Gay Pneus - Le show à l’américaine Tour

Le Spectacle
Une Vie
La Presse
L’équipe

• Le Spectacle

Plus qu’un concert ou un tour de chant, les Gay Pneus nous présentent leur dernier spectacle, créé en décembre à la Platte : Le Show A l’Américaine Tour.
Deux supplémentaires pour satisfaire les déçus de décembre et les autres…
L’heure du rattrapage a sonné…
Aucune absence non justifiée ne sera acceptée…

« La découverte rock de l’année (…) enfin de la pop non orthodoxe » - Gilles Carlos
« In Rock we trust » - Gay Pneus

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• Une Vie

Fruit des amours fécondes d’un luthier hongrois et d’une tragédienne anglaise, Lawrence a, dès son plus jeune âge, entendu chanter les sirènes du music hall. 
Tout d’abord choriste et danseur de claquettes, il s’astreint à un régime spartiate au 110m haies et devient très vite petit rat du Philarmonic Opéra of London. Très vite (trop vite ?), il incarne le renouveau de la young attitude. 
Coqueluche du modern jazz alternatif, c’est à Leeds qu’il découvre sa passion : la chanson française.

Moins chanceux, Edouard n’a jamais connu ses parents. 
Ses années passées auprès du frère Miguel de la Pena à l’orphelinat de Pampelune restent pour lui une source insatiable d’inspiration. 
C’est là, sous un soleil de plomb, qu’il a appris la guitare flamenco. Hélas, les périodes de vache maigre l’amènent à devenir végétarien et à voler dans les grands magasins. 
Comme il va lui coûter cher, ce disque de Manuel del Gargania… Lors de sa saison en enfer à la maison de redressement de Saragosse, il découvre la rédemption poétique.

C’est au festival de Bayreuth, en 1987, qu’Edouard et Lawrence se sont rencontrés. 
Il est 15 h 43 et la dernière représentation de Tannaüser s’achève. C’est un triomphe. Submergé par l’émotion, le comte Grünwald pleure. 
Grisée, Monica Belloti entonne « I will survive ». 
Soudain, du quatrième balcon, deux voix s’élèvent, des sifflets montent, c’est l’émeute. Edouard et Lawrence créent l’événement. Gay pneus est né.

Ils sont nés pour chanter et jouer notre vie quotidienne, nos petites contrariétés, sans complaisance aucune… A l’aide de multiples accessoires et de mimiques (ô combien expressives…), ces loosers, habilement maladroits, cyniquement drôles, mais toujours réalistes, nous font rire de nous et d’eux-même.

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• La Presse 

« Edouard Oudinit et Lawrence Lotus nous croquent une série de portraits, de tranches de vie ou de traits de caractères (…). 
Ce duo, aidé de multiples instruments et trouvailles sonores, oscille entre nostalgie, Bobby Lapointe et musique de cartoons… »- 491 (janvier 2001)

« Gay Pneus, ce sont des chanteurs, musiciens, un peu comédiens, qui touchent aussi sur scène, du bout des doigts, des réalités sociales et politiques. » - Le Progrès (novembre 2001)

« deux garçons aux textes loufoques, drôles et souvent décalés » - Passion théâtre ( nov 2001)

« un pur moment de joyeuse délectation (…) des qualités de fraîcheur qui ne font que servir une musique et des textes redoutables de finesse et d’efficacité (…) le ton sonne juste parce qu’il y a de l’autodérision et de la modestie dans leurs chansons.
Pas de compromis, pas de consensus, rien que du vrai, du vécu, même si ça fait mal. » - Passion théâtre (nov 2001)

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• L’équipe

Edouard Oudinit : guitare, mini-basse, pss 390, melodica, chant
Lawrence Lotus : contrebasse, guitare, chant
Gwennaël Kerneck : accordéon, batterie
Andreï Igorovich : violon, batterie
Et tous les autres que nous ne connaissons pas encore… Surprise !

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