
C’est l’été, la rumeur circule. José, Roka, Jade, Manel apprennent que leur cité va être détruite. Est-ce bien réel ? Dans cette confusion, les habitants se réunissent. Comment penser la suite de leur trajectoire ? Une idée surgit : créer un flashmob pour demander une réhabilitation.
C’est l’été, la rumeur circule. José, Roka, Jade, Manel apprennent que leur cité va être détruite. Est-ce bien réel ? Dans cette confusion, les habitants se réunissent. Comment penser la suite de leur trajectoire ? Une idée surgit : créer un flashmob pour demander une réhabilitation.
Fable moderne et brûlante, entre documentaire et fiction, qui interroge notre capacité à vivre ensemble, notre relation aux choix, aux liens entre territoires intimes et géographiques.
« Construite à partir de témoignages d’habitants, cette bouillonnante fable sociale brasse les émotions et déploie d’ingénieuses trouvailles de mise en scène pour rendre sensible un sujet rarement traité au théâtre. Et c’est plutôt réussi ! » Télérama TT
« Clémentine Billy pour sa première création propose un travail personnel et touchant où se succèdent des scènes délicates et oniriques. Fais la chose juste est une photographie de la cité vue de l’intérieur qui sort des éternels clichés sur la banlieue. » Froggy’s Delight
« Les jeunes comédiens de la Compagnie Kebab Fictif portent une parole qui sonne juste. Micheline Rousselet » Blog culture du SNES-FSU
« Fais la chose juste, présentée au Théâtre de la Reine Blanche, Clémentine Billy signe une fiction engagée, profondément ancrée dans le réel. Entre rumeur urbaine, résistance collective et poésie scénique, le théâtre devient ici un espace de lutte et de conscience. » Le bon plan parisien
« Un spectacle, ancré dans l’époque, qui donne la parole aux « invisibles », et les place sur le devant de la scène. » La grande parade
« Cette pièce allie la rigueur de l’étude sociologique au travail sur l’émotion pour donner un spectacle riche, distrayant et profond. » Holybuzz
« Le propos est très judicieux. Durant une heure d’un théâtre tout à fait convaincant, nous nous prenons donc à nous passionner pour cette entreprise artistique dont le fond et la forme résonnent de façon tout à fait juste ! » De la cour au jardin
Des habitants d’une cité appelée à être rasée surmontent leurs différences et leurs conflits pour se mobiliser contre ce projet destructeur. Le sujet est excellent, ancré dans la réalité, les personnages imaginés par Clémentine Billy ont une épaisseur certaine et sont bien incarnés. Mais la mayonnaise ne prend pas. À force d’éclater l’écriture en multiples fragments et de multiplier les nuances, l’écriture se perd dans des détails qui n’apportent rien à la démonstration et l’on s’y perd un peu. Le début est long et laborieux et la suite l’est à peine moins. On n’a ni la simplicité du théâtre documentaire ni la clarté d’une pièce didactique. Voilà une écriture bien compliquée.
Très belle écriture et très belle mise en scène. On est pris dans l'histoire de cette cité en voie de disparition. Les personnages, très bien interprètés, nous plongent dans un univers familier et grotesque. S'en dégage une grande poésie qui touche le spectateur au plus profond de son être. A voir !
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Des habitants d’une cité appelée à être rasée surmontent leurs différences et leurs conflits pour se mobiliser contre ce projet destructeur. Le sujet est excellent, ancré dans la réalité, les personnages imaginés par Clémentine Billy ont une épaisseur certaine et sont bien incarnés. Mais la mayonnaise ne prend pas. À force d’éclater l’écriture en multiples fragments et de multiplier les nuances, l’écriture se perd dans des détails qui n’apportent rien à la démonstration et l’on s’y perd un peu. Le début est long et laborieux et la suite l’est à peine moins. On n’a ni la simplicité du théâtre documentaire ni la clarté d’une pièce didactique. Voilà une écriture bien compliquée.
Très belle écriture et très belle mise en scène. On est pris dans l'histoire de cette cité en voie de disparition. Les personnages, très bien interprètés, nous plongent dans un univers familier et grotesque. S'en dégage une grande poésie qui touche le spectateur au plus profond de son être. A voir !
2 bis, Passage La Ruelle 75018 Paris