Hermann

Dès 15 ans.

• Le réel foudroyé par l’amour absolu

Un beau matin, un jeune homme égaré, dans tous les sens du terme, entre au service de neurologie d’un hôpital dans le Sud de la France. Il ne se souvient plus de rien hormis quelques mots de russe et le prénom d’une femme qu’il dit rechercher désespérément : Olia. En lui faisant passer les premiers tests d’usage, la psychiatre Léa Paule ne sait pas encore que cette rencontre va entièrement bouleverser sa vie, entraînée aux confins de la mémoire vers des territoires qui échappent même à la science…

La pièce, qui emprunte au merveilleux du conte, grâce au miracle de l’amour, tient aussi du polar psychologique. Montée de part en part comme un flash-back, elle fait appel à un travail d'enquête, de reconstitution mémorielle jusqu’au sens policier du terme.

Le metteur en scène François Rancillac, qui n’en est pas à sa première collaboration avec l’auteur, Gilles Granouillet, note : « c’est une pièce qui raconte le réel foudroyé par l’amour absolu (...) Un absolu qui se déprend des frontières, des limites, du temps et de la mémoire, et entraîne les êtres dans son maëlstrom ».

• Presse

« À la fois conte et polar. En même temps, histoire(s) d’amour et de perte de mémoire, d’angoisse devant le spectre de la folie, Hermann est tout cela. Et bien davantage. Les quatre acteurs sont parfaits. Et le résultat est magique » L’Humanité