L’Androcée

Paris 18e
du 22 avril au 26 mai 2002

L’Androcée

Les millions de morts de la shoah nous ont appris que la civilisation n’est pas le remède à la barbarie, mais qu’au contraire elle peut en être l’effroyable cataliseur. En mélant les thèmes de la guerre, de l'Opéra et du mythe d'Electre, quatre histoires contemporaines ou mythiques s'entremêlent, se d

Présentation
La Pièce

Une rencontre
Notes de l'auteur
Notes de mise en scène
Extraits de presses des précédentes créations de Jean Macqueron
Ce que la presse dit de Christian Siméon

Le thème le plus important de L'Androcée est celui de la culpabilité héritée par les générations nées après la guerre. Les millions de morts de la shoah nous ont appris que la civilisation n’est pas le remède à la barbarie, mais qu’au contraire elle peut en être l’effroyable cataliseur. C’est là notre héritage.

L’imputrescible charnier sur lequel est bâti notre civilisation.

En respectant les unités de lieu et de temps et en mélant les thèmes de la guerre, de l'Opéra et du mythe d'Electre, quatre histoires contemporaines ou mythiques s'entremêlent, se développent et se résolvent dans une même fin : l'histoire de Jean, l'histoire de Camille, l'histoire d'Anicroule, l'histoire de Sucia. Chacune est liée et aboutit à l'histoire de l'Androcée.

Le personnage de l'Androcée s'inspire très librement de certains événements de la vie de la cantatrice Germaine Lubin qui fut l'une des deux plus grandes voix wagneriennes d'avant-guerre. Elle a créé Elektra de Richard Strauss à Paris, le 29 février 1932. Elle a chanté Isolde à Bayreuth en juillet 39 devant Hitler, quelques jours avant la déclaration de guerre. Elle a chanté pendant la guerre. Sa carrière a été brisée nette à la libération.

Haut de page

Et si la musique était autre chose ? 
Un art destructeur ? Un art sournois ? 
Et s'il existait un opéra où les voix se déchirent ? 
Un opéra qui pilonne les chanteurs ? Qui les rende fous ? 
Cet opéra existe. 
Il s’appelle Elektra. 
C’est en le chantant que Camille a perdu sa voix. 
Et c’est en le chantant que l’Androcée est devenue la chanteuse maudite et légendaire, adulée par Hitler. 
Et dans un univers déjanté, elles vont s’affronter, les deux chanteuses. 
Celle qui ne peut plus, et celle qui peut encore et qu’on a bâillonnée. 
Et elles vont entraîner dans leur duel truculent et cruel, tous les infortunés qui ont la malchance de se trouver à portée de voix et de n’être pas sourds : 
Jean qui ne supporte pas la musique,
Anicroule et Sucia, les enfants déglingués de l’Androcée. 
Mais les divas peuvent-elles engendrer autre chose que des clowns ou des criminels ?

Haut de page

Depuis 4 ans, Jean Macqueron et Christian Siméon continuent leur collaboration. Leur rencontre a abouti à la création à L’étoile du nord en 1997 de Hyènes ou le monologue de Théodore-Frédéric Benoît de Christian Siméon, mise en scène de Jean Macqueron, avec Michel Fau. Cette pièce a été reprise avec succès au Festival d’Avignon Off à l’Espace Saint-Benezet en 1998 .
La reine écartelée de Christian Siméon, d’après une pièce de jeunesse de Victor Hugo, Amy Robsart, poursuit leur collaboration. Cette pièce a été créée en 1999 à L’étoile du nord, dans une mise en scène de Jean Macqueron, avec Frédéric Aspisi, Stéphane Auvray-Nauroy, Christophe Garcia, Nathalie Savary et Françoise Vallon. Elle a été reprise en juin 2001 à L’étoile du nord, puis en juillet au Festival d’Avignon Off au Théâtre du Balcon. Cette complicité les entraîne cette année à la création de L’Androcée. Christian Siméon est en résidence à L’étoile du nord depuis l’automne 2000.

