- 50 ans de la vie d'une icône
Fille d'une baronne néerlandaise et abandonnée par son père dès son enfance, meurtrie par la guerre dans son adolescence, Audrey Hepburn rêvait d’être une ballerine ; Le souhaitant de toutes ses forces, comme font ceux qui n'ont aucune autre source d'amour et de confiance. Après la guerre, elle découvre le manuscrit d’une toute jeune fille, née au même moment, ayant vécu au même endroit pendant la même guerre : Anne Frank. Ses mots pleins de sagesse, de sensualité et d’une joie de vivre pure et contagieuse, vont accompagner Audrey tout au long de sa vie. Elle ne sera jamais ballerine mais elle deviendra l'icône la plus mystérieuse et la plus noble dans l'histoire du cinéma défendant en priorité la cause des enfants au détriment de sa notoriété.
La pièce évoque la personnalité rebelle de l'icône et parcourt les méandres sur lesquels s'est fondée cette personnalité touchante, finement décalée mais puissamment sincère et éblouissante.
Voix off Aurélie Tasini (Anne Frank) et Jean-Jacques Nyssen (Frederic Mitterrand), Piano Yana Yunker.
« Nous nous trouvons en la compagnie d'Audrey Hepburn Ruston… Personne aux valeurs profondes, fortes en convictions, et des principes rayonnants de sagesses. Gala Vinogradova, l'interprète, nous trouble par les souvenirs, l'histoire qu'elle fait sienne le temps d'une traversée. Le trouble se prolonge quand, dans cette traversée, on y rencontre, ce regard singulier, ce sourire franc, ces postures élégantes signées Audrey. » La Provence
« Gracieuse et rayonnante à la Audrey Hepburn, Gala Vinogradova… au parcours impressionnant, docteure en philosophie, polytechnicienne, formée à la Dramatic Arts de Londres ... a crée une pièce pleine de douceur... C’est cette humanité, cette envie d’agir, cette joie de vivre mais aussi cette détresse que la pièce impose. D’une certaine façon, la comédienne a fait venir Audrey sur scène. Et le public en sort sous le choc. » Le journal des créations du 21e
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