Hantés

Paris 19e
du 28 novembre au 20 décembre 2003

Hantés

Cela se passe dans un immeuble par les fenêtres duquel on voit d’autres immeubles. Peut-être on pourrait dire aussi cela se passe dans une conscience par les fenêtres de laquelle on observe d’autres consciences. Peut-être est-ce un rêve.

Cela se passe dans un immeuble par les fenêtres duquel on voit d’autres immeubles. Peut-être on pourrait dire aussi cela se passe dans une conscience par les fenêtres de laquelle on observe d’autres consciences. Peut-être est-ce un rêve.

Des personnages - vivants ou non - corps pensants ou pensées incarnées - habitent aux différents étages de cet immeuble. Leurs histoires, leurs cheminements intérieurs s’y croisent et s’y mélangent. Les espaces dans lesquels ils évoluent se superposent, créant un autre espace, sorte de monde parallèle au monde matériel, dans lequel les consciences dialoguent ou s’ignorent, se frottent et se font écho les unes aux autres.

Ce sont plusieurs histoires racontées en même temps, comme si toutes les histoires humaines étaient toujours invisiblement liées.
D’une scène à l’autre, le curseur du présent se déplace sur la réglette du temps comme pour inviter à imaginer ce qui dans l’humanité existerait au-delà de toute contingence et temporalité individuelle.

Voir également Fenêtre de derrière de Françoise Lepoix.

Sélection d’avis du public

Hantés Le 4 décembre 2003 à 11h10

Platon + attitudes = platitudes Ayant déjà vu avec plaisir d'autres pièces dans le même théâtre, et ne craignant pas de découvrir une oeuvre sans aucune connaissance préalable de l'auteur, c'est confiant que j'allais voir "Hantés", de et par Sophie Renauld. Résultat : 2 heures de contrition à subir un texte indigent dans une mise en scène démesurée. Un beau gros décor, des effets visuels et sonores sophistiqués et sept comédiens tout de même pour une accumulation de poncifs et de minauderies sur la vie, la mort et le voisinage aux vagues considérations philosophiques, singeant les figures de la langue et du jeu d'un théâtre contemporain plus inspiré (Koltès ou Bernhardt par exemple). Ce n'est pas parce qu'on est un jeune auteur qu'on peut faire n'importe quoi. CLC

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Hantés Le 4 décembre 2003 à 11h10

Platon + attitudes = platitudes Ayant déjà vu avec plaisir d'autres pièces dans le même théâtre, et ne craignant pas de découvrir une oeuvre sans aucune connaissance préalable de l'auteur, c'est confiant que j'allais voir "Hantés", de et par Sophie Renauld. Résultat : 2 heures de contrition à subir un texte indigent dans une mise en scène démesurée. Un beau gros décor, des effets visuels et sonores sophistiqués et sept comédiens tout de même pour une accumulation de poncifs et de minauderies sur la vie, la mort et le voisinage aux vagues considérations philosophiques, singeant les figures de la langue et du jeu d'un théâtre contemporain plus inspiré (Koltès ou Bernhardt par exemple). Ce n'est pas parce qu'on est un jeune auteur qu'on peut faire n'importe quoi. CLC

Informations pratiques

Paris-Villette

211, avenue Jean Jaurès 75019 Paris

Accès handicapé (sous conditions) Bar Villette
  • Métro : Porte de Pantin à 161 m
  • Tram : Porte de Pantin - Parc de la Villette à 339 m
  • Bus : Porte de Pantin à 160 m, Ourcq à 374 m
Calcul d'itinéraires avec Apple Plan et Google Maps

Plan d’accès

Paris-Villette
211, avenue Jean Jaurès 75019 Paris
Spectacle terminé depuis le samedi 20 décembre 2003

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