Haut de page

Quelques kilomètres séparent Bayreuth de Buchenwald. Quelques dizaines de kilomètres entre le chant le plus bouleversant et les champs les plus destructeurs. Si peu d’espace à vol d’oiseau entre cette salle où ont raisonné les plus belles voix du monde, et le camp dont la devise était « Jedem das seine », à chacun son dû.

L’Androcée est une pièce née d’une stupéfaction.
Cette incompréhensible proximité a engendré l’envie d’écrire une pièce sur l’opéra. 
De raconter une histoire de musique sans musique.
L’histoire d’un affrontement entre deux femmes, deux chanteuses lyriques dans leur aspect le plus grotesque, le plus caricatural, autour du rôle mythique d’Elektra, dans l’opéra de Richard Strauss.
Quelque chose qui ressemblerait à un duel de divas dans une décharge publique.

Le personnage de l'Androcée s'inspire très librement de certains événements de la vie de la cantatrice Germaine Lubin qui fut l'une des deux plus grandes voix wagnériennes d'avant-guerre. Elle a créé Elektra de Richard Strauss à Paris, le 29 février 1932. Elle a chanté Isolde à Bayreuth en juillet 39 devant Hitler, quelques jours avant la déclaration de guerre. Elle a chanté pendant la guerre. Sa carrière a été brisée nette à la libération. 

En respectant les unités de lieu et de temps et en mêlant les thèmes de la guerre, de l'Opéra et du mythe d'Electre, quatre histoires contemporaines ou mythiques s'entremêlent, se développent et se résolvent dans une même fin : l'histoire de Jean, l'histoire de Camille, l'histoire d'Anicroule, l'histoire de Sucia. 
Chacune est liée et aboutit à l'histoire de l'Androcée. 

Christian Siméon

Haut de page

L’Androcée est le récit de destinées dont certaines ont croisé l’Histoire à une époque où elle fut aussi dure que du métal. 
Deux de ces destinées y furent marquées à jamais. 
Jean, dans sa chair, et il en porte encore la morsure.
Anicroule, dans son esprit, l’ayant reçu en héritage.

L’évocation qu’ils feront de l’holocauste n’est pas une anecdote, une histoire que l’on peut raconter, mais plutôt un chant. L’expression de leur douleur.

Mais d’autres veulent vivre.
Camille, obsédée par sa voix éteinte.
Sucia, obsédée par son corps non désiré.

Le « lieu » de L’Androcée est la scène. Le point de rencontre fixé par le destin où ces vies ont rendez-vous depuis toujours. C’est le théâtre, ce lieu qui permet de mettre en ordre la folie du monde.
L’Androcée parle de la perversité des passions. Passion de l’ordre qui mène au chaos. La passion du chant qui mène au silence.

Ce n’est pas un réquisitoire sur le bien et le mal. C’est une pièce sur le sentiment de culpabilité, c’est-à-dire sur nous tous.

L’Androcée n’est pas une pièce. C’est un livret. Une partition à quatre voix. A la mise en scène d’en révéler la musique, c’est-à-dire le rythme et la tonalité.

L’Androcée puise en effet dans l’opéra, à la fois sa forme et son sujet.
Il y a dans ce poème théâtral une influence directe entre le propos et le style d’interprétation.
Cela indique la matière la plus importante sur laquelle le metteur en scène aura à travailler : les acteurs.
Bien sûr, il y a à montrer, mais bien plus important, à faire entendre.
Dans ce registre de jeux, il s’agit de travailler avec le comédien sur l’interprétation d’une partition, plus que sur l’incarnation d’un personnage. 
Laissons l’incarnation aux dieux. Un homme ne sera jamais « autre ». Il composera avec ce qu’il est. Nous ne sommes pas là dans un travail psychologique ou psychanalytique, mais plus simplement dans une démarche artistique. 
Laissons le naturalisme à la nature et le réalisme au monde réel. 

