui doit permettre à toutes les créativités individuelles de s’exprimer et de converger vers une oeuvre originale et cohérente en perpétuelle évolution. La créativité d’abord de Jean- Claude Camors avec laquelle j’établie en amont propositions et dramaturgies, puis celle des trois autres camarades, Laurent Vercambre, Pierre Ganem et Jean-Yves Lacombe, tous susceptibles d’apporter une précieuse eau à notre moulin. Mais preuve est faite, qu’en vingt ans d’existence, malgré des périodes de répétition pouvant se situer selon les cas entre six et dix-huit mois, nous n’avions jamais réussi à nous renouveler au-delà de 1h20 de créations, laissant toujours une part à la reprise du répertoire ancien, dans la grande tradition des spectacles de music-hall. Pour atteindre cet impossible rêve, tout en continuant à réjouir comme il se doit un public qu’il convient toujours de surprendre sans le déstabiliser, de l’épater sans le perdre, nous avons pris le parti de l’épure et du retour « aux huiles essentielles » qui font le succès du groupe depuis tant d’années.

A savoir de la musique avant tout, du rêve, de l’humour et de l’émotion, chacun poussé un peu plus aux confins de nos inspirations les plus débridées et les plus folles. Avec cette fois-ci à la clé une véritable petite révolution à travers une plus grande notion de continuité nous permettant de renouveler la construction, l’espace temps, l’esthétique, en un mot le genre même !

Alain Sachs (metteur en scène)

  • A propos de Danseurs de cordes

En novembre 2010, Le Quatuor et Alain Sachs nous ont dévoilé leur nouvelle création. Ce rendez-vous pris avec le public pour la cinquième fois depuis 1993 reste un véritable événement. À chaque fois, ces nouveaux spectacles nous ont comblés de bonheur et de surprise en repoussant les limites de l’inventivité et de l’ingéniosité. Une fois encore, l’aventure continue dans cette droite ligne en mêlant maturité artistique et éternelle jeunesse.

Dans ce nouvel opus, tout en restant fidèles à l’esthétique et à la diversité des émotions suscitées jusqu’à ce jour, et qui font à la fois leur rareté et leur marque de fabrique, les artistes n’ont de cesse que de poursuivre toujours plus loin leur imaginaire et l’exploration de nouvelles formes. De surprenantes trouvailles émaillent cette nouvelle célébration des noces de la musique et de l’humour.

Dominique Dumond (producteur)

  • Le Quatuor

D’aucuns jurent qu’il y a du Buster Keaton chez ces funambules de la corde sensible… Quelque chose des Frères Jacques. Du mime Marceau. Un sens de l’observation et une justesse dignes de Norman Rockwell, qu’attendrit la poésie de trait d’un Sempé. Une parenté certaine avec les Fratellini aussi, à en juger par leurs dons d’acrobates. Ajoutez-y un zeste de burlesque, de Marx Brothers, un je-ne-sais-quoi de frondeur et d’irrévérencieux venu du Chat Noir, du Montmartre d’Alphonse Allais, une folie toute de rock et de jazz brochant sur la virtuosité très queue-de-pie, puisée aux meilleures sources, plus une pointe de Pierre Dac, de Francis Blanche, de Boby (la pointe !), qui achève de dynamiter un cocktail bourré d’inventivité. C’est vrai : pour le mettre aux planches, ces saltimbanques-là font feu de tout bois. Mais après 30 ans de triomphes, force est tout de même de reconnaître au quadrille son originalité foncière, son indépendance de corps et d’esprit !

Car elle n’appartient qu’à eux, la langue que ces joyeux compères font acclamer sans sous-titres aux quatre coins du monde. Le Quatuor a créé un genre. Fusionnant performances d’interprètes, de chanteurs, d’acteurs, d’auteurs, de danseurs (comble d’un professionnalisme qui pourtant ne se prend guère au sérieux), le gang accomplit sur scène la prouesse d’un spectacle total, chaque fois renouvelé. Sacré talent, avouons-le, que celui par lequel « 1 + 1 + 1 + 1 » donne une somme à ce point supérieure à 4 ! Porté par une narration fluide, une maîtrise imparable de l’espace et du temps, le groupe jongle avec les notes, les mots, les rôles, les nuances, les styles, les ambiances à une cadence effrénée.

Et sublimé par la lumière (leur unique « effet »), le tout jaillit en gerbes multicolores du cadre le plus auguste de la musique savante occidentale, comme cartes, fleurs et lapins du chapeau d’un magicien. Vertigineux tours de farce !

A qui s’émerveille ainsi de le voir, de l’entendre, le Quatuor ne cesse de prouver, ses armes à la main, que l’art chéri de Mozart tourbillonne, vibre et vit pour le bonheur de chacun, mu par les battements de coeurs immenses ; qu’il se partage, se prodigue – chant, rythme et danse, et se prête à tous les jeux, sans frontière ni exclusivité. A condition de le vouloir, de le comprendre, mieux encore : de l’aimer.

Frédéric Gaussin - 2012

Sélection d’avis du public

Par Evelyne C. - 1er février 2014 à 15h31

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Par Evelyne C. (1 avis) - 1er février 2014 à 15h31

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Théâtre de Paris
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Spectacle terminé depuis le dimanche 8 janvier 2012

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