L'heure d'après

• Le temps qui passe

L’heure d’Après est une pièce à un personnage, un texte original, vivant et décalé qui éclaire avec humour et émotion une réflexion poignante sur le passé.

« Je ne suis qu’un type qui aime que tout soit droit, carré, rectangle. Qui fait l’amour bien aligné, en respectant les distances…». Le passé remonte à la surface et se répercute dans le présent de cet homme qui se tue à vouloir tout maîtriser.

L’humour, comme ultime rempart, laisse l’histoire choisir les cicatrices qu’elle marquera, et le personnage se débattre avec le texte, percutant et précis.

L’heure d’après est une pièce dont on ne ressort pas indemne, puisque l’on nous parle de nous.

• « L'histoire d'un match »

« Coluche aurait pu dire de lui, « alors c'est l'histoire d'un mec » mais Olivier Soler, c'est plutôt « l'histoire d'un match » ; un match déséquilibré entre un enfant et son destin. Face au pire, la perte du père, Olivier a dû se reconstruire, se chercher de nouveaux repères, c'est l'oncle qui deviendra le modèle.

Mais l'oncle est une idole, une star incontournable du football des années 80, pas facile de se faire un prénom quand le nom est déjà pris. Son terrain sera alors la scène, grill expiatoire de toutes ses souffrances et de tous ses doutes... Quoi de meilleur que le rire pour affronter la vie. »

Lôrant Deutsch

• La presse en parle

« Rarement, on n'aura vu ainsi représenté l'homme contemporain, adolescent quadragénaire qui sait n'avoir pas vécu, peu reçu en transmission et qui n'attend plus rien de la femme, une ennemie qui couche malgré tout, mais qui a muté. C'est noir, délicieux, cynique et troublant en diable, promenade de bord de falaise par une nuit sans lune. » Froggy's Delight