La seule sincérité à préserver est cette démarche artistique. Le but étant de la faire partager. Faire partager le tourment de ces personnages et donner envie aux spectateurs de les accompagner dans leur voyage en créant entre eux un lien affectif irraisonné.

Jean Macqueron

Haut de page

Hyènes ou le monologue de Théodore-Frédéric Benoît,  de Christian Siméon, mise en scène de Jean Macqueron - Création 1997 - avec Michel Fau

" Michel Fau, seul en scène et formidable, incarne ce jeune homosexuel, assassin de son amant et de sa propre mère. Un spectacle brillant(...) " Jean-Luc Jeener - Le Figaroscope

" En contrepartie c'est un véritable chef-d'œuvre que nous propose le Dix-Huit Théâtre avec Hyènes. Ce texte de Christian Siméon, mis en scène par Jean Macqueron, relate la dernière nuit d'un condamné à mort. L'argument n'est pas des plus réjouissants et pourtant, c'est drôle, surprenant et, surtout, véritablement touchant. Hyènes, c'est une révélation : celle de l'acteur Michel Fau, un acteur hors normes comme on en rencontre peu. " Alain Spira - Créations

" Michel Fau, qui interprète le condamné, lui donne une versatilité continue, entre arrogance et sincérité, violence et désarroi. " Armelle Heliot - Le Quotidien du Médecin

" Michel Fau, c'est tour à tour Caubère puis Jouvet et parfois Pierre Brasseur. A la fois empli de son personnage et gardant une distance à dimension variable.(...)Un beau texte contemporain, mais aussi un théâtre qui prend des risques et un public ravi, qui pour cette ultime représentation a rempli la salle et battu le rappel jusqu'à saturation. " Saïd Benchaba - Cassandre

" Avec son drôle de visage hugolien (...)Michel Fau en impose.(...) Le plateau lui appartient. Tout comme le monologue écrit par un inconnu, Christian Siméon, sculpteur de son état, qu'il tient en bouche comme un bon vin.(...)Ce texte fort se terminant par un pladoyer contre la peine de mort est illustré par une mise en scène énergique de Jean Macqueron. Tout se passe un dièse au-dessus d'une scène normale. (...) Intrigant, dérangeant, violent, un grand moment de théâtre. " Véronique Jacob - Le Journal du Théâtre

" Le comédien laisse superbement planer l’ambiguïté, nous entraîne dans son délire avec cynisme et détresse. " Fabienne Pascaud - Télérama

" Pendant une heure trente, il EST véritablement ce Théodore-Frédéric Benoît, probable meurtrier de son amant et de sa mère, imaginé par Christian Siméon à partir d’un fait divers véritable. Et il rend à merveille toute l’ambiguïté d’un texte cruel et finaud, dont l’auteur maîtrise parfaitement l’humour macabre. " Chantal Aubry - La Croix

" Belle pièce d’une extraordinaire ambiguïté, qui ne tombe jamais dans l’explication et pêche mystérieusement en eaux troubles : Christian Siméon s’affirme, avec cette première pièce, comme un auteur passionnant. Jean Macqueron met en scène l’œuvre avec un joli sens du désordre ordonné. Et c’est Michel Fau qui est Théodore-Frédéric Benoît. Quel acteur ! " Gilles Costaz

La Reine Ecartelée de Christian Siméon, d’après Amy Robsart de Victor Hugo, mise en scène de Jean Macqueron - Création 1999 -

" Il la met en scène avec distance, ou plus exactement avec décalage, soumettant le fol romantisme d’Hugo à la moulinette de l’ironie bienveillante. Cela étant dit, son spectacle est parfait : on s’amuse de l’amour d’Elisabeth d’Angleterre (la première, ne rêvez pas !) pour ce jeune bellâtre de comte de Leicester et, comme au boulevard du crime, on sourit des souffrances d’Amy Robsart. Les comédiennes, Nathalie Savary et Françoise Vallon sont excellentes. Parmi les hommes, on remarque surtout Christophe Garcia. Macqueron fait, comme d’habitude un bien beau travail. Le plaisir est au rendez-vous. " Jean-Luc Jeener - Le Figaroscope

