Dans l’appartement de Boris Vian, tandis que l’écrivain s’apprête à écrire les premières lignes de son histoire, ses héros prennent vie et chantent ses plus grandes chansons. Colin a tout pour être heureux : un bel appartement baigné de lumière où l’on chante et joue du jazz, de l’argent, des objets loufoques, ses amis Chick, Alise, Nicolas et Isis, et des souris qui lui tiennent compagnie. Mais il se rend compte d’une chose : ce qui lui manque, c’est l’amour.
« L’œuvre est reprise dans sa façon la plus belle et la plus sincère, avec le cœur, avec des yeux humides et des émotions poussées à l’extrême. » Maze Magazine
« Une adaptation d'une grande fraicheur » Charente Libre
« C'est un bijou. » Libération
« On sort de ce spectacle plus qu’ému, et touché... » Regard en coulisse
Boris Vian. Une passion et un attachement indéniable que je porte à cet artiste, mais que je ne saurais expliquer. Pour L’Écume des Jours, je peux vous en dire un peu plus…
Voilà maintenant cinq ans, j’ai écrit une première version de L’Écume des Jours par pur plaisir et sans but précis. J’ai eu ensuite la chance de visiter l’appartement de l’écrivain, grâce à Nicole Bertolt, mandataire de l’œuvre de Boris Vian. Depuis cette rencontre, une visite marquante, l’âme de Vian et celle de L’Écume des Jours ne m’ont jamais quittée... Je me suis décidée à poursuivre mon chemin avec cette histoire que j’ai lue et relue, sans jamais m’en lasser. Avec le centenaire de l’écrivain qui approche, c’était alors une évidence pour moi de faire revivre Boris Vian et de lui rendre hommage, tout en mettant en lumière son écriture, ainsi que ses héros qui prennent vie sur scène.
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