" Un travail relayé admirablement par l’interprétation des comédiens ; leur jeu sur les voix, qui porte essentiellement sur les graves, permet de cisailler le texte et d’insister de ce fait sur le lyrisme de la pièce. " Métromag

" Une scène nue, cinq comédiens, un vaste drapé de velours rouge, et, un peu comme dans L’Italien des roses, un immense drap de lin blanc sous lequel commence l’action de La reine écartelée : pour être modestes, les moyens du metteur en scène Jean Macqueron n’en sont pas moins ingénieux. Et son imagination scénique élégamment inspirée. L’action est échevelée. C’est celle d’Amy Robsart, une pièce de jeunesse méconnue de Victor Hugo, revisitée par l’excellent Christian Siméon, dans un « à la manière de » très finement second degré. (…) Concentrée sur les personnages principaux, la pièce gagne en modernité. Et sans rien perdre de ses excès. Un vrai joli moment de théâtre. " Chantal Aubry - La Croix

" Le spectacle brûle, bouge, attaque. Pièce après pièce, Christian Siméon s’interroge sur les combats cruels que se livrent les hommes et il les met en scène avec énormément de talent. " Chronic’art

" Aucune réalité historique dans cette pièce, mais un drame humain qui nous parle d’aujourd’hui, de notre siècle bruyant et finalement aussi sauvage que le XVIe, où l’on n’a pas peur de parler crûment des choses du corps et du sexe, où la verdeur des mots n’a d’égal que leur dureté. Peu de choses ont changé en vérité…Tous les acteurs sont remarquables. " André Fetet - Zurban

" (…)Tous les comédiens entrent dans l’arène avec une énergie de gladiateurs, tempérée par une douceur encore plus inquiétante. Jean Macqueron signe une mise en scène ludique, musclée, hérissée d’irrésistibles ruptures et de vrais moments d’émotion. La diction des comédiens épouse les méandres de l’action, tour à tour appuyée, quotidienne, chuchotée, criée. (…) Cette « Reine écartelée » renoue avec la tradition du bon vieux mélodrame d’antan : on y rit, on y frémit, accroché malgré soit à une action convenue. La preuve que le théâtre peut aussi être un art populaire. Au sens noble du terme. On finissait par en douter. " Jean-Louis Châles - La Marseillaise du Vaucluse

" Christian Siméon, avec beaucoup d’intelligence, d’habileté, a situé la pièce entre tragédie et boulevard, passant de la langue hugolienne à une savoureuse langue parlée, et « fait vociférer dans l’Angleterre elisabéthaine des personnages d’aujourd’hui ». (…) Il fallait le tempérament de Françoise Vallon pour incarner celle qui se voulût femme sans homme, reine vierge mariée à son peuple. Frédéric Aspisi assume avec justesse et panache le double rôle de l’ambitieux et de l’amant, Robert Dudley…Nathalie Savary est une Amy Robsart confiante, révoltée mais fragile, émouvante en victime expiatoire des fautes de tous. Les costumes, enfin de style, situent l’action dans un décor réduit à l’essentiel, que ponctuent deux remarquables moments de la mise en scène de Jean Macqueron : les personnages devant le miroir et le rideau arraché, qui dévoile le nœud du drame. La Reine écartelée renoue dans un esprit neuf avec les grands textes. " Alice Higoulin - La gazette provençale 

" Jean Macqueron qui signe la mise en scène a choisi un décor épuré pour que seuls les personnages soient en relief et frappent l’imagination. (…) Tous les comédiens sont criants de vérité. Bien que la pièce se déroule au XVIème siècle, les dialogues sont traduits dans les tons et les propos contemporains. Ils donnent beaucoup de relief et de richesse au propos. Malgré les situations dramatiques, le rire est souvent là. Ce spectacle nous ramène à notre quotidien empreint de calomnies, de vérités tues, de convoitises et d’ambitions. " M.H.L. - Le Dauphiné Libéré Vaucluse

« J’ai envie de raconter ces affrontements, de faire parler, trahir, vociférer dans cette Angleterre élisabéthaine des personnages d ‘aujourd’hui », explique l’auteur, Christian Siméon, qui s’est inspiré de l’œuvre de Victor Hugo, Amy Robsart. Mission accomplie, grâce à la mise en scène forte et dynamique de Jean Macqueron et à une distribution convaincante. On pense, en particulier, à Nathalie Savary (Amy) qui donne à son personnage une carrure et une force vitale qui s’avèrent vraiment percutantes. » Stéphane Bugat - L&A Théâtre

Haut de page

" Tout cela au service d’un monologue écrit, joyeusement cynique, genre Guitry avec un gilet anglais. L’auteur, Christian Siméon, s’est inspiré d’un personnage presque historique : Marguerite Japy. (…) C’est vraiment très savoureux. " Frédéric Ferney - Le Figaro

" Etrange figure de femme, que Christian Siméon, manifestement captivé, livre en un monologue acerbe, rythmé sur la respiration des souvenirs. " Colette Godard - Libération

" Tissé d’humour, de sensualité, de suspense, le texte, un monologue, est signé d’un jeune sculpteur-écrivain, Christian Siméon. " Annie Copperman - Les Echos

" Marilu Marini se souvient d’avoir d’abord lu la pièce en juillet 1999 dans le cadre de Texte nu, manifestation annuelle organisée par la Société des auteurs au Festival d’Avignon. « L’accueil a été chaleureux. Le public a adhéré au style de Siméon, son écriture entre mots mordants et formules bouffonnes. ». Sa reprise enchante Marilu Marini. " Marion Thebaud - Le Figaro Madame

" Un monologue drôle et cruel de Christian Siméon. " Olivier Schmitt - Le Monde

" Marilu Marini extrait tous les sucs de ce monologue suave et joyeusement cynique. Ne ratez pas cela : c’est un pur régal. " Frédéric Ferney - Le Point

" Cette pièce de Christian Siméon (…) un miracle, de finesse, d’élégante virtuosité. " Jean-Pierre Leonardini - L’Humanité

" La pièce labyrinthique du bel auteur de HYENES sertit cette figure de courtisane dans une caverne d’Ali Baba riche de secrets d’alcôve et de femme. " Odile Quirot - Le Nouvel Observateur

" Rien d’étonnant à ce que pareil destin ait fasciné l’auteur Christian Siméon, qui concocte ici un monologue croquignolet, théâtralissime à souhait, emphatique et caustique. " Fabienne Pascaud - Télérama

Haut de page

Vous avez vu ce spectacle ? Quel est votre avis ?

Note

Excellent

Très bon

Bon

Pas mal

Peut mieux faire

Ce champ est obligatoire
Ce champ est obligatoire

Vous pouvez consulter notre politique de modération

Informations pratiques

L'étoile du nord

16, rue Georgette Agutte 75018 Paris

Bar Montmartre
  • Métro : Porte de Saint-Ouen à 352 m
  • Tram : Porte de Saint-Ouen à 318 m
  • Bus : Firmin Gémier à 140 m, Vauvenargues à 167 m, Porte de Saint-Ouen à 304 m, Navier à 327 m, Damrémont - Championnet à 331 m, Angélique Compoint à 362 m
Calcul d'itinéraires avec Apple Plan et Google Maps

Plan d’accès

L'étoile du nord
16, rue Georgette Agutte 75018 Paris
Spectacle terminé depuis le dimanche 26 mai 2002

Pourraient aussi vous intéresser

- 40%
Un sac de billes

Théâtre Actuel La Bruyère

- 25%
Un Tramway nommé Désir

Théâtre des Bouffes Parisiens

Inconnu à cette adresse

Théâtre Antoine - Simone Berriau

- 51%
Le Montespan

Théâtre Actuel La Bruyère

- 16%
Music-Hall Colette

Tristan Bernard

- 31%
Spectacle terminé depuis le dimanche 26 mai 2002